Victimes de la vaccination

 

Soudan du Sud : 15 enfants tués par un vaccin contaminé

C’est un drame sanitaire qui a frappé le Soudan du Sud en mai 2017. Suite à une campagne de vaccination, plusieurs enfants sont morts à Nachodokopele, un village reculé du pays. Celle-ci visait à protéger quelque 3.000 personnes de la rougeole. Dérogeant aux normes de sécurité, elle a été réalisée avec la même seringue, qui s’est révélée être contaminée, comme le rapporte l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Une cinquantaine d’enfants sont alors tombés malades, montrant des signes de fièvre, de vomissements et de diarrhées.

Le 2 mai 2017, les premiers décès sont signalés, et si 32 enfants ont survécu, 15 autres ont perdu la vie. Dans une conférence de presse, les résultats de l’enquête ont été dévoilés par le ministre de la Santé du Sud Soudan : l’équipe de soignants, ni qualifiée ni formée à la vaccination, a utilisé pendant 4 jours la même seringue pour mener la campagne.

Le ministre a déploré le non-respect des consignes préconisées par l’OMS, à savoir l’emploi d’une seringue à usage unique, et revient sur les circonstances de ce drame : la seringue infectée aurait contaminé à son tour les flacons de vaccin, puis les enfants. Une rupture de la chaîne du froid a également été mise en évidence, les flacons ont été entreposés pendant plusieurs jours dans un bâtiment dont l’équipement ne permettait pas d’assurer la température nécessaire au maintien de leur qualité.

Si les précédentes campagnes contre la rougeole menées jusqu’alors au Sud Soudan, particulièrement affecté par le virus notamment du fait des retards de vaccination chez le jeune public, s’étaient déroulées sans embûches, l’OMS a redouté désormais un regain de méfiance de la population et s’est emploié à rassurer la population.

Beaux effets du vaccin Gardasil: « Je préférerais être morte que vivre dans pareil état »

L’agonie d’une adolescente clouée dans un fauteuil roulant, vivant comme si elle avait 80 ans. Ses parents affirment que c’est le vaccin HPV controversé qui est à blâmer.

Zara Beattie de Wigton, Cumbria était une footballeuse qui promettait. Aujourd’hui, l’adolescente sait à peine se lever seule, et passe la plupart de son temps au lit. Ses parents croient que ses symptômes ont commencé à se produire après le vaccin contre le HPV. Depuis le vaccin, Zara souffre de palpitations cardiaques et de fortes douleurs dans tout le corps. Les experts disent qu’il n’y a pas de lien entre sa maladie chronique et le vaccin.

La maman, infirmière, affirme que sa fille de 13 ans a été clouée dans un fauteuil roulant après avoir souffert d’un effet secondaire du vaccin HPV.

Le cœur brisé, Anthea Beattie, 49 ans, explique que Zara est comme une personne de 80 ans dans un corps d’adolescente. Elle est convaincue que sa maladie est due au vaccin qui doit protéger contre le cancer du col de l’utérus.

La jeune sportive, footballeuse dont l’avenir était prometteur (elle pratiquait aussi le netball), a commencé à connaitre des problèmes respiratoires au cours d’une leçon d’éducation physique, en janvier de l’année 2016, peu de temps après qu’elle ait reçu le vaccin.

Dans un premier temps, les parents ont mis ses problèmes respiratoires sur le compte de l’asthme. Mais la santé de la jeune-fille a continué à se détériorer au cours des semaines qui ont suivi. Elle a souffert de palpitations, s’est sentie étourdie, faible et fatiguée. Elle a finalement été diagnostiquée comme souffrant du symptôme de tachycardie orthostatique posturale (POTS) qui accélère le rythme de son cœur.

Madame Beattie explique: « C’est horrible. Ma fille m’a dit : “ maman je préférerais être morte que de souffrir pareillement. ” Elle n’a que 13 ans et a l’impression de vivre dans le corps d’une personne de 80 ans. »

Chaque fois qu’elle veut se lever, la jeune-fille se sent faiblir ; elle est incapable de quitter la maison autrement qu’en fauteuil roulant. Elle a dû être scolarisée à la maison.

Rester à table pour prendre un repas l’épuise totalement. Elle reste à la maison 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, sauf pour des rendez-vous à l’hôpital.

Les médecins refusent de confirmer les inquiétudes des parents, mais la maman Anthea et son mari Ian, ingénieur de 54 ans sont convaincus que l’état de Zara a été déclenché par le vaccin.

Anthea qui s’est vue forcée de réduire son temps de travail pour s’occuper de Zara, explique : « J’ai été infirmière pendant 30 ans et je n’ai jamais vu une chose pareille, et il y a tellement de jeunes-filles qui se trouvent dans une situation identique. Je ne peux pas croire qu’il s’agit de coïncidences. »

Le vaccin est-il sur ?

Selon le Cancer Research UK, Il y aurait eu 3.200 nouveaux cas de cancer du col au Royaume Uni en 2014 – soit environ neuf diagnostics par jour.

Comme pour tout vaccin, il existe une très faible probabilité de réaction allergique sévère avec le vaccin HPV, selon le Vaccine Knowledge Project de l’Université d’Oxford.

Les statistiques de l’Agence européenne du médicament montrent que jusqu’en février 2017, ils ont enregistré 11.687 réactions au Gardasil.

Beaucoup signalent des symptômes de fatigue chronique ; les cas de jeunes filles paralysées sont rares. Le rapport montre cependant que des décès ont été enregistrés.

Les autorités sanitaires du monde entier, y compris l’OMS ont passé ce vaccin en revue et ont conclu que ce vaccin était sûr.

C’est depuis 2008 que ce vaccin a été proposé aux jeunes-filles de 12-13 ans selon le programme du NHS pour le cancer du col de l’utérus.

Ce vaccin est connu pour protéger contre deux types communs du HPV qui sont responsables de plus de 70% des cas au Royaume-Uni où l’on détecte chaque année plus de 3000 nouveaux cas de cancer du col, dont plus de 900 sont mortels, selon Public Health England.

Les médecins estiment qu’environ 400 vies sont sauvées chaque année, grâce à la vaccination des filles.

Pour en revenir à Zara, la moindre chose lui demande d’énormes efforts – elle n’a plus la moindre énergie. Elle est comme une petite vieille femme, et avoue à sa maman que sa vie est à ce point horrible qu’elle préférerait être morte. Elle se tracasse aussi beaucoup pour son futur ; elle dit : « je ne sais pas comment je vais me sentir dans cinq minutes, sans parler de l’état dans lequel je pourrais être dans cinq ans ». « Tout a changé dans ma vie. Je ne voudrais à aucun prix que quiconque doive traverser ce que je dois vivre ».

La jeune écolière sportive était jadis une joueuse prometteuse de foot et de netball et se plaisait à faire du vélo avant que sa santé se détériore. Elle souffre à présent de palpitations et de douleurs thoraciques.

Zara a été vaccinée avec le Gardasil à l’école Nelson Thomlinson de Wigton, en octobre 2015. Elle a d’abord été traitée pour le syndrome POTS (= syndrome de tachycardie posturale orthostatique) au centre médical de l’Université Royal Victoria de Newcastle où les médecins étaient incapables de dire ce qui a causé sa maladie.

Madame Beattie fait partie d’un groupe de personnes sceptiques qui demandent qu’une meilleure information soit donnée aux parents sur ce vaccin et que davantage de recherches soient effectuées.

La famille de Zara fait partie d’une association de 400 familles qui ont une ou des filles dont la santé a été endommagée par les vaccins. Ces familles réclament une action du gouvernement.

Madame Beattie explique : « Je veux me forcer à croire que la santé de Zara pourra s’améliorer, mais notre vie a été tellement bouleversée. Zara ne sera plus jamais une adolescente normale. »

Mais les compagnies pharmaceutiques sont catégoriques : il n’y a pas d’effets secondaires graves ; pour elles toutes ces affirmations relèvent de la bêtise.

« Moi, je voudrais demander à ces gens de venir voir ma fille qui jouait football et dont la vie était belle et heureuse. »

Public Health England déclare que « l’OMS, le CDC et l’European Medicines Regulator, de même que les experts britanniques ont étudié de manière approfondie tout ce qui a trait à la sécurité vaccinale. »

Ces organismes ont conclu qu’il « n’existe pas de preuve crédible d’un lien quelconque entre le vaccin HPV et toute une série de maladies chroniques. »

En 2017 un porte-parole du PHE, ainsi que des « Medicines and Healthcare products Regulatory Agency » a déclaré : « Comme c’est le cas pour tous les vaccins, le vaccin HPV est sous constante surveillance. On prend très sérieusement en compte chaque effet secondaire suspect qui pourrait se produire. »

 

yogaesoteric
15 juin 2019

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