Le carnaval macabre du Wokisme et de la guerre
par Oncle Fernand
Pour faire simple et non exhaustif. En cette période de l’avant Pâques, c’est-à-dire d’un proche printemps et ses carnavals, j’ai ressenti le besoin de mettre en évidence le « charivari » crépusculaire qui sévit en ce début du XXIème siècle. La fête des fous bat son plein.
Depuis des siècles, de Dunkerque à Venise, le carnaval est un exutoire via le génie du maquillage. C’est une parodie, une transgression des normes, un défilé d’extravagances chamarrées, de travestissements préparés et intentionnels. Le carnaval est une libération, quand la Gay Pride, le prétendu pendant, est une mascarade d’impudicités plus ou moins sordides. Celle-ci n’est pas un défouloir, une catharsis, mais une propagande calculée pour des exhibitionnistes du sexe. Ainsi, du perron de l’Elysée à l’ouverture des J.O de Paris, LGBT+ fait son show en plein air. Et l’UE dans tout ça ! L’UE n’est plus qu’un cortège de mauvais saltimbanques. Cabotinages et constipation intellectuelle. Idiots utiles et notoires, par l’incarnation des grosses têtes carnavalesques dans leurs allées et venues. C’est fortiche !
Ainsi la Roumanie, vous ne serez pas invité au cortège « d’andouilles », si vous n’avez pas une des ficèles à nous dédier. Ainsi la Géorgie, c’est le même grimage pour tout le monde. D’une façon similaire, l’interdit d’interdire de 68 est passé de mode, puisque dans le château des mornes activités, il est furieusement interdit d’interdire la censure. Maintenant, si à Dunkerque c’est le lancer des harengs qui prévaut, à Bruxelles c’est la lancée des « barbeaux » qui l’emporte. Si à Venise c’est la chorégraphie des masques les plus majestueux, à Bruxelles c’est le bal masqué des nuls. Le carnaval de mauvais gout poursuit sa farandole. Von der Leyen et sa panoplie jaune et bleue empruntée à Hunter, tel le major d’homme des pantins eurocrates et, qui, du haut de son « char de parade », se permet de ridiculiser les forces Russes en présence. La verte, de colère, Mme Baerbock, ordonne de continuer à casser les indésirables figures orthodoxes. Quant à Jean-Noel Barrot, le nouveau fou du roi désigné, dans son infantile « guerre des boutons », dodeline de ses grelots pour qu’on est plus de chars que les Russes. C’est trop injuste pleurait Caliméro ! Par-dessus le marché, Dany le rouge, trouve judicieux d’apprendre aux enfants les bons câlins à effectuer pour un plaisir commun sans camouflage. Que dire enfin de la bataille de confettis, terrestres, avec la Moldavie, la Lituanie, l’Estonie, Israel….… Voilà, en gros, le tintouin des mascarades des Youg Leaders.
Que vois je, que vois je !? Chantait Mister Jack dans son étrange Noël. Parce que c’est l’effervescence dans l’évêché des euros dingos. Attention mesdames et messieurs, cette fois ça va relever des plus célèbres revues du monde, (accrochez-vous Dunkerque et Rio), Macron, le « gringalet vengeur masqué», dans la fanfaronnade d’une carte d’Ukraine présentée à l’envers, en bon roi Dagobert donc, va se rendre à Washington pour tutoyer Donald et lui glisser en passant : Tu ne peux pas être faible devant le président Poutine, c’est pas toi ça, c’est pas ta marque de fabrique ! On croirait entendre parler un caïd de quartier. D’autant que ce dernier n’a pas été invité par le président Trump, mais convoqué. Une énième une fois, Macron va se prendre une volée de bois vert dans le bureau ovale et retourner à ses crayons de couleur.
En attendant, le président américain signe des décrets afin d’abolir le wokisme, pour autant, chaque état aux USA est encore libre de l’appliquer ou pas. Donald Trump, toujours, est pour imposer en fanfare la paix en Ukraine, alors que cette dernière utilise les satellites d’Elon Musk, « le grand défenseur des libertés », pour taper sur les bâtiments et industries civils de Russie. Voir même de se foutre dedans, en canardant les raffineries d’intérêts américains sur le sol Russe. De Londres à Paris on veut la guerre. Je pense que la guerre des bouffons n’aura pas lieu. Zélensky la contrefaçon, So What, figure de « The Exterminator », le maître des danses macabres va bientôt s’en prendre une sur les chants des Cosaques du Don. Ainsi donc, les bonnets à clochettes vont rejoindre les armoires. Les jongleurs de Davos ne paradent plus et commencent à ranger les accessoires. Sur le large échiquier de la mascarade, Vladimir Poutine attend la fin du festival des couillonnades. C’était juste pour un moment de détente.
yogaesoteric
6 mars 2025