Le lanceur d’alerte Randy Cramer parle des opérations militaires secrètes sur Mars (3)

par Eve Lorgen

Lisez la deuxième partie de cet article

11. Pouvez-vous décrire la programmation militaire des super-soldats et la création de l’altération de la personnalité, et comment cela diffère de ce que vous avez décrit comme une création de « personnalité supérieure » ou de « personnalité inférieure » ? Cette dernière forme d’identité est-elle un genre de programmation d’origine aliène/ET ? Comment les implants contribuent-ils à ce genre de programmation ?

 

A : Pendant la séparation des personnalités, on est un peu confus. Après la disparition de la personnalité extérieure, qu’on appelle également l’enveloppe mémorielle, je peux en parler clairement. Dans mon cas, la personnalité extérieure a été créée pour contenir la personnalité intérieure, pendant un certain laps de temps. La personnalité intérieure est ma vraie personnalité. Les techniques utilisées sur moi m’ont été décrites comme étant des techniques de programmation « allant avec le fil », à l’inverse des techniques de programmation « contre le fil » qui essaient de forcer le super-soldat à tout détruire, à tout moment, partout, et en tant qu’animaux humains, la plupart d’entre nous ne sont pas faits ainsi, donc nous résistons, donc la fonction principale consiste à supprimer la pulsion de résistance. Non pas en créant le meilleur super-soldat possible, juste le plus obéissant.

Le genre « avec le fil » n’essaie pas de créer quelqu’un qui tue sur commande, mais plutôt quelqu’un qui possède des instincts profonds de protection de sa tribu et de son territoire lorsqu’ils sont menacés. Donc aussi longtemps que vous êtes capable d’expliquer la crédibilité de la menace, le soldat utilisera toute sa force et son ingéniosité pour tuer tous ceux qui constituent une menace pour ceux qu’il est génétiquement prédisposé à protéger. Les contrôles les plus contraignants mis en place par les « connards sans âme » comme le Général aime à les appeler, étaient destinés à être éliminés avec le temps, ce qui était le cas. Le concept originel semble être assez intriqué car il devait tenir compte d’une étonnante quantité de variables qui étaient destinées à produire leurs effets, afin que la personnalité/mémoire extérieure se lézarde, tombe en morceaux, se dissolve, pour ensuite permettre à votre personnalité/noyau intérieure de pouvoir s’auto-guérir et se remettre et se préparer à de nouvelles instructions, tout en maintenant un incroyable degré de libre arbitre, ce qui était mon cas.

Les implants sont variés car il y en a de divers types que je connais implantés quelque part dans mon corps :

– Certains sont de simples implants de géo-localisation ou de liaison audio-vidéo.
– D’autres permettent des enseignements et des formations virtuels pendant le sommeil.

Dans mon cas, un tas de nano-éléments ayant la capacité de réparer des dommages cellulaires et de combattre des infections particulières. Je les ai utilisés à deux reprises pour réparer des dommages nerveux, par moi-même, afin que je puisse opérer comme je le sens. Les implants, quels qu’ils soient, permettent un genre de communication bidirectionnelle afin que les contrôleurs puissent recevoir des données et envoyer des instructions au sujet. C’est un domaine extrêmement complexe et varié de la science secrète.

Plus j’en apprends à ce sujet, plus je conçois du respect pour cette technologie très complexe et très bien conçue. Ce qui la rend d’autant plus insidieuse, parfois, et difficile à cerner. Je l’ai déjà dit. Je le redirai des millions de fois, un de mes professeurs de yoga m’a dit : « quelle chance vous avez d’avoir ces implants dans le corps, c’est un cadeau, parce que s’ils sont dans votre corps, ils vous appartiennent, non à ceux qui vous les ont implantés. » C’est une des choses les plus éclairantes qu’on m’ait jamais dites, et c’est depuis ce moment que mes implants sont sous mon contrôle et non sous celui de ceux qui les y ont mis. C’est une simple perception du changement de propriété.

12. Dans beaucoup de nos entretiens nous avons discuté du fait que certaines factions du « gouvernement militaire secret » voulaient créer un super-soldat/héros créé pour défendre son pays/monde dans un environnement non-contrôlé. En d’autres termes, plutôt un super-héros pour la défense de la patrie ou de la race humaine contre des menaces d’aliènes/ET malveillants. Vous avez affirmé que cela pourrait ne pas être aussi « noir et blanc » que le prétendent certains chercheurs et MILAB en termes de militaires et d’aliènes étant tous « bons ou mauvais ».

Ont-ils jamais eu de profondes préoccupations sur le nombre de personnes qui étaient « contrôlées » par des entités aliènes malveillantes par le biais de la possession (comme ce qui est du gouvernement) et à combien se monte actuellement la population des psychopathes ? Pouvez-vous nous dire quelque chose à ce sujet ?

A : Il apparaîtrait que ce qui était autrefois un effort assez cohérent à travers un petit nombre de programmes secrets pour traiter des questions exo-biologiques/technologiques extraterrestres, n’est plus ni cohérent ni limité en nombre, pas du tout. Il semble que cela ait dégénéré dans un conflit de type féodal dans lequel chaque directeur de programme secret qui dispose d’un certain contrôle dans une équation plus importante refuse de partager les données tout en essayant de voler et d’acquérir les données de tous les autres, tout en essayant de garder ses sous-programmes à l’abri pour éviter qu’ils soient dérobés. Des alliances se font et se défont. Toute la technologie ne leur sert qu’à s’espionner et se voler les uns les autres dans l’espoir que peu importe qui gagne la « race profondément noire » devra revoir toutes les règles et refaire le monde à leur image. Parce que, tout simplement, il n’y aura PERSONNE pour les en empêcher, toute la concurrence étant éliminée ou embrouillée.

Ma chaîne de commandement a exprimé sa profonde préoccupation sur ce qui leur semblait un scénario par lequel un certain pourcentage du programme avait été compromis. C’est peut-être l’influence indésirable d’ET « inamicaux », cela peut résulter d’une maladie mentale infectieuse qui a envahi des classes dirigeantes à ce point imbues d’elles-mêmes qu’elles ne voient pas le mur au bout du chemin dont nous approchons à toute vitesse. Une combinaison des deux ou peut-être d’autres variables sont à l’œuvre. Peu importe, si le système est compromis à plus de 51% ou que la vitesse descend à moins de 75% de la normale, alors sont réunies les conditions pour la mise en œuvre de qui est connu par le personnel des Marines comme l’article 21 (rien à voir avec l’Agenda 21). L’article 21 mandate tous les officiers des Marines en service à vie (nous abandonnons le service quand nous mourons, littéralement) de prendre les mesures nécessaires pour préparer aux conditions de l’article 22. Espérons tous que nous pourrons résoudre le problème avant.

13. Au cours de votre expérience avez-vous jamais été témoin d’activités occultes ou de magie noire ou rituelles en relation avec vos manipulateurs MILAB ou aliènes ?

 

A : Pas dans la manière principale de procéder, mais il semble qu’il me reste des souvenirs résiduels de quelques évènements « étranges » au cours desquels on a fait usage de symbolisme ou de rituels occultes. Ces souvenirs ressemblent à ceux de procédures médicales, qui sont flous à cause des puissants médicaments utilisés. Je ne peux que présumer que la cause est similaire, que des médicaments ont été utilisés pour éviter que les sujets ne se rappellent de ces évènements avec une quelconque précision.

14. Pouvez-vous nous parler des expériences inusitées que vous avez vécues pendant que vous étiez dans la Marine, que vous avez découvert après coup comme étant une espèce de subterfuge basé sur le contrôle mental ? (l’incident de l’église de San Diego et Camp Pendleton ?)

A : C’est une histoire tellement foldingue, je serai heureux de la raconter. Après le camp d’entraînement alors que j’étais en formation, je faisais de longues marches autour du NTC (à San Diego, en Californie). Je me baladais dans les parties les moins peuplées de la base parce que j’aime les promenades tranquilles en solitaire. Un soir que je marchais le long du Portail Nord j’ai vu deux hommes venir à ma rencontre. Il n’y avait pas âme qui vive à part nous, et ils ont se sont rangés en ligne pour moi. L’un, grand, type caucasien, fin de la trentaine, en tenue civile. L’autre, un Philippin, fin trentaine début quarantaine, en uniforme d’adjudant (il a prétendu plus tard être adjudant-chef), il portait TOUJOURS des lunettes de soleil, jour et nuit, n’ouvrait jamais son blouson kaki, si bien que je n’ai jamais pu voir le badge avec son nom, ou un insigne de son uniforme.

Le grand de type caucasien, qui prétendait être un « prêcheur » était celui qui parlait. L’adjudant n’a prononcé que deux phrases pendant tout ce temps. C’est toujours le prêcheur qui conduisait sauf quand nous allions vers le nord en direction de Camp Pendleton, alors c’était au tour de l’adjudant. Ils voulaient savoir si je voulais aller à l’église. En bref, cela signifiait que pendant deux jours ou soirs par semaine je pourrais quitter la base et échapper aux corvées. Alors j’ai dit « bien sûr ». Nous sommes allés deux fois à « l’église » du prêcheur. La première fois nous avons traversé la ville vers un quartier près de Balboa Park. Nous avons pris une rue dans laquelle toutes les maisons du côté gauche et droit étaient IDENTIQUES. Trottoirs, allées, fenêtres de part et d’autre de la porte. Tout en couleurs pastel. J’aurais été incapable de revenir et d’identifier la maison. Très malin de leur part, ai-je pensé.

La première fois, nous sommes entrés et j’ai été emmené vers une petite « église » aménagée dans le petit salon du bungalow pastel. 6 bancs d’église de chaque côté. Une arche blanche surmontant la « scène » (une plateforme surélevée de 7 centimètres) encadrée par deux pots de fleurs artificielles. Cela semblait avoir été loué auprès d’une agence de location pour les mariages. Il n’y avait pas de posters ou d’affiches édifiantes sur le mur. Ce qui était bizarre, car les églises évangéliques ADORENT afficher leur propagande sur les murs, avec des extraits des écritures, des citations édifiantes et des images pieuses.

Le Prêcheur se tenait sur le devant aux côtés de son « épouse » et l’adjudant était assis au fond, bras croisés, le blouson fermé jusqu’en haut, les lunettes de soleil sur le nez, nu-tête. Silencieux tout le temps. J’étais assis au cinquième rang sur la gauche. Du côté droit, au second rang se tenait un homme de type caucasien, début quarantaine, presque chauve, peigné en arrière, avec des lunettes, une moustache, une tête en forme de poire, portant un polo brun-orangé et des pantalons brun noisette avec une ceinture de cuir et chaussé de mocassins. Il souriait, m’a serré la main une fois d’une poigne molle en disant « salut » et n’a plus rien dit. Il était assis les yeux ouverts, regardant ses mains jointes sur ses genoux la plupart du temps. Après cette première fois, je ne l’ai jamais revu.

Sur le banc devant moi et légèrement sur ma gauche se tenait un couple âgé « originaire du Midwest ». Je n’ai fait que quelques années de théâtre au collège, mais j’ai appris quelques petites choses. A savoir comment m’habiller, me coiffer et me maquiller pour une représentation. Les cheveux de l’homme étaient impeccables. Dans le cou et devant, comme s’il avait été coiffé par un professionnel. Pas UN cheveu n’était dérangé sur la tête de cet homme. Son costume semblait dater des années 40 et il semblait être une taille trop petite pour lui, comme si c’était son costume du dimanche au cours des 30 dernières années et qu’il ne le portait que le dimanche.

Bon, mais le tissu du costume n’avait pas plus de quelques années, quel que soit le soin avec lequel on l’entretenait. Comme s’il sortait d’une penderie. La femme portait une robe bleue à pois blancs, des gants blancs, un sac à main en cuir brun et avait les cheveux coiffés en chignon. La robe semblait être une taille de trop (pareil, comme si elle sortait d’une penderie), et son chapeau semblait un peu trop grand pour elle, et après avoir dit « bonjour » ils se sont assis, sans bouger et regardant droit devant eux ou avec les yeux mi-clos.

Tout le monde était apprêté. Même si ce n’était qu’un peu, les gens étaient apprêtés sur leurs sièges. Ces deux-là étaient assis comme des statues, posaient (mains gantées de blanc tenant le cas à main posé sur les genoux, sans bouger). Pas un frôlement, pas un éternuement, pas un toussotement, pas un murmure, pas un regard à gauche ou à droite. Et ils n’avaient pas l’air du tout de citoyens moyens. Ils avaient « belle allure » et l’air « symétrique » d’acteurs professionnels. Ils étaient habillés et coiffés comme des acteurs, ils étaient assis comme des acteurs. Je ne les ai jamais revus après cette fois. Ils semblaient vraiment être là pour que je me sente « à l’aise » et en sécurité.

La seconde fois que je suis revenu à leur « église » il n’y avait que le Prêcheur, son « épouse », l’adjudant et moi. Personne d’autre n’était là ou n’est jamais réapparu. Le message qu’ils m’avaient transmis selon lequel ils sillonnaient la région de San Diego pour essayer que les marins et les fusiller-marins aillent à l’église paraissait mince, étant donné que j’étais le SEUL marin ou fusiller-marin présent. Pourquoi seulement moi. Pourquoi personne d’autre ? Nous étions constamment prévenus contre de faux artistes ou des espions qui pourraient essayer de nous approcher et profiter de nous, mais ils n’ont jamais essayé de me faire signer quoi que ce soit ou de me soutirer des informations, JAMAIS. Ils voulaient juste que je leur tienne compagnie.

La troisième fois, ils voulaient me conduire vers le nord pour rencontrer un collègue « prêcheur ». Nous avons pris l’autoroute du nord, et ils avaient un pack nouvellement ouvert de « Snapple » de Costco et me demandaient constamment si j’avais soif. J’avais pris de l’eau avec moi, et je leur dis que tout allait bien. Mon intuition me hurlait « ne bois pas ce qu’ils te proposent », mais j’ai pensé que je devenais parano et j’ai fini par en prendre un. Peu après j’ai commencé à m’enfoncer dans mon siège, pas inconscient, mais sentant que j’étais « drogué » et incapable de bouger.

 

Nous nous sommes rendus à l’extrémité nord de Camp Pendleton près du terrain d’artillerie. L’adjudant est sorti de la voiture avec une clé pour ouvrir la grille. Il n’y avait pas de poste de garde. Nous avons roulé jusqu’au terrain d’artillerie où se trouvait un véhicule de type TRB-3 pour me prendre à son bord. Le Prêcheur et l’adjudant m’ont fait sortir de la voiture et m’ont remis à deux gars en combinaison de vol qui m’ont fait monter la passerelle pour entrer dans le vaisseau. S’ensuit une longue histoire, mais après cela, ils m’ont ramené au même endroit et le Prêcheur et l’adjudant m’attendaient pour me ramener à la base. J’avais dix minutes de retard et j’ai failli me faire engueuler par le sous-officier de garde, mais quand je lui ai montré la carte du Prêcheur et lui ai dit que j’étais « à l’église » il s’est contenté de marmonner « allez-y entrez, le servant de messe, vous êtes en retard ».

Lisez la quatrieme partie de cet article
 
 
 



yogaesoteric

8 juillet 2019

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