Le mystère Omicron : Variant miraculeux ou fabrication humaine ? Décidément, rien n’est normal avec la covid

par Patrice Gibertie

En 2021 l’apparition d’Omicron et de ses variants étonna les scientifiques ; plus contagieux, moins dangereux et avec une protéine Spike moins méchante que la vaccinale ou l’originale. Vous retrouverez dans la deuxième partie de l’article la publication de Jc Perez (2021) sur les mutations dans la région Spike Prions.

Une nouvelle publication interpelle, et s’il s’agissait d’une sélection naturelle délibérée ?

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Manque de naturel dans le processus d’évolution des variantes du SRAS-CoV-2 et possibilité d’une sélection naturelle délibérée

« Nous avons conclu que les formations d’une partie des isolats Omicron BA.1, BA.1.1 et BA.2 n’étaient pas le produit de l’évolution du génome comme cela est couramment observé dans la nature, comme l’accumulation de mutations et de recombinaisons homologues.

L’analyse que nous avons montrée ici est que les variants Omicron sont formés par un mécanisme entièrement nouveau qui ne peut être expliqué par la biologie antérieure, et connaître la manière dont les variantes du SRAS-CoV-2 se sont formées incite à reconsidérer la pandémie de SRAS-CoV-2. Nous avons conclu que les formations d’une partie des isolats Omicron BA.1, BA.1.1 et BA.2 n’étaient pas le produit de l’évolution du génome comme cela est couramment observé dans la nature, comme l’accumulation de mutations et de recombinaisons homologues. » Source : Zenodo

Dans cette étude, deux auteurs japonais ont étudié les processus évolutifs qui ont conduit à la formation des variantes Omicron du coronavirus 2 (SARS-CoV-2) du syndrome respiratoire aigu sévère. Ils se sont concentrés sur les variantes d’Omicron qui présentent de nombreuses mutations d’acides aminés dans la protéine Spike (S).

Les chercheurs ont comparé les séquences de 129 isolats liés à Omicron BA.1, de 141 isolats liés à BA.1.1 et de 122 isolats liés à BA.2 pour déterminer l’ordre des mutations conduisant à la formation des variantes du SRAS-CoV-2 Omicron. Ils ont cherché à élucider le processus évolutif du variant Omicron, qui présente deux fois plus de mutations d’acides aminés dans la protéine S que les autres variants, en examinant l’ordre d’introduction des mutations d’acides aminés dans la protéine S.

Selon les résultats de l’étude, les scientifiques ont conclu que la formation d’une partie des isolats Omicron BA.1, BA.1.1 et BA.2 n’était pas le résultat de l’évolution du génome, comme l’accumulation de mutations et la recombinaison homologue, comme cela est courant dans la nature. Ils ont souligné que les isolats du SRAS-CoV-2 sont formés par un mécanisme complètement nouveau qui ne peut être expliqué par la biologie antérieure et qu’il est très improbable que ces virus soient apparus spontanément.

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La variante Omicron brise la lignée évolutionnaire des variantes du SRAS-CoV2

« Nous avons analysé 15 génomes et Spikes de la nouvelle variante Omicron, d’une part 7 de la toute première lignée 21K (Afrique du Sud, USA, Belgique, Canada), d’autre part 8 du deuxième clade sœur ultérieur 21L (USA, Suisse, Royaume-Uni). Nous avons appliqué, à l’échelle du génome entier et du gène Spike, la méthode biomathématique d’analyse fractale de la méta-structure de Fibonacci appliquée aux proportions UA/CG.

Il apparaît une rupture totale de cette variante par rapport à toutes les variantes précédentes, et une forte différenciation entre ces 2 lignées Omicron. Nous avons mis en évidence la rupture d’Omicron par rapport à TOUTES les variantes précédentes : D614G, Alpha, Beta, Gamma, Delta. En particulier, nous suggérons que la structure secondaire stabilisatrice de l’ARNm (conformation ” en épingle à cheveux “) dans la pointe de toutes les variantes est dégradée dans Omicron, rendant probablement son ARNm plus fragile. La perte de métastructures fractales à longue portée dans le gène Spike Omicron est conforme aux connaissances communes sur les mécanismes de fin de l’épidémie, impliquant la recombinaison de fragments d’ARN fortement mutés du virus, avec la possible inférence d’un virus auxiliaire distinct. Cela indiquerait que le SRAS-CoV2 est soumis à une très forte pression évolutive, marquant peut-être la fin de la pandémie.

De manière remarquable, on observe que la densité des mutations Omicron dans la région Spike Prion est plus de 8 fois supérieure à celle du reste de la protéine Spike. Cette forte densité de mutations de la région Prion chez Omicron semble supprimer complètement cette éventuelle fonction Prion, contrairement aux Spikes des différents variants et ARNm des vaccins où cette fonction Prion est observée. La perte de métastructures fractales à longue portée dans le gène Spike Omicron est conforme aux connaissances communes sur les mécanismes de fin de l’épidémie, impliquant la recombinaison de fragments d’ARN fortement mutés du virus, avec la possible inférence d’un virus auxiliaire distinct. Cela indiquerait que le SRAS-CoV2 est soumis à une très forte pression évolutive, marquant peut-être la fin de la pandémie. » Source : International Journal of Research

 

yogaesoteric
12 septembre 2023

 

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