Des explosifs auraient été utilisés le 11 septembre selon des commissaires de l’État de New York

On ne sait quoi penser sur les raisons de l’effondrement des tours du World Trade Center mais il semble que de plus en plus d’Américains doutent de la version officielle. Pour la première fois, ces doutes sont exprimés par un organisme américain élu. Il est intéressant de faire connaitre leur opinion.

L’effondrement du WTC 7 était dû à une défaillance complète impliquant la chute quasi simultanée de toutes les colonnes du bâtiment

Pour la première fois, un organisme élu aux États-Unis a déclaré qu’il était « indubitable » que des explosifs – et non uniquement les impacts d’avions et les incendies – avaient détruit les trois tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.

Les commissaires de Franklin Square et de Munson Fire District, près de Queens, dans l’État de New York, ont unanimement adopté une résolution historique le 24 juillet qui appelle à une nouvelle enquête sur tous les aspects du 11 septembre et qui cite « des preuves accablantes » de la présence d’explosifs dans les trois tours avant le 11 septembre. La résolution stipule que les commissaires du conseil d’incendie du district « appuient pleinement une enquête exhaustive du grand jury fédéral et la poursuite de tous les crimes liés aux attentats du 11 septembre… ».

« C’était un meurtre de masse », a déclaré le commissaire Christopher Gioia lors d’un entretien. « Trois mille personnes ont été assassinées de sang-froid. » Gioia, qui a écrit et présenté la résolution, a déclaré que le bilan de son département à la suite des événements de cette journée était dévastateur. Les membres Thomas J. Hetzel et Robert Evans sont décédés à Ground Zero le 11 septembre. D’autres, notamment les commissaires Philip Malloy et Joseph Torregrossa, sont tombés malades après avoir été exposés à l’air toxique lors d’opérations de sauvetage et de récupération.

« Nous ne laissons pas nos frères derrière nous », a déclaré Gioia. « Nous ne les oublions pas. Ils méritent justice, et nous allons nous battre pour que justice soit faite. »

Depuis qu’un ami l’a alerté, il y a plusieurs années, de l’effondrement apparemment inexplicable du bâtiment 7, Gioia a consacré sa passion et son temps à la recherche sur le sujet. Il a constaté que, malgré quelques rares incendies isolés, l’édifice de 47 étages a été détruit de manière symétrique, en seulement moins de sept secondes le 11 septembre.

L’enquête officielle sur l’effondrement a été menée par l’Institut national des normes et de la technologie (en anglais : National Institute of Standards and Technology NIST), une agence relevant du Département du commerce américain, qui a en quelque sorte conclu que les incendies de bureaux normaux étaient responsables de la défaillance de la structure. Mais les conclusions de chercheurs indépendants du 11/9 travaillant avec les Architectes et les Ingénieurs pour la Vérité du 11/9 (Architects & Engineers for 9/11 Truth sigle AE911Truth) ont ensuite contraint le NIST à admettre que le bâtiment avait été en chute libre pendant au moins un tiers de ses sept secondes. C’est quelque chose qui ne pourrait se produire que si toutes les colonnes de support s’effondraient pratiquement simultanément. Malgré cet aveu, le NIST s’en tient à sa conclusion initiale.

Gioia a décidé d’agir dès qu’il a appris que le comité des avocats de l’enquête sur le 11/9 avait soumis à Geoffrey Berman, procureur américain du district sud de New York, une pétition contenant des preuves convaincantes allant à l’encontre de l’histoire officielle du 11 septembre. Berman accepta de se conformer à la loi l’obligeant à désigner un grand jury spécial pour examiner ces preuves. Même s’il n’a peut-être pas encore donné suite à sa demande, le comité des avocats continue de faire pression.

Une étude universitaire confirme que les incendies ne sont pas la cause

La résolution du Munson Fire District n’est pas le seul développement spectaculaire sur le front du 11 septembre ces derniers mois. En mars, AE911Truth, le comité des avocats et des membres de la famille de victimes du 11 septembre 2001 ont engagé une action en justice fédérale contre le FBI. Ils soutiennent que l’agence n’a pas procédé à une évaluation des preuves sur le 11/9 dont elle avait connaissance vu qu’elles n’ont pas été examinées par la Commission du 11/9.

Et peut-être que le progrès le plus significatif a été fait le 3 septembre avec la publication tant attendue de l’innovante étude sur le Building 7 (A Structural Reevaluation of the Collapse of World Trade Center 7, en français Une Réévaluation structurelle de l’effondrement du World Trade Center 7) de l’Université d’Alaska Fairbanks (UAF). L’étude de quatre ans, menée par le Docteur Leroy Hulsey, un universitaire émérite, et deux autres chercheurs, est une « analyse par éléments finis » qui utilise une modélisation informatique basée sur les plans originaux du bâtiment. Son but est de déterminer si l’explication officielle de la destruction du bâtiment 7 est valable. Ce n’est pas le cas.

Le résumé de l’étude indique : « …les incendies n’auraient pu causer un affaiblissement ou un déplacement de membres structurels capables d’engager l’un quelconque des échecs locaux hypothétiques qui auraient provoqué l’effondrement total du bâtiment, pas plus que les défaillances locales, même si elles s’étaient produite, n’auraient pu déclencher une série de défaillances qui auraient entraîné l’effondrement total observé. »

Ceci conduit Hulsey et ses collègues à cette conclusion : « Nous nous sommes fondés sur ces constatations pour dire que l’effondrement du WTC 7 était dû à une défaillance complète impliquant la chute quasi simultanée de toutes les colonnes du bâtiment et non un effondrement impliquant la défaillance séquentielle de colonnes dans tout le bâtiment. »

L’étude Hulsey a été dévoilée lors d’événements à Fairbanks, en Alaska, et à Berkeley, en Californie, au cours du mois de septembre. Il ne s’agit que de la dernière initiative majeure visant à diffuser la vérité sur le 11/9 à un public beaucoup plus large et à obtenir justice pour ceux qui sont morts, ce jour-là et dans les guerres qui ont suivi, guerres qui ont été déclenchées sur la base du 11 septembre.

« Je dirais à tous ceux qui croient en ce pays qu’il est temps de prendre position; vous ne pouvez pas laisser passer cela », dit Gioia. « Parce que s’ils sont capables de tuer 3.000 personnes, que vont-ils faire ensuite ? »

yogaesoteric
15 novembre 2019