Dossier Zuckerberg (2)

Le 13 juin dernier American Intelligence Media publiait le dossier Zuckerberg, une lettre qui fut remise en main propre à un membre de l’Anonymous Patriot’s Conclave quelques jours plus tôt. Si la source est anonyme, il n’est pas très difficile de vérifier ce qu’elle dit.

Lisez la première partie de cet article 

On continue de vous présenter cette lettre :

 

« Mark utiliserait des arguments patriotiques, comme ceux déjà mentionnés, pour justifier à la Confrérie sa participation dans cette opération cachée de la CIA. Nous avons argumenté avec lui, mais sans effet. Mark croyait tout ce que ses “ contrôleurs ” lui disaient. Parfois, nous arrivions à le convaincre que ce projet était “ incorrect ”, mais tout ce qu’il fallait était un appel téléphonique “ d’en haut ” et Mark retournait à ses plans. C’était vraiment pathétique de voir que Mark n’avait pas de liberté, mais qu’il lui était dit quoi faire. D’ailleurs, il était si mal organisé et un penseur tellement confus qu’il ne pouvait rien accomplir : travaux domestiques, devoirs, projets au boulot, rien. Donc, il y avait toujours du ménage à faire à la suite de Mark, particulièrement lorsque la compagnie est devenue grosse. Le ménage incluait des trucs stupides comme payer des millions aux autres pour “ voler ” leur code, faire des affirmations stupides à chaque fois qu’il ouvrait la bouche, ou le manque d’attention qu’il avait pour opérer la compagnie.

Mark était toujours un désordre et la Confrérie, ainsi que Sheryl Sandberg, celle qui met la pression de Larry Summers – ces mégalomaniaques sans âme se méritent les uns les autres – aidant les gestionnaires à contrôler Mark, devaient toujours ramasser les pots cassés et essayer de les recoller. Mais cette fois, Facebook et Mark ne peuvent pas être arrangés.

Plusieurs des joueurs originaux de Facebook et de la Confrérie ont reçu de gros pots de vin pour la fermer. Les ententes secrètes de la CIA poussent dans chaque plante à Facebook, mais les initiés de Facebook se retournent contre Mark de toute façon, pour plusieurs bonnes raisons. L’assemblée des gestionnaires veut qu’il soit viré. Les contrôleurs britanniques de Mark ont envoyé Baron Richard Allen pour ramener Mark, mais il a échoué misérablement. Même Sir Nick Clegg, le député-x du premier ministre de Grande-Bretagne fut envoyé pour fermer Mark, mais sans y parvenir. Même le second en poste de la Grande-Bretagne ne peut arrêter Mark et sa stupidité sans fin. Mark ouvre la bouche et cela coûte des milliards à la compagnie. Mark témoigne, et tout le monde se rend compte qu’il ne sait pas la moindre chose de “ sa ” compagnie.

Mark ne sait rien, parce qu’il ne fait rien et ne s’est pas vraiment présenté au travail depuis le début. Mark semble être allergique au travail et ne peut supporter une réunion à moins qu’il ait quelque chose à “ annoncer ”. Il est le pire gestionnaire de l’histoire, et tout le monde dirait la même chose si cela lui était demandé. Nous “ jouons ” comme Mark dirige la compagnie, mais ce n’est pas la vérité. Mark ne peut se diriger lui-même efficacement, encore moins Facebook. C’est pourquoi il échouait à Harvard et allait être renvoyé à cause de ses mauvaises notes, même après que j’ai fait la majorité de son travail pour lui.

Je peux honnêtement dire à ce point, il n’y a pas “ d’initiés ” qui ont une quelconque foi en Mark pour diriger la compagnie, ni même parler en public. Nous croyons que même après que Larry Summers, le père de Facebook, qui a planté Sheryl Sandberg chez Facebook pour fermer Mark et cesser de révéler que Facebook est un outil pour l’agenda Démocrate pour le globalisme, n’a pu arranger la compagnie. C’est l’un des points qui me met le plus en colère. Mark est devenu, au fil des ans, pas un ami de l’Amérique. En fait, il hait l’Amérique et déclame combien il est fier de faire de l’évasion fiscale et de berner le peuple américain – qu’il considère être des animaux.

Mark croit qu’il est un être supérieur – au-delà des êtres humains. Il croit maintenant que c’est tout son travail qui a fait Facebook. Il est complètement trompé par sa propre propagande, qui n’est rien d’autre que des mensonges. C’est parce que Mark est maintenant un danger pour lui-même et le monde que je dois dire la véritable histoire de comment Facebook et les médias sociaux sont devenus les ennemis des Américains et du monde.

Mark fut secoué lorsqu’il a reçu une lettre d’acceptation de Harvard, avant d’avoir appliqué. Pas de test de classement, d’entrevues ou de pré-requis furent demandés. Sa “ programmation ” gouvernementale a offert son acceptation. Harvard voulait Mark, et Mark a fait ce qui lui était dit de faire. Donc, lorsque le président de Harvard, Larry Summers, a fait venir Mark dans son bureau au début de sa première année, Mark n’était pas surpris. Il savait qu’il devrait payer le joueur de flûte. Summers a demandé à Mark de former un groupe pour travailler sur un projet de média social – une supposé compétition parmi les enseignants et les étudiants pour gagner un contrat gouvernemental.

Le but prétendu était de créer un répertoire social et Harvard serait là où les gens pourraient le partager dans de petits groupes. La véritable intention était de créer un réseau social pour manipuler le monde. Mark aimait l’idée, mais était trop paresseux pour faire quoique ce soit. Il s’est fourré le nez dans le camp des autres pour voir ce qu’ils faisaient, mais lui-même ne faisait qu’en parler avec de bons programmeurs et leur a fait des promesses – d’où les nombreuses poursuites à la suite de ces promesses.

Larry Summers a continué de faire venir Mark dans son bureau pour des mises à jour, donc Mark a menti. Occasionnellement, d’autres étaient dans le bureau avec Larry Summers, mais une personne s’est démarquée et s’est présentée à plus de rencontres à l’avenir. Cet homme était de toute évidence la personne en charge de ce projet. Il s’agissait d’un ancien professeur de droit de Harvard James Chandler. Il se vantait d’être l’un des idéalisateurs pour DARPA et qu’il avait développé des langages de bas niveau pour l’armée. Il a prétendu être intéressé par moi, mais je pouvais deviner que c’était un acte politique. Des gars comme moi peuvent sentir ce genre de choses.

 

Avec le temps, il est apparu que Summers et Chandler avait des plans bien plus gros pour le projet de média social et ont eu certaines sources extérieures pour aider à compléter le projet. Mark trouvait étrange que Summers, Chandler, et éventuellement Sheryl Sandberg ne mettait pas beaucoup de pression sur Mark pour produire mais étaient intéressés dans tout ce que Mark apprenait en espionnant les autres groupes pendant presque deux ans.

Un jour, Mark fut appelé au bureau de Summers dans le Massachusetts Hall pour rencontrer un homme inhabituel. Son nom était Andrew Marshall et il était à la tête du Naval Intelligence Net Assessment Office. Mark fut terrifié de Marshall dès le début. Marshall a fait signé Mark une entente secrète avec le gouvernement, et d’autres ententes secrètes avant de dire à Mark la nature militaire ultime de ce que le projet Harvard Facebook entraînait. Mark, et Harvard, était simplement utilisés comme un incubateur d’un projet militaire caché qui nécessitait un visage corporatif. Le professeur Chandler a dit qu’il avait découvert le code source qui accomplirait la tâche semblant impossible de rendre un répertoire social “ accessible ” à des milliards de personnes.

Chandler a ronronné comme les professeurs de Harvard aiment le faire au sujet de comment les élites académiques de Harvard sont le meilleur choix pour faire les premiers tests dû à leur intelligence supérieure. Il a expliqué que ce dilemme de monté en charge ne fut pas solutionné par les fournisseurs habituels de l’armée comme Microsoft, IBM et Oracle pour des raisons qui m’ont dépassé. Il a dit qu’il avait trouvé une compagnie qui avait solutionné le problème, mais ne voulait pas qu’elle soit utilisée par les militaires dans une opération secrète contre les Américains et le reste du monde.

Chandler et Summers ont sélectionné Mark comme leur porte-parole pour mentir et dire qu’il avait écrit le code source pour la monté en charge. Chandler a expliqué que le gouvernement a saisi le code source d’un inventeur et sa compagnie pour l’utilisation dans le projet Facebook de DARPA et Harvard. Il a expliqué dans un langage fleuri de vol de propriété intellectuelle que Mark pouvait être poursuivi par l’inventeur, mais que DARPA le protégerait. Mark leur a dit qu’il était prêt à prendre cette chance.

Mark savait très bien que les gens qui lui avaient lavé le cerveau avaient un grand plan et son rôle était simplement de faire ce qu’ils lui diraient de faire. Mais maintenant, Mark avait peur parce que James Chandler était un membre de l’équipe de sécurité nationale du président, un avocat hors pair en sécurité nationale et en brevet, et un homme noir méchant, laid et effrayant qui pouvait facilement se retourner contre vous comme un pit bull.

Larry Summers avait les mêmes traits de brute élitiste, et était le président de Harvard et un leader mondial en économie. Mark sentait qu’il avait été élevé et protégé par certaines personnes très puissantes. Mais c’est Andrew Marshall, celui qu’ils appelaient “ Yoda ”, qui foutait la trouille à Mark. Après que le plan de Summers et Chandler fut partagé avec Mark, leur patron voulu rencontrer Mark pour s’assurer qu’il était digne de confiance pour faire partie de ce plan démoniaque pour manipuler tout le cyber espace comme si c’était une zone de guerre.

Andrew Marshall n’aimait pas du tout Mark. J’en fus témoin lorsque j’ai demandé d’assister l’un des forums du Highlands Group d’Andrew Marshall en tant que directeur exécutif majeur de Facebook, avec Mark. À chaque fois que Mark ouvrait la bouche, Marshall le dévisageait jusqu’à ce que Mark se la ferme. Marshall a indiqué dans cette rencontre que Mark était le plus gros problème avec l’opération Facebook. Mark était tellement heureux lorsque Andrew Marshall est mort il y a peu de temps. Mark prend maintenant ses ordres de la doublure de Marshall, Dick O’Neil et James Baker qui mènent le Highlands Group. Chandler a aussi travaillé pour le Highlands Group et a dirigé de nombreuses opérations en travaillant directement avec Andrew Marshall et James Baker.

L’opération Facebook coordonnait ses activités avec la firme d’avocats Rose Law Firm à Little Rock, Arkansas, et le groupe autour des voleurs de brevets de Hillary Clinton. Chaque initié de Facebook, qui était là depuis le commencement, savaient que ces choses étaient vraies, mais n’en parleraient jamais de peur des représailles et possiblement d’être tué. Nous parlons du vol de plusieurs trillions de dollars en propriété intellectuelle, secrets d’affaires, de brevets, de conceptions et de code source volé.

Mark s’est vanté pendant deux ans qu’il était capable d’écrire du code source pour la plateforme Facebook, mais il n’a pas produit une seule ligne de code. Pendant deux ans, toute la Confrérie a entendu des promesses d’une percé à n’importe quel moment. Nous avons entendu une excuse après l’autre. Nous avons appris plus tard que c’était parce que l’inventeur avait rencontré des blocages en R&D qui devaient être réglés en premier. Mark a continué à espionner les autres groupes travaillant sur des répertoires du Facebook des étudiants et des employés de Harvard, faisant plusieurs promesses à tous ceux impliqués, mais n’a pas fait de suivi. Mark continuait de promettre qu’il allait juste “ s’asseoir et écrire le code ”, comme s’il n’y avait rien là.

Ses rencontres avec Summers, Chandler, Marshall et d’autres ont continué et Mark revenait tout le temps encouragé. Puis, un jour Mark est devenu terriblement excité à propos du piratage d’un autre étudiant de Harvard parce qu’il avait une partie du programme Facebook. Cet étudiant particulier était premier de classe nommé Max McKibben qui vivait à la porte d’à côté dans la résidence Winthrop, littéralement à 60 mètres de la porte d’en avant de notre résidence Kirkland. Mark a eu le meilleur pirate pour venir dans notre chambre et a utilisé un ordinateur spécial de “ l’école ” pour pirater dans le compte de la messagerie personnelle de McKibben pour voler plusieurs articles sur un invention comme celle que Chandler a décrit. Cet article décrivait EXACTEMENT ce dont Mark parlait depuis deux ans et maintenant un étudiant de Harvard avait la description complète d’un programme qui pouvait faire la même chose.

C’était le 28 octobre 2003 que Mark est revenu du bureau de Summers et a annoncé : “ Que le piratage commence. ” Ce piratage a volé l’article qui a été envoyé au fils de Michael McKibben, le propriétaire de Leader Technologies et le véritable inventeur d’un média social qui monte en charge. Michael a envoyé à son fils Max l’article écrit pour décrire la nouvelle invention. Lorsque Mark a appris que Chandler était l’avocat de brevet de Michael, le voleur a finalement mis un nom sur la cible dont parlait Chandler en termes vagues. »

Lisez la troisième partie de cet article

yogaesoteric

3 octobre 2019