La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science


Dans leurs tentatives désespérées de discréditer même de loin tout ce qui a un sens, les darwinistes s’entichent à questionner l’aspect scientifique du dessein intelligent. Leur immanquable réponse est un « non » péremptoire qu’ils formulent sur la base d’une quelconque affirmation ridicule au hasard du jour. Mais ce n’est pas la bonne réponse. La bonne réponse est : « On s’en fout ! ». Imaginons une théorie qui s’avère correcte sans être « scientifique » (quoi qu’elle signifie) et une autre qui s’avère parfaitement « scientifique » en étant fausse ; il faudrait être un imbécile pour choisir la fausse. Et en posant simplement la question « La conception intelligente est-elle scientifique ? », les darwinistes se désignent eux-mêmes comme étant exactement ce genre d’imbéciles. Ils préfèrent se tromper plutôt que de reconnaître l’existence d’un quelconque dessein intelligent.

Si au moins cette partie de la théorie de Darwin est correcte, alors les scientifiques néo-darwiniens sont aujourd’hui une espèce menacée.

Donc, se laisser convaincre de l’importance à déterminer si le dessein intelligent est « scientifique » relève de la mystification qui vous laissera peu de chance de découvrir la vérité sur quoique ce soit. Cela revient à se désintéresser de ce qui est vrai ou correct et à se préoccuper d’une chose qui n’a aucun rapport avec la question. On se retrouve alors engagé dans une argumentation stupide sans aucun intérêt et l’on passe complètement à côté de l’essentiel.

Mais puisque cette question est fréquemment évoquée, examinons la réalité scientifique de l’évolution elle-même.

Les darwinistes disent que le dessein intelligent n’est pas scientifique parce qu’il ne peut ni être observé ni vérifié. Mais la théorie de l’évolution n’est pas scientifique non plus, puisqu’il n’y a aucun moyen de prouver qu’elle se produit par des mutations aléatoires pas plus qu’il n’est possible d’observer ou de vérifier la sélection naturelle. Ce n’est qu’un des nombreux indices de l’aspect au moins aussi peu scientifique du darwinisme et de la théorie de l’évolution que ne l’est supposément le dessein intelligent. On observe ici l’évidence d’une cécité sélective et d’un manque extrême de circonspection. Toutefois, nous dirions que la situation dans le camp de la théorie de l’évolution est bien pire, ce que nous allons abondamment clarifier.

La liste suivante énumère les raisons pour lesquelles la théorie de l’évolution n’est pas scientifique. Non pas que cela soit vraiment d’un grand intérêt en soi — c’est l’aspect erroné de ces raisons qui est d’importance — mais puisque les évolutionnistes se plaisent à brandir le drapeau de la science à tout bout de champ, montrons simplement à quel point cette gestuelle est malhonnête. Si l’on peut disqualifier la théorie du dessein intelligent en l’accusant de n’être « pas scientifique » par un coup de maître irréfutable, alors donnons à ces crétins de « l’évolution » un avant-goût de leur propre règle du jeu.

La théorie de l’évolution a été imaginée par un bonhomme qui ne possédait aucune connaissance de la cellule, de l’hérédité et de la génétique. La génétique a par la suite démontré que la théorie s’avérait totalement invraisemblable, ce qui fut confirmé par la découverte de l’ADN et de la complexité de tout le système cellulaire. Pourtant, loin d’être reconnue comme abracadabrante, elle acquière un statut d’incontestabilité. Il parait que les espèces évoluent vers d’autres espèces étape par étape même si personne n’est en mesure d’expliquer par quel processus, sans parler du fait que personne ne l’ait jamais vu se produire. Ce n’est pas de la science. C’est du dogmatisme de la pire espèce.

Les darwinistes sont dans l’impossibilité absolue d’expliquer l’origine de la vie. Leurs tentatives en ce sens invoquent des mécanismes qui n’ont jamais été observés dans la Nature. Ce n’est pas de la science. Ils sont souvent réticents à ne serait-ce qu’admettre l’existence du code très sophistiqué de l’ADN, mais même leur orgueil est impuissant face à une telle réalité. La seule origine jamais observée pour un code est le dessein. Par conséquent, la seule théorie expliquant l’origine du code de l’ADN qui puisse être qualifiée de scientifique est le dessein intelligent, la seule reflétant réellement notre expérience réelle, observable et démontrable. Mais au lieu de cela, les darwinistes suggèrent des idées complètement improbables dont le fonctionnement n’a jamais été observé. Est-il possible de trouver moins scientifique ? Autant conclure qu’un clou a dû s’enfoncer dans du bois accidentellement après avoir observé toute sa vie que des clous s’enfoncent dans le bois après avoir été frappés par un marteau (ou un dispositif semblable). Pourquoi ? Pourquoi ignorer les observations de toute une vie ? L’idée que des atomes puissent s’auto-assembler en cellules vivantes complexes et fonctionnelles n’est pas scientifique. Dire « Oui, c’est très improbable et personne ne l’a jamais vu, mais c’est arrivé », c’est comme dire « Oui, je sais que personne n’a jamais vu une licorne, mais elles existent ! ». Exception faite du domaine théorique de l’évolution, nul scientifique ne considérerait sérieusement ces affirmations.

L’idée que « tout aurait pu commencer de façon rudimentaire » pour évoluer progressivement vers la complexité est absurde. Les plus petites bactéries produisent des centaines de protéines. Personne ne sait comment une cellule peut fonctionner avec, disons, quelques dizaines de protéines. La simple fabrication d’une protéine nécessite plus d’une centaine de protéines déjà existantes. La réplication de l’ADN nécessite trente-deux protéines. Même si personne n’a la moindre idée du comment, il n’est pas scientifique de suggérer que tous ces processus pourraient fonctionner avec moins. Ce sont juste des foutaises qui permettent de contourner l’impossibilité factuelle du fonctionnement de l’évolution, des idées complètement irréalistes qui ne servent qu’à maintenir artificiellement en vie le fantoche de l’évolution. De deux choses l’une, soit il est possible d’en démontrer le fonctionnement, soit on invente des scénarios.

L’interdépendance des différentes substances dans les systèmes cellulaires et dans les organismes vivants révèle l’absurdité d’une évolution progressive de ces systèmes. Il est impossible de fabriquer des protéines sans ADN, mais les protéines sont fondamentales pour lire, transcrire et répliquer l’ADN. La biologie recèle tellement de problèmes liés au concept de primauté de « l’œuf ou la poule » que c’en est ridicule. Quelle est l’explication ? « On ne peut pas vraiment l’expliquer avec exactitude, mais on sait que ça arrive. » Comment « savent-ils » ? Ils ne savent pas, mais ils y croient. Il s’agit d’une croyance dogmatique, ce qui n’est absolument pas scientifique.

Si une chose est censée se produire par hasard, quelle est la probabilité pour qu’elle se produise vraiment ? S’il s’avère qu’une telle probabilité est d’une sur 10100 ou d’une sur 105000 ou d’une sur 1040.000 ou plus — comme c’est le cas pour l’évolution — nous pouvons affirmer que la théorie n’est qu’ineptie. Si l’on demandait à des enfants de cinq ans comment la vie a commencé, il est peu probable qu’ils aient une théorie pire que celle qui n’a qu’une chance sur 1040.000 de se produire. Nous vous invitons à prendre quelques minutes pour méditer sur la difficulté d’inventer quelque chose de moins probable que l’évolution.

En concoctant leurs théories sur les processus d’évolution d’un organisme, les évolutionnistes se concentrent sur ce qu’ils désirent voir se produire, et non sur les 9,999,999,999 de choses qui pourraient aller de travers à chaque étape. Tout ça parce qu’ils prennent les espèces 1 et 2, décident que 2 a évolué à partir de 1 et tentent a fortiori de découvrir les moyens de fonctionnement de cette évolution. Ce qui signifie qu’ils sont dans l’obligation d’inventer à partir de tout ce qui peut être utile en s’accommodant même de ce qu’il y a de plus marginal et improbable. C’est en partie concevable, bien que l’improbabilité des mécanismes de l’évolution dépasse de loin celle de toute autre chose, comme mentionné plus haut. Le pire c’est qu’ils ignorent tous les problèmes potentiels qui sont généralement des quintillions de fois plus probables que les événements aléatoires requis. Autant expliquer que l’on peut réparer une voiture en panne en la démolissant avec un marteau qui frapperait au petit bonheur la chance. Le tout étant de mettre l’accent sur la façon dont le marteau pourrait, contre toute attente, frapper au bon endroit. La quantité d’essais nécessaires est ignorée tout comme l’est le fait que chaque coup de marteau est susceptible de causer encore plus de dégâts. Une théorie qui place un espoir infini dans un processus infiniment improbable et qui écarte un grand nombre de choses qui sont très susceptibles de mal se passer n’est pas scientifique. C’est l’antithèse du rasoir d’Ockham.

Seules des mutations mineures s’avérant bénéfiques à la survie dans les conditions actuelles ont pu être observées. Extrapoler de cela vers l’infini en ignorant les réalités biologiques, les mathématiques, la simple logique et le bon sens n’est pas de la science. Une seule mutation observée dans l’ADN ne peut à elle seule expliquer comment un tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance. Permettez-nous de le répéter, car c’est très important. Une seule mutation observée dans l’ADN ne peut à elle seule expliquer comment un tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance. Il s’agit là de deux problèmes distincts et d’ordres de grandeur différents. Toute science digne de ce nom pratiqué dans ce domaine montre que les nouveaux gènes n’évolueront pas par hasard, même avec l’âge de l’univers tout entier à notre disposition.

L’évolution ignore la principale preuve physique : le registre fossile. La réaction face aux découvertes de fossiles est du genre « Waouh ! C’est bizarre. Comment les faire corresponde à notre modèle d’évolution ? ». Rien dans le registre fossile n’a de sens dans le contexte de l’évolution, mais l’impératif apparent est de faire tant bien que mal de leur mieux pour le rendre cohérent. Il arrive parfois qu’une découverte semble soutenir le modèle de l’évolution ce qui fait s’exclamer les évolutionnistes : « Ha ! Vous voyez ? On vous l’avait bien dit ! ». Puis on leur demande ce qu’ils font des quatre-vingt-dix-neuf pour cent de preuves contre l’évolution, et ils prétendent tous ne pas nous avoir entendus. La science devrait partir de l’évidence pour créer des théories crédibles. L’évolution commence avec une théorie peu plausible et tente ardemment d’intégrer les preuves dans cette théorie, même si elle échoue constamment.

Selon la théorie de l’évolution, le cheminement pour passer d’une espèce à l’autre procéderait d’une continuité graduelle. Dès lors et selon ce seul point de vue évolutif, aucune forme définitive d’organismes n’existerait. Tout est supposément en mutation perpétuelle au petit bonheur la chance. Si l’évolution était mue par des mutations et la sélection naturelle, rien n’y mettrait jamais un terme. Les mutations seraient permanentes et la sélection naturelle ininterrompue. Pourtant, le registre fossile montre clairement l’apparition impromptue d’organismes qui restent inchangés durant de longues périodes pour finalement tout à coup disparaître. Bien que la réalité observée soit en totale contradiction avec les estimations « scientifiques » du darwinisme, ces absurdités élevées au rang de « science éprouvée » subsistent obstinément. Ignorer des preuves incommodes n’est en rien scientifique.

En parlant d’estimations, les darwinistes accusent le dessein intelligent d’être incapable d’estimer quoique ce soit — ce qui n’est ni vrai ni pertinent, mais on s’habitue à ce genre de logique tordue quand on a affaire aux darwinistes. Mais quelles estimations le darwinisme peut-il faire ? La théorie de l’évolution ne peut absolument rien estimer de précis. Tout ce qu’elle est en mesure de dire c’est que des espèces pourraient avec le temps se transformer au petit bonheur la chance en d’autres espèces. La théorie du dessein intelligent estime pour sa part que ce n’est pas le cas. Étant donné qu’aucune de nos observations n’a jusqu’à présent montré qu’une seule espèce — vivante ou disparue — pourrait évoluer en une autre espèce, le point de vue du dessein intelligent est cohérent avec ce qui est observé. Le darwinisme ne dispose que d’une seule estimation très vague qui n’a pas une seule fois été confirmée par l’observation.

Les darwinistes tressent sans cesse des couronnes de laurier à toute preuve qui, même de loin, parle en faveur de l’évolution — ce qu’elle ne fait souvent que dans leur tête — et ignorent toutes celles qui pourraient la discréditer. Une science authentique se préoccupera plus des preuves à l’encontre d’une théorie préconçue qu’à celles qui peuvent venir l’appuyer. Ce n’est pas en observant cinq faits qui corroborent une théorie que l’on prouve son exactitude, loin de là. Elle est par contre fausse s’il est possible d’observer un seul fait qui la réfute. Échec et mat. La récréation est terminée, circulez, il y a rien à voir. Trouverait-on une autre solution en méditant un peu plus sur le sujet ? En fait, les preuves qui corroborent la théorie de l’évolution sont rares tandis que celles qui la réfutent sont légion. Lorsque les darwinistes font face à une preuve incommode, ils l’expliquent avec un conte de fées ou l’ignorent en bloc. Prendre ses désirs pour des réalités n’est pas scientifique.

Sans aucune preuve pour l’appuyer, l’évolution étape par étape de la complexité est pourtant élevé au rang de vérité seule et absolue. Nous sommes censés accepter les yeux fermés et sur la simple conviction de quelques hommes très intelligents — d’après eux — le fait que des systèmes irréductiblement complexes aient pu évoluer de façon graduelle, alors que personne n’a été capable d’en expliquer le processus. Une idée qui ne s’appuie sur aucune preuve ni aucun modèle théorique pour l’expliquer n’est pas scientifique. « Nous croyons que c’est possible » ne l’est pas plus.

Les mutations aléatoires et la sélection naturelle sont toutes deux de piètres candidates propres à produire une quelconque caractéristique novatrice. Les mutations produisent essentiellement des déchets et la sélection naturelle ne peut qu’éliminer le pire d’entre eux. Ces deux processus n’ont aucun moyen plausible de créer quoi que ce soit qui ait un caractère inédit. Instituer l’idée que des nuisances sont en mesure de créer une quelconque fonctionnalité, alors que toute notre expérience nous dit le contraire, n’est pas scientifique.

L’évolution contredit les principes scientifiques établis, à savoir l’entropie de l’information. On nous assure que la nature informative contenue dans l’ADN augmente au fil du temps sans aucun intrant intelligent, sans toutefois que cela ait un sens. De par sa nature intrinsèque, l’entropie dégrade le contenu de l’information — c’est ce que nous observons chaque fois que nous voulons bien nous donner la peine de regarder. L’intelligence est la seule source capable d’introduire de nouvelles informations fonctionnelles dans un système. Le hasard n’a rien à voir là-dedans. La théorie de l’évolution n’est pas scientifique.

En se basant sur des conclusions spéculatives pour interpréter des faits, les darwinistes façonnent leur étude à rebours du consensus scientifique. Pour chaque nouvelle découverte, les darwinistes sont contraints d’élaborer une fable qui s’inscrive dans le sacro-saint modèle évolutionniste, une méthode qui le plus souvent requiert une gymnastique mentale significative et une suspension consentie d’incrédulité, dans une « foi poétique » qui permet la création d’une histoire imaginaire en mettant de côté son scepticisme. Tout ça, parce qu’ils ont décidé que la théorie de l’évolution est en conformité avec la réalité. La science a pour objet de déterminer les processus de réalités factuelles et certainement pas celui de décider de la manière dont les choses se produisent pour ensuite inventer des théories qui leur permettent de faire correspondre les preuves à leur croyance préconçue.

Tout en ignorant les faits les plus notoires, les évolutionnistes maintiennent leurs assertions mensongères avec dogmatisme. Afin d’illustrer un des multiples exemples de cette singularité, prenons l’appendice iléo-cæcal dans le corps humain : cet organe est connu pour avoir au moins deux fonctions admises même par une source aussi basique que peut l’être Wikipédia. Pourtant, on ne cesse de nous rabâcher que l’appendice iléo-cæcal serait un organe à structure « vestigiale » dont la fonction initiale aurait été perdue et que seule l’évolution est en mesure d’en expliquer la rémanence. Le livre de Jonathan Wells, Zombie Science [« La Science fantoche », ouvrage non traduit en français – NdT], contient de nombreux exemples d’affirmations similaires dont on nous rebat inlassablement les oreilles, bien que leurs aspects erronés ait été prouvés il y a parfois plusieurs décennies. L’évidente raison pour que décennie après décennie de fausses preuves continuent de nous être donnés en pâture, c’est que la théorie de l’évolution ne bénéficie d’aucune preuve qui la soutienne.

Les darwinistes expliquent généralement pourquoi mais pas comment les choses ont évolué. Insister sur le processus évolutif d’une chose alors qu’il est impossible de démontrer qu’elle peut le faire étape par étape s’apparente à une croyance religieuse. « Les girafes ont développé de longs cous pour pouvoir atteindre les plus hauts feuillages ». COMMENT ? « Ce singe a développé un long doigt mince pour atteindre les trous intérieurs et en extraire les insectes ». COMMENT ??? Les scientifiques ne peuvent pas expliquer comment les choses ont évolué. Paradoxalement, expliquer pourquoi ne fait que renvoyer au dessein intelligent. L’évolution est censée n’avoir aucun but. Expliquer pourquoi une chose a évolué n’a même pas de sens dans le paradigme scientifique dominant. Pour les tenants de l’évolution, la réponse au « pourquoi » se résume toujours à « sans aucune raison ».

Plus controversée que jamais après cent soixante ans d’existence, la théorie de l’évolution s’évertue à tenter de prouver l’impossible. Loin de se renforcer au cours des seize décennies de recherche scientifique, elle est devenue de plus en plus douteuse. Et si cent soixante années de science ont rendu la théorie moins plausible que jamais, dire que cette théorie et la science sont à tout le moins incompatibles est un euphémisme.

Lorsqu’ils considèrent ce qui est ou n’est pas scientifique, les évolutionnistes sont d’avis que la seule vraie science est la science naturelle, c’est-à-dire la science matérialiste [en tant que doctrine qui ramène toute réalité à la matière et à ses modifications – NdT]. Mais le matérialisme est une idéologie qui à l’instar de la Bible n’est étayée d’aucune preuve. Tout comme la religion, le matérialisme est une croyance dogmatique. Professer que la science matérialiste est la seule qui soit d’importance revient à dire que la science religieuse est la seule science qui compte. Les évolutionnistes adhèrent à une croyance précise et définissent la science comme opérant dans les limites imposées par cette croyance. Le résultat devient très vite complètement stupide. On finit par vous dire — entre autres absurdités — que votre conscience n’existe pas vraiment et que vous ne prenez pas vous-mêmes de décisions mais que ce sont vos gènes qui le font. L’objectivité s’évapore car l’apprentissage de la réalité est limité par des hypothèses arbitraires.

Le darwinisme est pour la science un camouflet qui ignore les faits et les preuves ainsi que de nombreux principes scientifiques en axant de préférence leur obstination sur une croyance dogmatique, tout comme le fait la religion. Les darwinistes feraient mieux de sortir de l’obscurantisme en cessant de considérer que leur théorie est aussi inattaquable qu’une vache sacrée. Ils font exactement ce dont ils accusent les créationnistes.

La théorie de l’évolution n’est pas seulement fausse ; absurde, illogique et mathématiquement impossible, elle n’est pas scientifique.

yogaesoteric
5 avril 2020

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