Scott Stevens, ancien météorologue parle des chemtrails (1)

 

Pendant des années Scott Stevens a été météorologue pour plusieurs chaînes de télévision, il a obtenu plusieurs prix pour le sérieux de son travail. Il y a une dizaine d’années, il remarqua des anomalies dans le ciel et commença son enquête sur les chemtrails. Avec méthode et constance, il a découvert que notre climat est entièrement numérisé. Sa carrière s’est déroulée sur une période de 20 ans dans le Kansas, le Nebraska, l’Oaklahoma et New-York. Scott Stevens a poursuivi ses investigations tout en sachant qu’il ne pourrait plus continuer à travailler pour les médias.

 
Scott Stevens

Interview de Scott Stevens :

Question 1 : C’est la première fois pour veritas qu’un météorologue vient parler des chemtrails. Dites-nous comment vous en êtes arrivé là, voulez-vous ?

Oh là là… ça ne s’est pas fait en un jour ! C’est une évolution sur plusieurs années. Je connaissais le terme chemtrail dès 1998 et 5 ans plus tard je comprenais les mobiles de ces manifestations. Au départ c’est mon intérêt pour l’énergie du point zéro et les recherches assimilées qui m’ont mis sur la piste. Et en consultant le site du Lt. Colonel Thomas Bearden, j’ai trouvé un article sur l’ingénierie du climat en Union Soviétique. Il y avait des photos de nuages étranges.

En 2000, j’ai acheté mon premier appareil photo numérique et ma « conversion » s’est faite graduellement, mais il y a eu vraiment un point de non-retour : c’est le jour où il y a eu pour moi un avant et un après.

En allant à la pêche aux nuages, je regardais des images satellite en haute résolution, un front froid dans le Montana – j’étais dans l’est de l’Idaho – et je voyais des structures extrêmement régulières dans ce front froid. À l’époque j’étais conscient de l’existence de la technologie capable de créer des courants d’air pour augmenter la force d’un ouragan, je le savais et j’acceptais que cette arme, ce programme, ait sa place quelque part au sein du système climatique mondial, mais je n’étais pas préparé à voir que l’empreinte de cette technologie était centrée non seulement sur des évènements climatiques majeurs mais aussi sur les affaires courantes de notre quotidien. C’est ce que j’ai vu, ce 6 juin 2000.

Ce qui a attiré mon attention dans cette imagerie satellite du Montana était un nuage carré, bien carré, découpé en face d’une vallée près de la ville de Billings. J’ai d’abord vu l’ombre du nuage car on était à la fin du jour si bien que l’ombre était repoussée vers l’est… je vois l’ombre, je vois le nuage carré… et du coup je fais attention aux détails. À environ 240 kilomètres vers l’ouest, il y a un vide dans ce front froid qui a la forme exacte d’un carré, il avait exactement la même taille que ce nuage carré !

C’était comme s’il avait été découpé là-bas et inséré à cet endroit et là… j’ai senti mon estomac se retourner et je me suis trouvé mal pendant environ 30 minutes, le temps que je comprenne… J’ai réalisé à cet instant que le climat de notre planète avait été numérisé. Ils pouvaient disposer en étapes les actions HAARP d’une zone vers la suivante, puis la suivante et ainsi de suite. Je ne comprenais pas le rôle des chemtrails dans tout ça mais la compréhension allait venir plus tard.

Question 2 :
Comment se fait-il que des centaines de météorologues sortent de chez eux chaque jour, voient le ciel et ne se posent pas de questions ?

Lorsque j’ai compris, je me suis demandé comment ça n’était pas arrivé plus tôt, comment je n’avais pas vu le ciel avec ce regard neuf. J’en ai parlé avec des collègues de la 3 et de la 8, je les ai informés mais c’était trop. Ils pouvaient voir les anomalies, ils disaient : « Je n’avais pas vu les choses ainsi avant… », mais ne réalisaient pas l’ampleur de la situation générale. Ils ne comprennent pas la nature des chemtrails, j’ai passé plusieurs mois à les étudier avant de pouvoir en parler.

Il a aussi fallu que je me procure du matériel car je savais que je voyais des ondes là-haut en forme de nuages, qui ne collaient pas avec la dynamique des fluides et qui ne collaient pas avec l’apparence que devrait avoir un fluide, ni avec le comportement des gaz. Il m’a fallu 4 caméras, 2 ordinateurs, un logiciel time-lapse et du temps passé à observer tous ces films puis à les analyser.

Au départ, je me suis lancé dans cette étude pour voir si quelque chose m’échappait dans le comportement des nuages, principalement parce que je n’aimais plus me retrouver en face des téléspectateurs pour leur présenter des excuses au sujet des prévisions météo erronées, je ne pouvais pas leur dire pourquoi elles étaient inexactes.

Question 3 :
Avez-vous approché des collègues ou même vos supérieurs pour leur parler de ce que vous appreniez lors de vos recherches ?

Je n’ai jamais eu peur de parler. Neuf années de suite j’ai été le N° 1 dans la profession, j’avais un statut et une audience sur 3 chaines TV, mais pour partager ce genre de connaissances il faut aussi partager des antécédents sur l’énergie du vide, sur la capacité de faire avec des distorsions temporelles, sur l’origine de l’énergie qui peut créer un impact sur la thermodynamique des ouragans ou les fronts froids… on parle de quantités énormes. Tout cela était trop pour eux. Je sais que chaque salle de rédaction dans le pays, et aussi chaque salle de rédaction en Europe a vu circuler ce mot : chemtrail, mais que faire à ce sujet ?

Parfois le service météo ou bien le rédacteur en chef ou encore le service scientifique auront fait l’effort d’appeler la FAA [L’Administration Fédérale de l’Aviation] et les bases militaires du coin, la réponse est toujours la même : « Ca ne vient pas de nous… nous ne savons pas ». Fin de l’histoire pour les salles de rédaction. C’est pareil pour l’EPA, [L’Agence de Protection de l’Environnement] je connais des gens là-bas et les employés ont des instructions précises : « Ne posez pas de questions sur les chemtrails ».

Question 4 :
Avec les centaines d’avions que l’on voit tous les jours comment se fait-il qu’on n’ait pas encore entendu un pilote ? Est-ce que ces avions seraient des drones ?

C’est mon opinion, certains d’entre eux parce que j’observe des avions qui interceptent les chemtrails à des endroits bien précis et il est impossible que les avions de ligne civils interceptent un endroit particulier d’une traînée à la seconde près. Nous avons dans le ciel un ballet excellemment orchestré. Je pense que ce sont des drones et que nous avons aussi une flotte civile, ça c’est certain. Il se peut qu’ils ajoutent des particules dans l’atmosphère mais pour les chemtrails, celles qui persistent en se décomposant lentement et qui restent longtemps dans le ciel, je pense que c’est une flotte tout à fait différente. Certains jours le nombre de ces avions peut atteindre celui des avions civils en vol ! C’est un nombre d’avions très élevé et pour moi la question la plus importante est : Où ont lieu les opérations au sol pour ces flottes? Je travaille actuellement là-dessus… où a lieu l’entretien de ces avions ?

Question 5 :
Et d’où vient l’argent ?

Pour l’argent je ne pense pas que la question se pose vraiment. Quand on a le système bancaire que nous avons… doté d’un système bancaire invisible, l’argent est presque insignifiant. Quand on a des trillions de dollars qui disparaissent et réapparaissent en faisant le tour de la planète, tous les faux, toutes les sommes obscènes qui sortent de la FED et qui alimentent Boeing, Lockheed, Honeywell et aussi toutes les industries militaires pour tous ces autres programmes simultanément, l’argent n’est pas un problème.

Question 6 :
Comment se fait-il que les autres pays – je pense au Mexique par exemple qui est un pays souverain et qui n’a pas les moyens de se payer ce programme – comment se fait-il qu’il ait autant de chemtrails dans son ciel ?

Je les vois aussi. Les chemtrails vont du Texas jusqu’au Mexique, il se peut que ce soit dû à ce qui a été nommé les accords Ciel Ouvert, c’est peut-être le mécanisme officiel qui permet aux puissances occidentales le survol des espaces aériens de tous ces pays souverains, selon leur bon vouloir ?

Ce qui m’inquiète c’est l’apparition de ces vols en Amérique du Sud depuis les 5 dernières années et je pense que le Chili, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay, la Bolivie et le Brésil ne se sont pas empressés de signer des accords pour avoir des chemtrails ? Alors pourquoi ces pays ont courbé la tête et ont accepté ? Je me demande…puisque nous savons qu’il y a des armes à énergie dirigée… peut-être, je dis bien peut-être… le tremblement de terre au Chili, celui de Haïti… peut-être que ces gros tremblements de terre étaient des ultimatums, leur méthode de chantage pour que ces pays se soumettent ? Les dégâts matériels de ces tremblements de terre se chiffrent par millions de dollars, des villes entières à reconstruire, sans parler des deux milles morts ou plus.

Journaliste : Je ne soupçonnais pas que vous iriez si loin… vous avez mentionné les armes à énergie dirigée, avez-vous lu le livre de Dr. Judy Wood ?

Elle est brillante, absolument.

Question 7 :
Je ne veux pas trop détourner la conversation des chemtrails, mais que dire de l’ouragan Erin de septembre 2001, catégorie 3 à l’est de New-York… on sait ce qui est arrivé la semaine dernière avec l’ouragan Sandy, même pas catégorie 1 … on a vu les dégâts, ils nous ont prévenu à l’avance et pour Erin ils n’avaient rien annoncé… que pouvez-vous dire là-dessus en tant que météorologue ?

A l’époque je travaillais dans l’ouest des États-Unis, donc Erin n’était pas une menace pour les gens qui suivaient mes bulletins. Ce n’est que des années plus tard que j’ai fait l’association avec le 11 septembre et que j’ai compris qu’Erin était un tank d’énergie.

Je pense que HAARP est l’outil principal ou plutôt la généralisation de tous les outils qui peuvent manipuler l’atmosphère, que ce soit des ondes scalaires, des ondes acoustiques ou de l’énergie éthérique. Pour faire simple on va juste appeler tout ça : HAARP. Ils ont une boîte à outils et elle ne contient pas qu’un marteau, un tourne-vis et un pied de biche… Ils ont différents outils et chacun a sa place.

Pour les chemtrails, l’outil principal est que l’architecte, pour le Temps, a besoin d’une ébauche ou d’un avant-projet ou brouillon de ce que le Temps va faire et quand vous avez le brouillon, vous commencez vos sketches avec des lignes droites. Ce sont vos traînées. Ce ne sont que des lignes droites, là où l’atmosphère sera dirigée intentionnellement.

Si je suis dans les États de l’Ouest, le jet stream vient du Nord-Ouest, ils peuvent assembler à la queue leu leu ces chemtrails de l’Ouest vers le Nord-Ouest avec un écart de 20 %. Ils commenceront à pulser l’atmosphère avec des ondes que vous pouvez voir dans les nuages, particulièrement lors d’un ciel bleu quand il n’y a rien d’autre à part les débris des traînées, vous voyez ces ondes apparaître et au lieu d’avoir un vent qui bouge à 1/20… [inaudible]… sur la boussole, ils peuvent le faire tourner de 100° dans une direction orientée plus à l’Est et ça, ça change la forme du courant et vous avez besoin de ces chemtrails tout comme une carabine a besoin d’une mire ou d’un mécanisme de ciblage pour atteindre la cible désirée.

Les chemtrails leur donnent des lignes longues et droites, au début, ce qui leur permet d’aligner leurs armes et une fois que leur solution a été appliquée (HAARP, scalaires, électromagnétisme…). Comment en mesurent-ils l’efficacité ? Et bien vous attendez, vous commencez une nouvelle ligne, une autre grille dans le ciel et vous observez les formes et la dissolution, les données vont tout de suite dans une base de modèles météo, une solution est générée et s’ils en sont contents ils n’y touchent plus.

S’ils ne sont pas satisfaits ils cherchent quelle est la conduite à tenir, c’est-à-dire commencer une autre grille, appliquer une solution ou attendre et observer. C’est donc une surveillance constante, une collecte ininterrompue de données qui servent à établir des modèles de base.

Le service météo national se sert de ballons, environ 150 pour le pays, ils les envoient deux fois par jour et c’est tout… mais ces types… ont des centaines d’appareils qui génèrent les chemtrails et des douzaines d’autres qui observent ces traînées. Nous avons un service météo resté au Moyen-Âge et un service militaro-industriel au XXIIème siècle. C’est l’étendue de la disparité.


Lisez la deuxième partie de cet article

 

yogaesoteric
16 avril 2020


 

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