Comment les enfants vaccinés infectent les non-vaccinés
Bien que des milliers d’articles de la presse officielle continuent de blâmer les non-vaccinés pour des épidémies qui peuvent se produire, le présent article fournira un contrepoids nécessaire en montrant que les vaccinés peuvent infecter les non-vaccinés (et le font)…
Une étude a été publiée en 2013 dans la revue Vaccine, et intitulée : « Comparaison par rapport à l’excrétion du virus après le vaccin vivant atténué antirotavirus pentavalent réassorti ». Cette étude fait référence au fait que les vaccins antirotavirus contiennent des virus vivants capables de provoquer des infections, de se propager, et même de se transmettre à des sujets non-vaccinés.
« En effet, la transmission de ces deux vaccins antirotavirus ou souches de réassortiment du vaccin à des contacts non-vaccinés a été détectée, même en l’absence de symptômes. »
Une des cinq études référencées confirme que le vaccin peut infecter des personnes non vaccinées, « La transmission du virus du vaccin antirotavirus (Rota Teq) associée à la gastro-entérite à rotavirus ». Cette étude, publiée en 2009, est le premier rapport publié dans la littérature qui a pu identifier la transmission du virus dérivé du vaccin antirotavirus à des contacts non vaccinés, entraînant une gastro-entérite à rotavirus symptomatique nécessitant des soins médicaux d’urgence : « Nous documentons ici la transmission du rotavirus d’origine vaccinale (RotaTeq [Merck et Co, Whitehouse Station, NJ]) d’un nourrisson vacciné à un frère plus âgé non vacciné qui a fait une gastro-entérite à rotavirus symptomatique nécessitant des soins urgents. »
L’étude a également indiqué que deux des cinq souches de rotavirus du Rotateq se sont réassorties pour produire un virus plus dangereux, soit chez le nourrisson vacciné, soit chez le frère non vacciné infecté par la suite : « Les résultats de notre étude suggèrent que le réassortiment entre les souches vaccinales des génotypes P7 [5], G1 et PIA [8] G6 est survenu pendant la réplication chez le nourrisson vacciné ou chez le frère plus âgé. Ce fait pourrait être de nature à augmenter la virulence du virus dérivé du vaccin. »
Ce phénomène de réassortiment des souches du vaccin Rotateq et d’infection subséquente à la gastro-entérite chez les receveurs du vaccin a également été observé au cours d’une étude menée en 2012 chez 61 nourrissons. Une étude nicaraguayenne publiée en 2012 a révélé que l’utilisation généralisée du vaccin RotaTeq a conduit à l’introduction de gènes vaccinaux dans les rotavirus humains en circulation, révélant ainsi que l’introduction généralisée de la souche vaccinale a modifié la composition génétique du rotavirus sauvage qui infecte désormais les populations exposées.
Il a été estimé qu’entre 80 et 100% des nourrissons excrétaient le rotavirus à un moment ou à un autre pendant les 25 à 28 jours suivant la vaccination. Ceci révèle que les vaccinés, contrairement aux hypothèses répandues sur les risques représentés par les non-vaccinés, présentent, en fait, un risque clair d’infection des non-vaccinés, et peuvent produire les conditions virologiques idéales pour la recombinaison de diverses souches de rotavirus, en « super virus » résistants aux vaccins.
Une autre étude, rapportée dans le Document du Centre National d’Information sur les Vaccins traitant de l’excrétion virale du vaccin, précise : « En 2010, un rapport de cas a été publié dans Pediatrics, décrivant le cas d’un garçon en bonne santé, âgé de 30 mois et qui n’avait jamais reçu de vaccin antirotavirus. Ce petit garçon ayant été infecté par le vaccin rotavirus se retrouva aux urgences avec une gastro-entérite sévère 10 jours après que son frère de deux mois, en parfaite santé, eut reçu une dose du vaccin RotaTeq de Merck. Un échantillon des selles a été prélevé dans la salle des urgences et est revenu positif pour les souches dérivées du vaccin RotaTeq (Test RT-PCR). »
Les auteurs de ce rapport de cas ont noté que la transmission des souches RotaTeq à des contacts non vaccinés n’a pas été évaluée au cours des essais cliniques pivots [avant l’homologation]. Ils ont ajouté que les vaccins Rotateq et Rotarix (GlaxoSmithKline Biologicals) sont tous les deux susceptibles de transmission à des contacts.
Le vaccin Rotateq et les conflits d’intérêts
Le vaccin Rotateq contre le rotavirus a été co-créé par le Dr Paul Offit, reconnu comme le principal promoteur et apologiste de l’industrie du vaccin. Il est co-détenteur d’un brevet de l’un des deux vaccins antirotavirus vivants approuvés par la FDA, et que le CDC recommande d’administrer aux nourrissons en 3 doses à l’âge de 2 mois, 4 mois et 6 mois.
Apparemment et historiquement incapable d’auto-critique, malgré ses conflits d’intérêts flagrants, Offit se positionne régulièrement comme un expert des vaccins. Il gagne personnellement à présenter son produit, ainsi que l’ensemble des vaccins recommandés par le CDC comme sûrs et efficaces. Un exemple : dans une entrevue notoire avec les représentants du magazine Parenting, il a affirmé qu’un enfant pouvait recevoir simultanément jusqu’à 10.000 vaccins sans dommage (dans une précédente interview qu’il a corrigée dans la suite, il suggéré qu’un enfant pouvait recevoir jusqu’à 100.000 vaccins).
Un article publié dans Age of Autism résume l’histoire douteuse d’Offit :
– Paul Offit, détenteur du brevet de vaccin contre le rotavirus pour Merck, a été nommé au Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation, Dieu seul sait pourquoi.
– Il a voté pour ajouter le vaccin contre le rotavirus à l’annexe (ce n’était pas celui de Merck, parce que son vaccin n’était pas encore prêt à être commercialisé).
– Ce vaccin contre le rotavirus a provoqué des séquelles chez un groupe d’enfants et a été retiré du marché, mais Offit s’est abstenu de recommander son retrait.
– Quelques années plus tard, le rotavirus a été ajouté de nouveau au programme, avec le vaccin d’Offit en tête de liste.
– Offit a réalisé des dizaines de millions de dollars grâce à la vente du brevet sur le rotavirus qu’il détenait à Merck.
Le vaccin Rotavirus était insalubre depuis le début
Le premier vaccin contre le rotavirus, le Rotashield, composé de quatre rotavirus réassortis a été approuvé en 1999, pour être retiré du marché par la FDA neuf mois plus tard, lorsqu’il fut prouvé qu’il augmentait le risque d’une forme mortelle d’obstruction intestinale connue sous le nom d’invagination, dans un petit sous-ensemble d’enfants très vulnérables.
Le Rotateq d’Offit, qui comprend 5 rétrovirus humains-bovins (oui, c’est-à-dire OGM) était considéré comme une alternative plus sûre quand il a été approuvé par la FDA en 2006, mais de nouvelles recherches publiées révèlent que son vaccin souffre des mêmes graves problèmes.
Une étude a été publiée dans Vaccine, sous le titre : « Risque d’invagination après le vaccin Rota Teq : Evaluation à partir de données de déclarations spontanées provenant du monde entier, et utilisant une approche de cas auto-contrôlée ». L’étude a évalué les rapports venus du monde entier et les a transmis au fabricant du Rotateq jusqu’en mai 2014, tout en ajustant les chiffres dus à la sous-déclaration. L’étude a révélé que le risque relatif d’invagination associé à l’administration du vaccin Rotateq augmentait « dans les 3 à 7 jours qui suivaient la vaccination, principalement après la première dose, et marginalement après les deuxième et troisième doses ». L’augmentation du risque relatif était de 3,45 fois plus élevée au cours de la période des 3 à 7 jours qui suivaient la première dose, relativement à la période témoin de 15 à 30 jours.
Une autre étude reliant le RotaTeq à l’invagination a été publiée l’an dernier dans le New England Journal of Medicine et qui a trouvé environ 1,5 cas (95% IC, 0,2 à 3,2) d’augmentation des vas d’invagination pour 100.000 receveurs de la première dose du vaccin.
Vaccins vivants : la boîte de Pandore des virus fortuits
La mort ou le handicap par suite d’occlusion intestinale après vaccination par le Rotateq est un effet indésirable grave qui est peu susceptible d’être négligé ou ignoré. C’est pourquoi le VAERS (= Vaccine Adverse Effects Reporting system), un système passif de surveillance post-commercialisation du vaccin, a trouvé qu’il s’agissait d’un effet secondaire significatif. On pense cependant que le VAERS n’enregistre que moins de 1% des dommages réels causés par les vaccins, ce qui peut donner une idée de l’étendue des dommages causés par le Rotateq, et qui représente un ordre de grandeur supérieur à ce qui est repris dans le présent rapport.
L’exposition au Rotateq souffre donc, comme c’est le cas pour de nombreux autres vaccins vivants, d’un côté plus accentué en ce qui concerne ses effets secondaires. Ceux-ci peuvent mettre des mois, des années et même des décennies à se manifester dans le nuage multifactoriel des toxicités auxquelles est exposée la population.
Il convient également de noter que le Rotateq a été identifié comme étant contaminé par un certain nombre de virus fortuits, c’est-à-dire de virus qui ont contaminé les cellules vivantes et/ ou les composants biologiques impliqués dans le processus de fabrication du vaccin original. Ces agents clandestins, inconnus des fabricants et des organismes de réglementation qui les ont approuvés, ont infecté les vaccins que reçoivent les enfants. Ces virus comprennent :
– Le Circovirus Porcin 1 (PCV-1) : En 2010, la FDA a suspendu le vaccin Rotarix en raison de la découverte qu’il était contaminé par le virus PCV-1, un virus porcin dont les implications en ce qui concerne l’exposition humaine sont encore inconnues. Considérée comme un risque moindre que le PCV-2, connu pour causer une maladie débilitante chez les porcelets, la FDA a déterminé, après examen, que le PCV-1 ne représente pas un risque pour les millions d’enfants qui y sont exposés.
– Le Circovirus Porcin 2 (PCV-2) : Une étude réalisée en 2014 par des chercheurs du CDC et publiée dans Human Vaccines & Immunotherapeutcs intitulée « Detection of PCV-2 DNA in stool samples from infants vaccinés avec RotaTeq® », a trouvé pour la première fois que le PCV-2 est excrété dans les selles de ceux vaccinés avec le Rotateq. Ils ont découvert qu’un total de 235 échantillons (28,5 %) provenant de 59 receveurs de vaccins étaient positifs pour l’ADN du PCV-2 par un ou plusieurs tests utilisés dans cette étude. De plus, « Vingt-deux des 102 receveurs de vaccins (21,6 %) ont éliminé la souche RotaTeq® et 10 de ces vaccinés (9,8 %) ont éliminé à la fois l’ADN du VPH et l’ARN du vaccin antirotavirus ». Chez les porcs, le PCV-2 a été associé à de graves problèmes de santé, notamment la pneumonie associée au PCV2, l’entérite associée au PCV2, l’insuffisance reproductrice associée au PCV2 et la dermatite porcine et le syndrome de néphropathie (PDNS). En 2010, la FDA a statué, contre le principe de précaution, que ni le PCV1 ni le PCV2 ne sont connus pour infecter ou causer des maladies chez les humains, mais que le PCV2 peut causer des maladies chez les porcs.
– L’ADN du rétrovirus de la souche endogène du babouin : une étude de 2014 publiée dans Advances in Virology intitulée « Screening of Viral Pathogens from Pediatric Ileal Tissue Samples after Vaccination », a trouvé des preuves de contamination par un rétrovirus babouin.
– Le Rétrovirus simien classe D : une étude de 2010 publiée dans le Journal of Virology a révélé que le vaccin Rotateq contient de l’ADN de rétrovirus simien (avec un taux de certitude de 96 %), dont Judy Mikovits, PhD, confirme qu’il peut contribuer à des effets néfastes sur la santé, qu’il s’agisse ou non d’un virus qui se réplique lui-même.
Du fait que les vaccins à virus vivants sont fabriqués dans des co-cultures de cellules et de fluides biologiques provenant de différentes espèces, les virus ont de nombreuses possibilités d’adaptation et de recombinaison pour produire des agents infectieux capables d’une grande virulence. Le Rotateq n’est que l’un des nombreux vaccins du calendrier de vaccination du CDC. Plusieurs vaccins contiennent des virus vivants capables d’infecter ceux qui les reçoivent, cela vaut aussi pour les rétrovirus que l’on qualifie aujourd’hui de pestes modernes parce qu’ils sont capables d’infecter leur hôte. Pour plus d’information, consultez le livre du Dr Judy Mikovits et de Kent Heckenlively : « Plague » ou écouter l’interview du Dr. Mikovits sur Fearless Parent Radio.
De toute évidence, étant donné les preuves révélant les effets indésirables involontaires potentiels du vaccin Rotateq, en particulier la possibilité qu’il infecte des personnes exposées aux virus fortuits, la mise en œuvre du principe de précaution exige la suspension immédiate de son utilisation jusqu’à ce que des réévaluations toxicologiques appropriées puissent être réalisées. Toute personne qui s’interroge sur l’innocuité du programme actuel de vaccination du CDC devrait être en mesure d’indiquer que le Rotateq est un exemple parfait de la raison pour laquelle le programme n’est pas basé sur des preuves, mais plutôt sur des croyances mythologiques en la sécurité et l’efficacité de ces produits dont on n’a jamais démontré la parfaite innocuité.
yogaesoteric
7 mai 2018