Compréhension structurelle de la Matrice asservissante (5)

 

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Le filet de la prédation

Cette géométrie créatrice dépolarisée et caractéristique du champ intermédiaire astral retient ainsi toute Âme vivante sur Terre dans un interminable cycle de réincarnation, dit KARMA. Elle empêche toute conscience d’accéder vers des fréquences plus élevées de son Êtreté, de Ce que l’être humain EST vraiment, hormis quelques éveils de conscience qualifiés par la Tradition de « Voyage du Héros », et qui, souvent à l’occasion d’un accident de vie douloureux, permet d’aller chercher la Connaissance et la Vérité en s’écartant du chemin fréquenté par les foules sous hypnose.

La Matrice, porte de l’Enfer

Dans le fonctionnement de l’Univers et le cheminement de la conscience, la rapide « Voie Descendante » est moins sûre, plus dangereuse, que la lente « Voie Ascendante ». Toute intrusion illégale dans le monde spirituel peut en effet se révéler fatale. On ne peut pas forcer le Spirituel. Si on essaye de rentrer dans la Lumière sans préparation, on se heurte toujours aux tribulations et dangers de l’Obscurité. Tout au moins, une intrusion forcée dans l’initiation rendra fou l’intrus illégal. Une préparation intense pour une telle intrusion est nécessaire, et des organes spéciaux doivent être développés, pour percer avec sécurité le voile qui sépare le matériel du Spirituel.

C’est pourquoi dans la Tradition la porte de l’Enfer était gardée par un chien, le Cerbère à trois-têtes. Il est l’image de l’ombre obscure de l’homme, qui, en son être Spirituel, est également triple. L’homme est corps, âme et esprit, tandis que le chien de l’Hadès a trois têtes, avec la queue du serpent qui a conduit à la chute de l’Homme dans la matière, mais non par la fable biblique du religieux dévoyé. Ce n’est pas un hasard si la queue du serpent est tendue vers le bas, pointant toujours vers le centre de la Terre. Ce n’est pas un hasard si le dieu psychopompe qui guide les âmes des récents défunts en Enfer est dépeint avec une tête canine. Cette forme sombre à tête canine est le dieu égyptien Thot, le Trois-fois-grand, le gardien de toute la sagesse de l’initiation. Le véritable chercheur de connaissance n’aura pas à traiter avec le chien à trois-têtes qui garde le monde obscur.

Ainsi, il ne s’agit donc pas d’une faculté au service du vivant que possède ce treillis, mais d’une abomination, une véritable ruse de la prédation de 4ème dimension pour que les consciences ne puissent pas évoluer au-delà de la matrice artificielle, la matrice cyber. Le corpus trans-dimensionnel en mode « Service de Soi » qui gouverne le Monde a élaboré cette clôture électronique – barrière fréquentielle – sous la forme d’un maillage impénétrable à certaines fréquences de l’information/lumière. Il a pour fonction de limiter la possibilité de moduler ainsi que de transformer les fréquences cosmiques qui sont destinées originellement à modifier naturellement l’ADN contenu dans les cellules humaines, réceptacle de l’information universelle.

De surcroît, les parties de l’ADN qui n’étaient pas essentielles pour survivre – qualifiées d’ADN poubelle par l’« élite » scientifique … – et qui auraient dû permettre de capter l’information-lumière, ont été rendues inopérantes par la manipulation génétique faite par le corpus prédateur au moment de la colonisation humaine de la Terre, laissant les gens spirituellement infirmes. C’est la raison pour laquelle l’ensemble de l’humanité, enfermée dans sa matrice constituée par cette cage « high-tech », est restée près de 350.000 ans avec seulement deux brins d’ADN actifs au sein de son génome. Ceci tout bonnement pour être réduite à un stade de conscience très primitif, gage du royaume des morts et des esclaves.

Comment le treillis de la Matrice retient l’Âme prisonnière après la mort du corps physique ?

Dans son témoignage « Je vois les défunts », l’auteure états-unienne Jane Ross relate les raisons émotionnelles qui font que les esprits restent attachés à la terre, prisonniers du bas astral. Fruit de son travail thérapeutique, elle montre que cet « attachement » est dû aux croyances qu’une personne peut entretenir sur elle-même comme sur le monde de l’après-vie, et que sans une ouverture de conscience, elle ne peut « transiter » avec succès pour gagner une autre dimension de réalité. Il y a en effet des lois qui régissent l’environnement spirituel post-mortem.

Le schéma général est d’abord que les esprits attachés n’ont généralement pas conscience d’être morts, puisque le trauma de la mort semble provoquer une perte de mémoire. Ensuite, les croyances, engendrant des nœuds émotionnels, des jugements et des visions du monde, sont à l’origine de l’attachement prolongé à la terre. Ces croyances peuvent être religieuses (par exemple, une idée précise de l’après-vie, du paradis, de l’enfer, etc.), psychologiques (affaire non réglée avec un proche, entraînant culpabilité, sentiment de responsabilité, etc.), et bien sûr matérialistes (attachement à ses possessions).

Les murailles de l’égo semblent ainsi toujours persister pour protéger la personne d’une souffrance non-reconnue. En quelque sorte, les problèmes avant la mort sont toujours les mêmes après la mort. L’état d’esprit et les émotions, en l’absence de l’effet régulateur du corps physique, semblent prendre une ampleur considérable sur la perception de la réalité. Il s’agit au final pour ces esprits d’être en paix avec toutes les personnes côtoyées durant la vie physique.

Ces esprits attachés à la terre peuvent souvent partager le champ d’énergie d’une personne incarnée et l’influer avec leurs propres états d’esprit, émotions, et pensées. Or la plupart du temps, sans un travail thérapeutique ou une certaine sensibilité, ces influences ne sont pas décelées.

Il semble également que l’attente dans ce champ du bas-astral peut être plus ou moins longue, certains esprits étant bloqués depuis longtemps entre les deux mondes. Une véritable société parallèle semble exister dans ce monde spirituel, et elle est d’une certaine manière consciente de notre environnement. En prenant conscience de son existence, nous comprendrions beaucoup mieux les liens qui unissent les êtres, même après la mort, et par-là même la nécessité de s’en défaire pendant l’incarnation pour s’extirper du filet de captation des âmes insuffisamment épurées …

Cette barrière électromagnétique du champ astral contrôle la fréquence de résonance de l’entité-groupe constituée par les consciences humaines, autrement dit l’égrégore collectif civilisationnel. En le contrôlant, elle peut influer par la prédation psycho-émotionnelle sur le déploiement de son jeu mortifère, tout particulièrement par ses relais terrestres psychopathes, et se nourrir de toutes ses expressions colorées de peurs, haines, violences, souffrances…

Toutefois, des forces trans-dimensionnelles évolutives, en mode « Service d’Autrui » – les Mères Divines ou Vierges Noires  – conformément à la loi d’équilibre ou de symétrie prévalant dans l’univers, ont réussi à en désactiver certains points d’ancrage. Elles ont en l’occurrence permis à des consciences « Service d’Autrui », en provenance du futur, de s’incarner dans un cycle humain afin d’ancrer de plus hautes fréquences. Grâce à leur vibration de résonance beaucoup plus importante, et par la maîtrise du travail intérieur qui permet de développer les capacités de l’ADN, ces individus deviennent des sortes de conduits qui ouvrent le passage à des fréquences beaucoup plus élevées. Ces fréquences commencent actuellement à affaiblir le maillage de la « matrice de l’ignorance » qui retient l’humain dans sa prison, tel que Platon l’a décrit à sa façon dans son allégorie de la Caverne, bénéficiant par-là même à d’autres consciences susceptibles d’éveil. Elles préparent à la fenêtre d’ouverture dimensionnelle correspondant à la fin d’un cycle, conformément à l’application des lois universelles régissant le fonctionnement de la Création. Seuls les ignorants, constituant la majorité de l’humanité, continuent à s’accrocher aux fadaises racontées par les représentants de l’élite aux commandes auxquels ils sont aveuglément liés, n’ayant jamais imaginé qu’ils détenaient en eux les clés de leur libération en comprenant la nécessité impérative de regarder le monde à l’envers …

Son application terrestre

Lieux d’implantation

Pour comprendre l’application du modèle géométrique de la « Fleur de vie » comme création matérielle et physique de la matrice de 3ème dimension terrestre supervisée par le corpus prédateur de 4ème dimension, il suffit d’en observer les éléments explicites répartis dans le paysage, dans des lieux présentés comme sacrés alors qu’ils ne sont que les points d’ancrage de la matrice involutive.

Les villes sous contrôle

New York, Montréal, Philadelphie, Atlanta, Paris, Pyongyang, Dubaï … leurs pyramides allumées et scintillantes la nuit indiquent le contrôle de ces villes par les forces de la prédation.

Prédation énergétique

Le corpus prédateur se nourrit de toute l’énergie émotionnelle électrique des êtres humains qui se répercute sur sa grille magnétique artificielle établie. Aussi tous les égrégores individuels et surtout collectifs alimentés d’énergies négatives – colère, rage, hargne, violence… –, liées à des peurs et à des souffrances, lui procurent force. Le relais du prédateur est logé dans le psyché, l’égo-mental, manipulé par les fausses croyances et les conditionnements délétères. Cette stratégie de diversion est intentionnellement appliquée afin de pousser la psyché de l’individu à la colère et à la rébellion. Ainsi avec Internet, qui s’il peut être un puissant outil d’information et de communication au service de l’évolution humaine, est aussi un puissant moyen de pouvoir et de contrôle au service de l’élite institutionnelle. Tout comme la télévision, les radios et le cinéma, les réseaux sociaux participent à entretenir la propagande dualiste – « like ou unlike » –, en manipulant l’individu à travers son émotionnel et en implantant dans son subconscient des informations subliminales l’éveillant à ses bas instincts et à ses pulsions de colère, de haine, de ségrégation, en l’obligeant insidieusement à prendre un parti quelconque… Ces réseaux font donc office de remarquables indicateurs du niveau de conscience de la société, mais jamais ne contribuent à dévoiler l’existence d’une troisième voie libératrice.

De la même façon, les lieux et édifices présentés comme sacrés sont de nos jours encore le théâtre de rites en tout genre, qui ont pour dessein occulte d’y attirer de nombreuses personnes ignorantes, souvent guidées par des « agents » inconscients de servir le consortium prédateur. Ces visiteurs et touristes, en vénérant ces lieux au travers de cérémonies, de prières ou de simples visites, ne font qu’alimenter l’égrégore de fausses croyances que la prédation utilise pour renforcer le dispositif électronique générant l’illusion dans la matrice. C’est tout l’« art » de la programmation d’endormissement du New Age comme des religions dévoyées que de laisser croire que ces lieux présentés comme « sacrés » sont au service de l’élévation de la conscience humaine. Comme toujours, la désinformation de masse joue de la crédulité et de l’émotionnel d’individus peu soucieux de chercher la vérité en eux-mêmes, certes par manque d’information, mais également et surtout par manque de discernement …

Il est toujours préférable d’honorer son Temple intérieur que de vénérer des monuments et de s’éparpiller à vouloir changer l’extérieur. La réalité extérieure ne change que si la réalité intérieure change, et celle-ci ne change que si on sait accueillir la Connaissance qu’on demande à l’Univers, non aux faux maîtres-enseignants.


Lisez la sixième partie de cet article

 

yogaesoteric
28 mai 2019

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