Jusqu’à 100% des moutons vaccinés contractent un syndrome neurologique chronique

La fièvre catarrhale du mouton peut être mortelle. L’approche habituelle pour pareille épidémie est la vaccination, et encore la vaccination. Une nouvelle étude montre que ces vaccins peuvent provoquer une maladie neurologique auto-immune appelée ASIA – le même type de maladie qui peut être provoquée chez l’homme. Cette étude des moutons espagnols présente un aspect effrayant tant par sa fréquence que par sa gravité. Qu’est-ce que tout cela signifie pour l’homme ?

 

Les pouvoirs en place refusent de faire des études pour comparer la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés. Toutefois, un chercheur espagnol en pathologie animale, Lluis Lujan, était préoccupé par les graves problèmes de santé qui apparaissaient après les vaccinations de masse destinées à lutter contre la fièvre catarrhale du mouton, une maladie virale transmise par les insectes. Une étude a donc été réalisée pour comparer les moutons vaccinés aux moutons non vaccinés. Les résultats de cette étude devraient concerner tout le monde. Bien que le pourcentage des moutons affectés variaient considérablement, il a pu observer que parfois jusqu’à 100% de certains troupeaux étaient dévastés par la maladie provoquée par le vaccin et appelée syndrome inflammatoire auto-immunitaire induit par les adjuvants (Autoimmune/inflammatory Syndrome Induced by Adjuvants (ASIA).

La maladie (ASIA) des moutons

Les chercheurs ont publié leur étude dans le journal Immunology Research. Ils décrivent un syndrome qui ne présente une phase aiguë que dans 0,5% des moutons dont la plupart se rétablissent. Dans la suite apparaît cependant une phase chronique dévastatrice tant par la gravité de la maladie que par le nombre de moutons touchés. L’impact économique est énorme. Ils la décrivent comme suit :

« La phase chronique du syndrome ASIA se produit plus fréquemment dans nos conditions locales de production ovine. Elle provoque un processus neurologique et cachectique qui n’a pas d’équivalant dans la pathologie ovine. Ce problème grave reste inexpliqué pour les agriculteurs et les vétérinaires. La phase chronique ne suit pas nécessairement l’épisode aigu ; elle est, au cours des années, déclenchée par la combinaison de plusieurs vaccinations contenant de l’aluminium, ainsi que par des stimuli externes. »

La gravité de la maladie est généralement liée au stress. Le temps froid, une mauvaise alimentation et une importante production de lait contribuent à augmenter la gravité de la maladie.

Mouton atteint de cachexie (maigreur extrême) à la suite de la maladie ASIA

On trouve la maladie chez environ 50 à 70% des troupeaux et parfois jusqu’à 100% au sein d’un même troupeau. Le syndrome passe par différentes phases. La maladie commence par une période d’excitation au cours de laquelle les animaux affectés sont constamment en mouvement et présentent un comportement anormal ; ils s’agitent et ne cessent de mordre leur laine ; ils finissent par perdre une bonne partie de cette laine et des rougeurs apparaissent sur la peau, accompagnées d’un amaigrissement. Au cours de cette période, les moutons ont un appétit normal ; ils mangent même parfois trop. Cette phase se termine cependant de manière spectaculaire par une soudaine faiblesse, la tête inclinée sur le côté, des spasmes musculaires, ainsi qu’une perte de poids qui se transforme vite en cachexie (= maigreur pathologique).

Au cours de la phase terminale, les animaux ne répondent plus guère aux stimuli, souffrent d’ataxie et de tétraplégie. Ils tombent alors dans un état de stupeur ou de coma et meurent. On sait également qu’ils peuvent faire des avortements spontanés. Les animaux souffrent également de lésions dues à des dépôts graisseux, d’ascites, d’hydrothorax, d’hydropéricarde et d’atrophie des muscles. Les nerfs périphériques s’épaississent chez la plupart des animaux, ils peuvent souffrir de sciatiques.

Les nerfs de la moelle épinière se nécrosent. La plupart des animaux souffrent de méningoencéphalite. Les nerfs périphériques s’épaississent et s’entourent de liquide et de mucus. Certains états de démyélinisation et de perte neuronale ont été enregistrés. Environ la moitié des brebis ont présenté une glomérulonéphrite extramembraneuse.

Le stress, comme le froid de l’hiver, peuvent déclencher la phase ASIA chronique de la maladie.

Le vaccin contre la « langue bleue »

La principale inquiétude des chercheurs est que le vaccin contre la fièvre catarrhale du mouton a été rendu obligatoire pour tous les moutons d’Espagne. Dès l’administration du vaccin, les effets sur les moutons se sont avérés dévastateurs. Les moutons espagnols ont été vaccinés quatre fois par an pour la maladie de la langue bleue – 2 vaccins contre les différentes variétés de la langue bleue et deux rappels par année. Chaque injection comportait de l’aluminium comme adjuvant.

Les agneaux ayant participé à cette étude ont fait l’objet d’un programme de vaccination plus agressif au cours de leurs premiers mois de vie. Il convient cependant de noter que le nombre total de vaccins que chaque mouton reçoit d’année en année est plus élevé que le nombre de vaccins administrés aux agneaux. Au total, ils ont reçu 14 vaccins, tandis que les moutons du troupeau ne reçoivent normalement que 4 vaccins standard par an, plus 4 vaccins pour la langue bleue, donc au total 8 vaccins par an. Passé l’âge d’un an, chaque mouton a déjà reçu plus de vaccins que les agneaux de l’étude apparemment sur-vaccinés.

Ces 14 vaccins ont déclenché une réaction immédiate ASIA aiguë chez les agneaux participant à l’étude et l’expérience a montré qu’il était presque certain que la maladie ASIA serait devenue chronique, si les animaux n’avaient pas été abattus pour les besoins de l’étude.

Comme le montrent les résultats, la charge toxique de l’adjuvant aluminium s’accumule dans le sang et le système nerveux central au cours du temps. Et ses effets sous la forme d’ASIA sont dévastateurs…

Jetons maintenant un coup d’œil à la fièvre catarrhale. Elle est causée par un virus transporté par des insectes. Ce virus ne peut pas infecter les humains. La protection des personnes n’est donc pas nécessaire. La maladie de la langue bleue affecte les moutons, les chèvres et quelques bovins. Chez les ovins, la maladie peut être légère comme mortelle… La moyenne de mortalité varie de 0 à 30 %, bien que le taux de mortalité puisse être nul. Dans certains troupeaux particulièrement sensibles, la mortalité peut parfois atteindre 100%.

Chez les bovins, seuls environ 5% attrapent la maladie de la langue bleue et les morts sont rares.

 

Si l’on compare la maladie de la langue bleue avec les effets dévastateurs du vaccin, on réalise vite qu’il n’y a guère de sens à vacciner contre cette maladie. Si un mouton a été infecté et survit, plus aucun problème ne se posera. Par contre quand un mouton attrape la maladie ASIA, celle-ci représente une sentence de mort – la réalité est qu’il n’existe pas plus de chances que les moutons soient infectés par la maladie de la langue bleue qu’ils ne soient frappés par la maladie ASIA due à la vaccination.

Conséquences pour l’homme

La maladie ASIA n’est pas seulement une maladie du mouton. Des formes humaines de cette maladie sont de plus en plus connues et leur gravité est comparable à celle des moutons. La Myofasciite à Macrophages (MFM) est l’une d’elles. Il peut aussi s’agir du Syndrome de la Guerre du Golfe, comme d’autres maladies. L’on sait que la MFM peut être provoquée par l’adjuvant aluminium.

Il est certain que le fait que l’aluminium des vaccins provoque la maladie débilitante et mortelle du mouton n’est pas automatiquement transposable chez l’homme. Cependant, la combinaison des effets dévastateurs qui se produisent chez les moutons et du fait qu’il existe des preuves que les adjuvants aluminiques provoquent des symptômes similaires à la maladie ASIA chez les humains, devrait entraîner le retrait de l’aluminium des vaccins. Il n’est en effet pas possible de trouver une raison qui soit autre que commerciale pour justifier le maintien de l’aluminium dans les vaccins.


Censure d’un article consacré à l’aluminium vaccinal

L’article du Pr Lluis Lujan consacré à l’aluminium vaccinal chez le mouton a fait l’objet d’une censure scandaleuse, qui ne repose sur aucune base scientifique. L’omerta sur le rôle joué par l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal dans la survenue de pathologies diverses se poursuit.

Les faits

Un article intitulé « Cognition et comportement chez le mouton vacciné (de manière répétée) avec des vaccins contenant un adjuvant d’aluminium ou avec un adjuvant d’aluminium seul », dont l’auteur correspondant est le Pr Lluis Lujan (Vétérinaire – Université de Saragosse – Espagne), a été accepté et publié en ligne dans Pharmacological Research (Elsevier) le 3 novembre 2018.

Le 11 janvier 2019, Lluis Lujan reçoit un courrier électronique de l’éditeur qui avait accepté le document (E. Clementi, Université de Milan). L’éditeur fait part à Lluis Lujan de son inquiétude après avoir reçu des questionnements anonymes, et il demande à Lluis Lujan une réponse urgente ainsi que toutes les data brutes. A défaut, il retirera l’article. Il invite aussi Lluis Lujan à le retirer de lui-même. Bien que choqué par la démarche, Lluis Lujan répond rapidement à ces questionnements qu’il juge sans fondement scientifique sérieux.

Après avoir reçu cette réponse de Lluis Lujan, E. Clementi fait appel à un expert en statistiques (Elia Biganzoli – Université de Milan) pour en « analyser le contenu ». E. Biganzoli décide d’effectuer un nouvel examen du texte original, sans tenir compte du questionnement anonyme et des réponses apportées par Lluis Lujan.

E. Biganzoli fait quelques observations et mentionne comme principal problème de l’article le fait qu’il ne fait pas référence à des écrits de David Hawkes (Virologue – VCS foundation, organisation fortement impliquée dans la vaccination HPV en Australie depuis 2008), mais recommande de publier le document tel quel.

E. Clementi avertit alors Lluis Lujan qu’il va retirer la publication, sur la base de certaines des « observations » faites par E. Biganzoli, et sans tenir compte de la conclusion principale de E. Biganzoli. Lluis Lujan réagit immédiatement, montrant que pas une seule observation d’E. Biganzoli n’est scientifiquement valable, et qu’il maintient son article sans modification.

Le document est finalement retiré le 8 mars par E. Clementi.

Cette décision de E. Clementi n’a aucune base scientifique. Le rôle joué par la déléguée d’Elsevier (A.M. Pordon) est tout aussi scandaleux. Elle soutient pleinement cette inconduite scientifique en essayant de justifier l’injustifiable. La décision de retirer l’article avait probablement déjà été prise (entre elle et E. Clementi) avant le premier contact avec Lluis Lujan.

Les preuves de ce qui est écrit ci-dessus sont dans un exposé de Lluis Lujan, disponible sur demande.
 
 
 

yogaesoteric

27 mai 2019

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