Divulgation Cosmique S12 : EP6 Un nouvel initié est mis à l’épreuve (1)

 

Jay Weidner :
Aujourd’hui avec nous, un invité spécial : Jason Rice, qui affirme avoir fait partie du Programme spatial secret. Son histoire est incroyable, elle vous fascinera.

Bonjour, Jason.

Jason Rice : – Bonjour, Jay. Merci de me recevoir.

Jay :
C’est un plaisir, car votre histoire est fascinante. Vous êtes allé à l’université grâce à l’Armée.

Jason : Je suis allé au Florida Institute of Technology avec une bourse de quatre ans en ingénierie. J’avais reçu une bourse d’études médicales au ROTC de l’Air Force. Et j’avais reçu une bourse d’études en ingénierie dans l’US Army. Et j’avais choisi l’ingénierie. J’ai été engagé le même jour ou j’ai eu ma licence en ingénierie civile. En fait, à la fin de mes études, j’avais demandé à continuer avec un master. Et ils m’ont dit non. « Vous vous diplômez en décembre et commencez votre service actif immédiatement. »

Jay :
Deux mois après être entré en service actif, vous vous attendiez à un changement d’ordres, et tout allait être parfait. Mais que se passe-t-il ?

Jason : Je me présente dans ce centre et je rencontre mon nouveau commandant de compagnie. On rentre dans le premier ascenseur avec deux boutons : montrer et descendre. Rien d’autre. Il a mis sa main sur un scanner dans le mur, et on a commencé à descendre. La descente a duré cinq minutes. Et presque en bas, je me souviens avoir eu une sensation très étrange de vertige, ou le monde semble se retourner pendant une seconde, puis c’était fini.

Jay :
Y avait-il des caméras dans l’ascenseur ?

Jason : J’en suis sûr, mais je n’ai rien vu. On m’a dit plus tard, que dès le moment où je suis entré dans l’édifice, j’étais surveillé. Et toutes mes action, choix et décisions étaient enregistrés et utilisées pour une partie de mon entrainement. Quand on est arrivé donc tout en bas de la descente en ascenseur, il avait la main sur son arme de poing. Un berreta. Et il regardait très intensément ce que je faisais. Bien sûr, je ne savais pas…

Jay :
Il avait peur que vous deveniez fou ?

Jason : Que si je devenais fou, j’essaierais de l’attaquer. Et j’ai appris plus tard qu’il avait dû utiliser son arme avec une autre recrue plutôt ce jour-là. Donc, la descente en ascenseur fini, il s’est ouvert sur une plateforme éclairée de rouge d’environ 3,5 m de haut et 3 m de large. Et à 3 m des ascenseurs se trouve une voie, et il y avait un train capsule, si vous voulez il a la forme d’une pastille. Sa porte, comme d’une Lamborghini, s’est ouverte.

Il était blanc. Et le… La capsule dans laquelle on est rentrés était à peine plus courte que le quai. On rentre dans la capsule, et je m’assieds à droite. Et il vient s’asseoir en face de moi. Et nos genoux se touchent presque. Et la porte se ferme. Je ne pouvais pas dire dans quelle direction on se dirigeait. Je me suis assis tranquillement, et j’ai eu le sentiment qu’on bougeait dans la direction de mon dos. Je regardais donc vers l’arrière.

Et ce voyage il a duré environ 30 minutes. On est passé par un portail, et on n’est plus sur Terre. Et le…

Jay :
Le train est passé par un portail ?

Jason :  Par un portail, oui, et il nous a emmené à un autre endroit. J’ai pu m’en rendre compte, car la résonance de Schumann de fond était différente. Ce n’était pas la même qu’ici. J’ai pu m’en rendre compte. C’est apparu pendant l’hypnose, en fait.

Jay :
OK, une minute. Qu’est-ce que la résonance de Schumann ?

Jason : D’accord. La résonance de Schumann est une fréquence de fond qui est présente sur Terre.

Jay :
Vous avez noté un changement dans cette fréquence de fond en passant le portail ?

Jason : Oui, voilà, après avoir passé le portail.

Jay :
Que sent-on en le passant ? Avez-vous eu des sensations physiques ? Ou mentales ?

Jason : J’étais si concentré sur ce vertige, le monde qui se retournait dans l’ascenseur, que… toujours bouleversé par : « Qu’est-ce qui se passe » ?

Jay :
La nouveauté.

Jason : Exact, et tout est différent. Je n’avais jamais vu tout ça avant. Je n’ai pas noté de différence à ce moment-là. C’était une différence mineure. La différence a dû être minime, entre la fréquence de fond ici et celle ou on est allés. Le changement n’a pas dû être très grand. Et ils l’ont complété aussi avec une fréquence artificielle de fond. Légèrement différente, mais néanmoins différente.

Jay :
Qu’est-ce qu’un portail ?

Jason :  La technologie des portails sert à voyager, et ils peuvent avoir la forme de… être assez grands que pour laisser passer une personne ou un véhicule. Ça sert à aller instantanément d’un lieu à un autre. Dans le système solaire, ou autre part dans la galaxie. De ce que je sais, j’aurais pu être à 1.500 années lumières. Ou un astéroïde abandonné dans notre système solaire. Je soupçonne que c’était Mars.

Jay :
Et ensuite ?

Jason : Donc, voyage en capsule de 30 minutes. On s’est arrêté à ce qui était notre débarcadère, notre arrêt. Je n’ai pas senti le train, la capsule s’arrêter. La seule indication qu’on était arrivé a été l’ouverture de la porte, ce qui m’a foutu la trouille, je croyais qu’on avançait encore. Je croyais qu’il allait se désagréger à tout moment. Et le capitaine qui était avec moi le savait. Il savait qu’on allait s’arrêter, et il observait ma réaction. Il m’a donc vu flipper un instant, car je croyais qu’on allait voir la capsule se désagréger. Il a eu un rictus.

Et j’ai compris alors : « OK, c’est un truc pour les petits nouveaux, j’ai pigé. » Donc, on sort. On est sur cette nouvelle plateforme d’environ 30 m de long et 9 m de haut. L’éclairage était blanc. Il n’y avait plus d’éclairage rouge. Et il y avait une rangée de portes d’ascenseur, deux portes d’ascenseur de taille normale, et la porte d’ascenseur la plus grande que j’ai jamais vue. Une semi-remorque aurait pu passer par là.

Jay :
Vraiment ?

Jason : Elle était énorme. On s’est avancés vers les ascenseurs à taille humaine, il appuie sur le bouton, la porte s’ouvre. Et là, je regarde dans l’ascenseur. Et à 1,2 m en face de moi se trouve un extraterrestre qui me regarde.

Jay :
Ah oui ? Dans l’ascenseur ?

Jason : Dans l’ascenseur. De 1,2 m de haut. De grands yeux sombres. Petite bouche Petit nez.

Jay :
Comment avez-vous réagi ?

Jason : Je me suis tourné pour regarder le capitaine, qui était à ma droite. J’ai montré l’ascenseur du doigt et j’ai dit : « Il y a quelque chose dans l’ascenseur. » Il a dit : « Ah oui, quoi ? » J’ai regardé dans l’ascenseur, il avait disparu. Je n’allais pas lui dire ce que j’avais vu, car à ce moment-là, je ne savais toujours pas ce qui se passait.

Jay :
Aviez-vous peur ?

Jason :  J’étais surpris. En y repensant, ce n’était pas tant de la peur que : « Que fait-il ici ? » Plus que « Qu’est-ce que c’est que ce truc ? » Donc… le capitaine n’a pas indiqué qu’il y avait quelque chose d’étrange. Donc, suivant son exemple, je n’allais pas lui dire, à mon premier commandant, que j’avais vu un alien dans l’ascenseur, j’ai attribué ça à un de ces tours pour les petits nouveaux.

Jay :
Jason, une chose qu’on a faite en plus de vous soumettre au polygraphe, a été de faire venir Georgina Cannon, qui est une hypnothérapeute reconnue, pour vous hypnotiser pendant presque trois heures. Je suppose que le but, en fait, de ces sessions, était qu’on espérait que ça ferait remonter d’autres souvenirs et que ça créerait un processus de cognition après les sessions. Et c’est arrivé, non ?

Jason : Oui, tout à fait. Ça m’a aidé.

Jay :
D’accord, écoutons une partie de cette session de régression.

Georgina Cannon :
Dites-moi ce qui est arrivé.

Jason : On est rentré dans l’ascenseur et il est monté. Puis on s’est arrêté, on était dans un énorme… un énorme colisée.

Georgina :
Parlez-moi de ce briefing que vous avez tous eu.

Jason : Ils nous ont tous emmenés dans le… dans l’auditorium. Colonel Schuller est arrivé le premier. Et il s’est adressé à nous, et nous a remerciés. Il nous a remerciés de nous porter volontaires. Si on avait su…

Georgina :
Et qu’a fait le Colonel Schuller ? Il vous a remercié pour ça, et puis quoi ?

Jason : D’autres foutaises. Comme si on avait le choix. Il a dit qu’on était le fer de lance, et qu’on aurait les meilleurs équipements, et qu’on aiderait d’autres planètes. D’autres personnes.

Jay :
On vous a donc hypnotisé. Comment était-ce ?

Jason : Eh bien, c’était… c’était très utile, car des choses sont apparues pendant cette hypnose dont je ne me souvenais pas. Tout un nombre de points et de pièces du puzzle pour lesquels je suis très reconnaissant. Pendant l’hypnose, je me suis souvenu de portes qui s’ouvraient et se fermaient. Et depuis, d’autres souvenirs me sont revenus. Je sais qu’une partie du cadeau de départ qu’ils m’ont fait comprenait occulter des souvenirs, occulter des choses, tout comme des routines, si vous-voulez, qui cherchent constamment à occulter des souvenirs des événements. Des choses sont remontées pendant l’hypnose dont j’ai pu me souvenir en partie. Mais après l’hypnose, je ne me souvenais plus de certains détails en particulier, à nouveau, à cause des routines qu’ils m’ont mises en place pour les effacer. C’est une bataille continuelle que j’affronte régulièrement, au point de vue des souvenirs.

Jay :
J’aimerais en parler plus en détails. Que voulez-vous dire par « routines », Des souvenirs écrans ?

Jason : Je parle des routines qu’ils doivent… Voyez ça comme une gomme mentale qu’ils ont et qui tourne en arrière-plan et qui tente continuellement de retirer les souvenirs de la conscience. Afin que vous ne parliez pas de choses dont vous ne devriez pas parler.

Jay :
C’est comme un boucle qu’ils vous installent. Quand vous pensez à une chose, la boucle se déclenche et ça en devient exaspérant dans votre tête. Puis vous ne voulez plus y penser.

Jason : C’est presque comme… mettre un verre glacé devant une fenêtre, vous retirez la buée et pouvez voir pendant un instant. Puis la buée réapparaît. Vous devez continuellement frotter la fenêtre pour vous souvenir.

Jay :
C’est une bonne analogie. Recommandez-vous aux personnes qui ont été dans le Programme spatial secret d’aussi le faire ?

Jason : Quand j’ai commencé à me réveiller, ma première réaction a été : « Wow, J’aimerais que ces souvenirs me reviennent tous d’un coup. » Après m’être souvenu de certains souvenirs, j’ai réalisé que c’était stupide. Et que, pour ma santé mentale, mon moi supérieur avait décidé quoi et comment le faire. Faites-vous donc confiance, mais demandez de l’aide aussi, grâce à la régression par l’hypnose ou grâce à une thérapie. Il existe toute une série de façons de vous aider à vous souvenir de tout ça.


Lisez la deuxième partie de cet article

 

yogaesoteric
17 mars 2019

Spune ce crezi

Adresa de email nu va fi publicata

Acest site folosește Akismet pentru a reduce spamul. Află cum sunt procesate datele comentariilor tale.

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More