Les fausses bannières dans l’histoire moderne depuis 1931 (1)
Plus de 90% des attentats réussis dans le monde sont téléguidés par les Services Secrets des États, et la majorité de ceux-ci sont mis au point par la CIA au profit du complexe militaro-industriel qui profite largement des guerres provoquées volontairement ainsi que les Banksters qui dirigent le monde. Les médias liés à ces intérêts, permettent d’annoncer ces « fausses nouvelles » pour influencer l’opinion publique qui acceptera alors ces guerres illégales. A l’heure d’internet, les attentats sous « Fausse Bannière » sont dénoncés rapidement, et pour être décrédibilisés, les médias du système contrattaquent en utilisant le terme « conspirationniste » pour étiqueter toute personne qui remet en cause la version officielle qui, comme le montre cette liste de « False Flag », est très souvent une manipulation.
De plus les médias et les gouvernements cherchent par tous les moyens à ce que les informations libres ne circulent plus (lutte contre les « fausses infos » !!!) afin de continuer à manipuler les populations. Ce qui ressort de cet article, c’est que les grands médias ont été et sont toujours des manipulateurs de l’information, mais qu’ils veulent apparaître blanc comme neige, en accusant les « chercheurs de vérité » comme d’affreux conspirationnistes, alors que ce sont eux qui travaillent avec les comploteurs des gouvernements de l’ombre !
Le grand secret de l’Histoire : le terrorisme d’état des opérations sous fausse bannière!
Ce vieil adage est bien vrai : si l’on ne retient pas l’Histoire, on est condamné à la répéter. Le plus grand secret de l’Histoire que les gens n’ont donc pas encore intégré, puisque c’est un secret, est le terrorisme sous fausse bannière. Il existe de nombreuses attaques sous fausse bannière bien documentées dans lesquelles un gouvernement est l’instigateur et qui, pour des raisons politiques, en reporte la faute sur son ennemi. Les opérations sous fausse bannière ont, sans arrêt, changé le cours de l’Histoire, dans le monde entier. Sauf si le peuple prend conscience de ce style d’opération, les gouvernements continueront à les utiliser pour provoquer de plus en plus de guerres désastreuses.
Dans les exemples suivants, les officiels gouvernementaux qui ont participé à ces attaques (ou en ont sérieusement proposé) l’ont avoué, oralement ou par écrit :
1. – En 1931, les troupes japonaises ont déclenché une petite explosion dans un train et ont accusé la Chine pour justifier l’invasion de la Mandchourie. C’est une histoire connue sous le nom de l’incident de Munken ou l’incident de Mandchourie. Le tribunal militaire international de Tokyo a trouvé que « plusieurs des participants à ce plan, dont Hashimoto (un officier supérieur de l’armée japonaise) ont plusieurs fois admis leur participation à ce complot et ont déclaré que le but de cet incident était de donner une excuse à l’occupation de la Mandchourie par l’armée du Kwantun ».
2. – Un haut officier de la SS nazi a avoué au tribunal de Nuremberg que, sous les ordres du chef de la Gestapo, lui et d’autres militaires nazis ont attaqué leur propre peuple et des infrastructures pour en rejeter la faute sur les Polonais afin de justifier l’invasion de la Pologne.
3. – Le général nazi Franz Halder a aussi témoigné au tribunal de Nuremberg que le dirigeant nazi Goering avait admis avoir donné l’ordre de mettre le feu au parlement allemand (le Reichstag) en 1933 et avait accusé à tort les communistes de cet acte criminel.
4. – Le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev a admis par écrit que l’Armée rouge soviétique avait bombardé le village russe de Mainila en 1939, tout en accusant la Finlande de cette attaque, et s’en est servi comme prétexte pour lancer la guerre d’hiver contre la Finlande. Le président russe Boris Eltsine a admis que la Russie avait été l’agresseur dans la guerre d’hiver.
5. – Le parlement russe, l’actuel président russe Poutine et l’ancien dirigeant soviétique Gorbatchev ont tous reconnu que Joseph Staline avait ordonné à sa police secrète d’exécuter 22.000 officiers de l’armée polonaise à Katyn, en 1940, et en a fait porter la faute aux nazis.
6. – Le gouvernement britannique a admis avoir bombardé, entre 1946 et 1948, cinq bateaux transportant des juifs cherchant à fuir l’holocauste pour se réfugier en Israël et avoir créé un faux groupe appelé Défenseurs de la Palestine arabe, qu’il a accusé d’avoir bombardé ces bateaux.
7. – Israël a reconnu qu’en 1954 une cellule terroriste israélienne opérant en Égypte avait placé des bombes dans plusieurs bâtiments, dont des bureaux diplomatiques américains, et avait laissé des preuves impliquant les Arabes. (Une des bombes s’est déclenchée prématurément, permettant aux Égyptiens d’identifier les coupables et plusieurs Israéliens impliqués ont avoué.)
8. – La CIA a admis qu’elle avait employé des Iraniens dans les années 1950 pour se faire passer pour des communistes cherchant à commettre des attentats, tout cela pour essayer de retourner la population contre le premier ministre élu démocratiquement.
9. – Le premier ministre turc a reconnu que le gouvernement turc avait organisé les attentats de 1955 contre le consulat turc en Grèce, endommageant par la même occasion le lieu de naissance, situé à proximité, du fondateur de la Turquie moderne, tout en faisant porter la responsabilité à la Grèce et justifier les violences anti-grecques.
10. – Le premier ministre britannique a avoué à son secrétaire de la défense que le président américain Dwight Eisenhower et lui avaient approuvé un plan en 1957 pour lancer des attaques sur la Syrie et en reporter la faute sur le gouvernement syrien comme moyen de parvenir à un changement de régime.
11. – Un ancien premier ministre italien, un juge italien et un ancien chef du contre-espionnage italien ont admis que l’OTAN, avec l’aide du Pentagone et de la CIA, ont organisé des attentats en Italie et d’autres pays européens pour que la population se joigne aux gouvernements dans leur lutte contre le communisme. Comme l’a fait remarquer un participant à ce programme secret : « Vous devez attaquer des civils, des gens, des femmes et des enfants, des innocents et des inconnus totalement éloignés de la sphère politique. La raison en est très simple. Tout cela pour pousser les gens, le peuple italien, à se tourner vers l’État pour demander plus de sécurité. » (L’Italie et d’autres pays européens avaient déjà rejoint l’OTAN avant que ces attentats ne soient perpétrés.)
Ils ont aussi exécuté des attentats en France, en Belgique, au Danemark, en Allemagne, en Grèce, en Hollande, en Norvège, au Portugal, au Royaume Uni et encore dans d’autres pays.
Les attentats sous fausse bannière exécutés sous ce programme OTAN/CIA comportent entre autres :
– L’assassinat du premier ministre turc (1960);
– Des attentats à la bombe au Portugal (1966);
– Le massacre de la Piazza Fontana en Italie (1969);
– Des attaques terroristes en Turquie (1971);
– Les attentats à la bombe de Peteano (1972);
– Les fusillades de Brescia en Italie et un attentat à la bombe dans un train (1974);
– Des fusillades à Istanbul (1977);
– Le massacre d’Atocha à Madrid (1977);
– L’enlèvement et le meurtre d’un Premier ministre italien (1978);
– Les attentats de la gare de Bologne en Italie (1980);
– La fusillade et l’assassinat de 28 passants à Brabant en Belgique (1985).
12. – En 1960, le sénateur américain George Smathers propose que les États Unis lancent « une fausse attaque sur la baie de Guantanamo qui nous donnerait l’excuse pour déclencher une bataille puis d’aller renverser Castro. »
13. – Des documents du département d’État montrent que, en 1961, le chef de l’armée et d’autres fonctionnaires de haut niveau discutaient de l’opportunité de faire exploser un consulat en République dominicaine pour avoir le prétexte d’envahir le pays. Le plan ne fut jamais exécuté mais tout ce beau monde l’envisageait comme une sérieuse possibilité.
14. – Comme le gouvernement américain l’a reconnu, des documents de 1962 récemment déclassifiés montrent que le chef des armées a donné son accord à un plan pour faire exploser des avions AMÉRICAINS (sous un plan très élaboré d’échange d’avions) et pour commettre aussi des actes terroristes sur le sol américain, en accuser des Cubains et justifier ainsi une invasion de Cuba.
15. – En 1963, le département de la Défense américain a écrit un mémo poussant à des attaques à l’intérieur de l’Organisation des États d’Amérique, dans des pays comme la Jamaïque ou Trinité et Tobago, pour ensuite en accuser le gouvernement cubain.
16. – Le département de la Défense américain a même été jusqu’à proposer de secrètement payer quelqu’un dans le gouvernement Castro pour attaquer les États-Unis : « La seule solution restante à envisager serait alors de corrompre un des subordonnés militaire de Castro pour qu’il lance une attaque sur Guantanamo. »
17. – La NSA a avoué qu’elle avait menti à propos de ce qu’il s’était réellement passé dans le golfe du Tonkin en 1964, manipulant les données pour qu’elles montrent des bateaux vietnamiens tirer sur un navire américain, justifiant ainsi le déclenchement de la guerre du Vietnam.
18. – Un comité d’enquête du Congrès américain a montré que, dans le cours de sa campagne « Cointelpro », le FBI avait utilisé de nombreux provocateurs, des années 1950 jusqu’aux années 1970, pour perpétrer des violences et les utiliser pour faussement accuser des activistes politiques.
19. – Un haut général turc a admis que les forces turques avaient incendié une mosquée à Chypre dans les années 1970 pour en faire porter la responsabilité sur leurs ennemis. Il expliqua : « Au cours de certaines guerres on accuse l’ennemi d’actes de sabotage pour augmenter la résistance populaire. On l’a fait à Chypre, on a même brûlé une mosquée. » En réponse à l’air incrédule de son interlocuteur, le général a ajouté « C’est juste un exemple. »
20. – Un document déclassifié de la CIA, datant de 1973, a révélé un programme pour entraîner des forces de police et militaires étrangères à la manière de fabriquer des dispositifs piégés, en faisant croire qu’ils les entraînaient seulement à la façon d’enquêter sur les actes terroristes:
Voici le programme :
a. Enseigner aux stagiaires les techniques de base pour utiliser des explosifs de démolition, commerciaux ou militaires, et la manière de les utiliser dans des opérations de terrorisme ou de sabotage industriel.
b. Présenter aux stagiaires le matériel et l’équipement disponibles sur le marché, ceux qui sont susceptible d’être utilisés par des terroristes ou des saboteurs pour fabriquer des explosifs.
c. Familiariser les stagiaires avec les concepts d’analyse de la cible et de planification des opérations utiles à un terroriste ou un saboteur.
d. Présenter aux stagiaires les moyens et techniques concernant les dispositifs piégés avec des travaux pratiques sur des dispositifs déjà fabriqués ou à fabriquer eux même.
Le programme fournit aux stagiaires de bonnes opportunités de familiarisation et d’entrainement en manipulant, préparant et utilisant les diverses charges explosives, agents incendiaires, outils de terrorisme et techniques de sabotage.
Lisez la deuxieme partie de cet article.
yogaesoteric
16 octobre 2017