Les Rothschild et l’apparente opposition entre capitalisme, nazisme et communisme (1)
Les Rothschild conduisent la « Symphonie Rouge »
Aussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l’humanité est vraiment victime d’une conspiration diabolique. Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant.
Une preuve choquante est l’interrogatoire en 1938 par la police staliniste (le NKVD) d’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovsky, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline. La transcription des 50 pages de son interrogatoire, surnommée « The Red Symphony (la symphonie rouge) » n’était pas censée devenir publique. Elle confirme que les Rothschild (Illuminati) planifiaient d’utiliser le communisme pour établir une dictature mondiale au profit des élites richissimes. C’est peut-être le document politique le plus explosif de l’histoire moderne. Il révèle pourquoi les Illuminati ont créé Hitler et ensuite pourquoi ils ont cherché à le détruire, et pourquoi Staline fit un pacte avec Hitler en 1939.
Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France avant de devenir un révolutionnaire. Il était le leader d’un groupe terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919, Lénine le mit en charge du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il défendit avec succès la zone pour les bolcheviks pendant la guerre civile. Staline le nomma ambassadeur de Russie à Paris en 1925. Rakovsky appartenait à la puissante faction Trotskyste qui prenait ses ordres auprès des Rothschild. Beaucoup de membres de cette faction furent tués lors de la purge par Staline du parti communiste en 1937.
Interrogatoire nocturne
Les circonstances de son interrogatoire dans la nuit du 26 janvier 1938 furent très dramatiques. Que pouvait bien dire Rakovsky pour sauver sa vie ? Rakovsky semble utiliser la tactique qui consiste à « tromper en disant la vérité. » Il gagne la confiance en révélant la vérité mais il en omet quelques aspects. Il essaye d’impressionner son interrogateur en disant que lui et Trotsky représentent une puissance invincible qu’il appelle « L’Internationale Financière Capitalo-Communiste. »
Il confirme que le « mouvement révolutionnaire » était conçu pour gagner du soutien en prétendant servir la morale de l’humanité et les idéaux collectifs. Toutefois, le but réel était de donner un pouvoir mondial total aux banquiers en divisant la société et en sapant l’autorité établie. « Révolution » signifiait réellement « renversement » de la civilisation occidentale.
« La chrétienté est notre seul vrai ennemi puisque les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois n’en sont que ses conséquences » dit Rakovsky (Griffin, page 264).
La paix est « contre-révolutionnaire » puisque c’est la guerre qui trace la route pour la révolution.
Rakovsky, dont la langue était déliée grâce à une drogue douce mise dans son vin, se réfère aux Illuminati par « ils » ou « eux ». Il en était un membre mais il ne faisait pas partie du premier cercle. Il explique que l’Ordre des « Illuminati » est une société secrète maçonnique dédiée au communisme. De manière significative, son fondateur Adam Weishaupt prit le nom de « la seconde conspiration anti-chrétienne de cette ère, le gnosticisme » (page 249).
Comment ce récit passionnant fit surface
L’interrogateur était un des agents stalinistes parmi les plus intelligents, Gavriil Kus’min connu sous le nom de « Gabriel. » A part lui et un technicien fiable caché, le docteur Jose Landowsky était la seule autre personne présente. Enrôlé par le NKVD pour aider « à délier les langues des détenus », le docteur Landowsky était écœuré par les nombreuses tortures dont il fut témoin. Toutefois, l’interrogatoire de Rakovsky fut cordial. Le docteur Landowsky doutait que le doux euphorisant qu’il versa dans le verre de Rakovsky eut beaucoup d’effet. L’interrogatoire de Rakovsky, conduit en français, dura de minuit jusqu’à 7 heures du matin. Ensuite, Kus’min ordonna à Landowsky de traduire l’entrevue en russe et d’en faire deux copies.
Le contenu laissait tellement rêveur que Landowsky mit un carbone de plus pour lui-même. « Je ne suis pas désolé d’avoir eu le courage de faire ça » écrivit-il (page 279). (Les Bolcheviks avaient tués le père de Landowsky, un colonel tsariste, lors de la révolution de 1917).
Plus tard, un volontaire fasciste espagnol trouva le manuscrit sur le cadavre de Landowsky dans une cabane sur le front de Petrograd pendant la seconde guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié sous le titre « Sinfonia en Rojo Mayo » en 1949. Le texte complet de « The Red Symphony » a été mis en ligne par Peter Myers.
La transcription fut publiée en anglais en 1968 sous le titre « The Red Symphony: X-Ray of Revolution. » Elle peut être trouvée dans l’ouvrage de Des Griffin « Fourth Reich of the Rich » (1988).
Revelations
Rakovsky donne à son interrogateur une vision étonnante de l’intérieur de l’histoire moderne afin de prouver que ses commanditaires contrôlent le monde. « L’argent est à la base du pouvoir » dit Rakovsky et les Rothschild le fabriquent grâce au système bancaire.
Le « Mouvement Révolutionnaire » était une tentative par Mayer Rothschild et ses alliés de protéger et d’étendre ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire. Selon Rakovsky, « les Rothschild n’étaient pas les trésoriers mais les chefs de ce premier communisme secret… Marx et les plus hauts chefs de la première Internationale … étaient contrôlés par le baron Lionel Rothschild [1808-1878] dont le portrait révolutionnaire fut réalisé par le Premier Ministre anglais Disraeli, qui était aussi sa créature, et nous a été laissé [dans le roman de Disraeli ‘Coningsby’] » (page 250)
Nathaniel Rothschild (1840-1915), le fils de Lionel, avait besoin de renverser la dynastie chrétienne [orthodoxe] des Romanov. A l’aide de ses agents Jacob Schiff et les frères Warburg, il finança la partie japonaise dans la guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse à Moscou en 1905. Puis il fut à l’origine de la première guerre mondiale (Trotsky était derrière le meurtre de l’archiduc Ferdinand) et finança la Révolution Bolchevique de 1917. Rakovsky dit qu’il fut personnellement impliqué dans le transfert de fonds à Stockholm. (pages 251-252)
Le mouvement ouvrier juif (le Bund) était un instrument des Rothschild. La « faction secrète » du Bund infiltra tous les partis socialistes en Russie et fournit les dirigeants pour la Révolution Russe. Alexandre Kerensky, le premier ministre Menchevik en était un membre secret (page 253).
Leon Trotsky était censé devenir le leader de l’URSS. Trotsky, un juif, épousa la fille d’un des plus proches associés de Rothschild, le banquier Abram Zhivotovsky et intégra « le clan. » Malheureusement, des communistes « nationaux » comme Lénine (un quart juif) croisèrent sa route. Lénine rejeta Trotsky et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan des Rothschild.
La première guerre mondiale était censée se terminer comme se termina la seconde. La Russie était censée envahir l’Allemagne en 1918 et aider les révolutionnaires locaux à établir une république populaire. Trotsky fut responsable d’une tentative d’assassinat de Lénine en 1918 mais Lénine survécut. Quand Lénine eut une attaque en 1922, Trotsky le fit achever par Levin, le docteur juif de Lénine. A ce moment critique, l’inattendu se produisit. Trotsky tomba malade et Staline fut en position de prendre le pouvoir. Dans ces circonstances cruciales, les Trotskytes prétendirent supporter Staline et infiltrèrent son régime en vue de le saboter.
Rakovsky caractérise Staline comme un « Bonapartiste », un nationaliste par opposition à un international communiste comme Trotsky. « C’est un tueur de la révolution, il ne la sert pas, mais il s’en sert, il représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste comme Napoléon s’identifiait avec les gaulois… » (page 257)
Maîtriser Staline
Pour contrôler Staline, la finance internationale fut amenée à créer Hitler et le parti nazi. Rakovsky confirma que c’était bien des financiers juifs qui soutenaient Hitler, sans que Hitler en soit vraiment conscient.
« L’ambassadeur Warburg se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas ses origines… Il mentit aussi sur qui il représentait… Notre but était de provoquer une guerre et Hitler était la guerre… [les nazis] reçurent … des millions de dollars envoyés par Wall Street, et des millions de marks par des financiers allemands par l’intermédiaire de Schacht ; [subvenant] à l’entretien des SA et des SS ainsi qu’au financement des élections… » (pages 259-260)
Malheureusement pour les banquiers, Hitler s’est aussi montré rebelle. Il commença à imprimer sa propre monnaie ! « Il s’arrogea le privilège de fabriquer la monnaie, non seulement la monnaie physique mais aussi les outils financiers; il s’appropria l’appareil de falsification encore intact et le mit à travailler au profit de l’état… Pouvez-vous imaginer ce qu’il serait advenu … s’il avait gangrené un certain nombre d’autres états et instauré une période d’autarcie [règne absolu, remplaçant celui des banquiers]. Si vous pouvez, imaginez alors ses fonctions contre-révolutionnaires… » (page 263)
Hitler était devenu une menace plus grande que Staline qui n’avait pas touché à la monnaie. La mission actuelle de Rakovsky était de convaincre Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner l’agression d’Hitler contre l’ouest. L’objectif était de faire l’Allemagne et les nations occidentales s’épuiser les unes les autres avant qu’un autre front ne soit ouvert à l’est.
Selon Walter Kravitsky, le chef des services de renseignements militaires soviétiques en Europe qui fit défection vers l’ouest et fut assassiné en 1941, Staline était déterminé à faire un pacte avec Hitler dès 1934. Il n’avait aucun désir de combattre les nazis. Est-il possible que Rakovsky et ses commanditaires ne le savaient pas? « On Stalin’s Secret Service » (Kravitsky, 1939)
Rakovsky pressa les russes d’utiliser la tactique qui consiste à « tromper en disant la vérité. » Les russes devaient impressionner Hitler avec leur véritable désir de paix. Hitler ne devait pas suspecter qu’il était en train de se faire embarquer dans une guerre sur deux fronts.
Un choix fut offert à Staline. S’il acceptait de partager la Pologne avec Hitler, l’ouest ne déclarerait la guerre qu’avec un seul agresseur, l’Allemagne. S’il refusait, les banquiers aideraient Hitler à le déposer.
Kus’min exigea quelque confirmation de haut niveau. Rakovsky lui dit de voir Joseph Davies, l’ambassadeur US à Moscou, un camarade franc-maçon et représentant de l’administration Internationale Communiste de Roosevelt. Quelqu’un fut envoyé voir Davis qui confirma qu’il y avait beaucoup à gagner si Rakovsky obtenait une amnistie. Le 2 mars 1938, un puissant message radio fut envoyé à Moscou dans le code encrypté de son ambassade de Londres. « Une amnistie ou le danger nazi va grandir » dit-il. Davies assista au procès de Rakovsky et lui fit un salut maçonnique. Le même jour, le 12 mars 1938, Hitler marchait sur l’Autriche.
La condamnation à mort de Rakovsky fut commuée. Certains pensent qu’il poursuivit sa vie sous un nom d’emprunt. Une autre source avance qu’il a été tué en 1941.
Des négociations secrètes furent engagées avec Hitler. Le résultat fut le pacte Ribbentrop-Molotov signé en août 1939, juste une semaine avant l’invasion de la Pologne.
L’interrogatoire semble avoir créé un accord entre Staline et les Illuminati.
La Russie lutte contre l’emprise des Rothschild
L’Europe et les Etats-Unis ont succombé au contrôle des Illuminati depuis longtemps. En Russie, il y a encore quelques spasmes avant la mort. Vladimir Poutine a fait arrêter Mikhail Khordordovsky, le patron de Yukos, la plus grande compagnie pétrolière russe, et l’homme le plus riche en Russie. Poutine annonça que la Russie allait saisir ses 12 milliards de dollars représentant 26% de ses parts dans la compagnie pétrolière, un des nombreux actifs nationaux pillés dans la réorganisation du communisme il y a 15 ans. Nous avons alors appris que les parts avaient déjà été transférées vers nul autre que Jacob Rothschild dans le cadre d’un « accord inconnu jusqu’alors » prévu pour une telle circonstance. Les deux compères se connaissaient depuis des années « par leur amour commun des arts. »
Rakovsky avait dit à Kus’min que les Illuminati ne prenaient jamais de positions politiques ou financières. Ils utilisent toujours des « intermédiaires. » « Les banquiers et les politiciens sont toujours des hommes de paille… même s’ils occupant les place importantes et apparaissent être les auteurs des plans qui sont mis en oeuvre… » (Pages 248-249)
Evidemment, Khodordovsky est un « intermédiaire » pour Rothschild. De même que le sont Richard Perle, Henry Kissinger et Ariel Sharon qui chacun s’exprimèrent contre les actes de Poutine. Perle, l’architecte de la guerre en Irak, appela à l’exclusion de la Russie du G8. Sharon exprima son inquiétude sur « la persécution de l’homme d’affaires juif. » Khodordovsky est juif comme l’est Simon Kukes son successeur. Comme Perle et comme Kissinger.
Beaucoup de juifs servent les Illuminati et c’est une des causes de l’antisémitisme. Mais Tony Blair et George W. Bush les servent aussi et ne sont pas juifs. Les membres du groupe de Bilderberg et des Skull and Bones ne sont pas juifs pour la plupart d’entre eux. Les Illuminati sont une alliance entre les Rothschild et les élites mondiales richissimes unies par la franc-maçonnerie, dont le Dieu est Lucifer.
L’humanité, la magnifique expérience de Dieu, a été détournée et compromise. Depuis les soldats US en Irak jusqu’aux contribuables qui payent la dette nationale US, tous les gens sont « hommes de paille. »
(à suivre)
yogaesoteric
10 janvier 2018