L’Univers électrique « hérétique » — Un nouveau paradigme (3)
par Wallace Thornhill — The Watchers
Dans cet article novateur, Wallace Thornhill présente une nouvelle théorie du tout : l’Univers électrique. Mettez de côté tout ce que vous croyez savoir sur toutes les choses, grandes et petites, car les idées présentées ici bouleversent la donne. Y a-t-il eu un big bang ? Peu probable. La relativité d’Einstein ? Ne tient pas la route. Le Soleil est-il un réacteur à fusion thermonucléaire qui finira par manquer de combustible et par brûler ? Non. Y a-t-il des trous noirs ? Rien de tel. Qu’en est-il de la matière noire et de l’énergie noire ? Oubliez ces absurdités et commencez à vous intéresser à la science du 21e siècle. « […] l’Univers électrique est la seule cosmologie cohérente ayant correctement prédit et expliqué les découvertes de l’ère spatiale. »
Lisez la deuxième partie de cet article
Gravité dipolaire et cosmologie
Remarquez que le même pôle électro-gravitationnel est orienté vers l’extérieur dans tous les corps célestes. Ils se repoussent donc de manière gravitationnelle comme s’ils étaient des particules de même polarité de charge. La force gravitationnelle de répulsion exercée sur la Terre en provenance du reste de l’Univers est suffisante pour accélérer la Terre de 6 x 1024 kilogrammes de 60 km/sec tous les 6 mois alors qu’elle fait le tour du Soleil qui la repousse. La gravité est une force réelle.
Bien entendu, la gravité dipolaire répulsive interdit la formation de galaxies, d’étoiles et de planètes par accrétion gravitationnelle, fusions et collisions. Elle assure l’équilibre et l’ordre dans l’Univers électrique qui n’est pas en expansion. Le père de la cosmologie du plasma, Hannes Alfvén, considérait les systèmes gravitationnels comme « les cendres des anciens systèmes électromagnétiques ». C’est pourquoi la gravité ne s’applique qu’à l’intérieur de l’héliogaine du Soleil qui est plasmatique, [la partie à l’avant de l’« héliosphère », voir l’illustration de la Nasa ci-dessous. À noter la forme d’une chevelure de comète, dans la direction opposée au mouvement du Soleil dans la galaxie – NdT], qui nous protège de l’environnement électromagnétique galactique local. Elle ne fonctionne pas pour les galaxies électromagnétiques.
Le décalage spectral vers le rouge et l’Univers reel
Les preuves observationnelles de la gravité répulsive ont été rassemblées par « le Galilée des temps modernes », le Dr Halton Arp [9]. La notion de « gravité répulsive » existe depuis Isaac Newton mais il fut difficile de lui trouver une explication physique sensée — jusqu’à ce que la gravité soit enfin comprise. Arp a montré que l’Univers visible est bien plus petit que ce que les cosmologistes pensent, car il a trouvé des associations physiques entre les quasars à fort décalage vers le rouge et les galaxies actives à faible décalage vers le rouge [Le décalage spectral vers le rouge est un phénomène où le rayonnement électromagnétique d’un objet subit une augmentation de longueur d’onde dans le spectre visible – NdT]. Dans un exemple des plus significatif, le quasar se trouve devant la galaxie [10] ! Le décalage vers le rouge est donc en grande partie un effet intrinsèque du jeune quasar plutôt que celui d’un effet Doppler dû à la récession à grande vitesse. Edwin Hubble avait raison de croire que l’hypothèse d’un Univers en expansion n’était pas plausible [11]. Le « nouveau principe de la Nature » dont il avait besoin était une compréhension complète du décalage vers le rouge. Les quasars ne sont pas des objets isolés à la limite de l’Univers visible. Ils sont éjectés des noyaux des galaxies actives. Leur décalage vers le rouge diminue et leur luminosité augmente avec la distance par rapport à leur parent. Le fort décalage vers le rouge et la faiblesse sont une mesure de la jeunesse d’un quasar et non de sa distance par rapport à nous [12]. Ce que nous voyons est le « petit univers fini » de Hubble. Le big bang n’a jamais eu lieu !
De manière significative, Arp a également constaté que la lumière décalée vers le rouge des quasars est quantifiée — elle diminue avec la distance de son parent par des incréments distincts, ce qui prouve que dans le quasar l’effet est intrinsèque à la matière. L’absurdité des phénomènes quantiques qui ne se produisent qu’à l’échelle atomique est ici apparente.
L’Univers électrique, qui suit les idées des cosmologistes du plasma, comporte des quasars qui naissent par paires sous la forme de faisceaux de neutrons dirigés en sens inverse, s’échappant par rafales à très grande vitesse le long de l’axe du noyau plasmoïde dense de forme torique de la galaxie active [13]. Lorsque les neutrons se décomposent en électrons et en protons, ils commencent à ralentir dans le champ magnétique galactique et forment de la matière condensée avec une polarisation et une masse gravitationnelles. Comme l’a observé Arp, le quasar augmente sa masse et ralentit. Les électrons légers sont plus ralentis que les protons par le champ magnétique de la galaxie mère, de sorte que le quasar commence sa vie en déficit d’électrons. La polarisation électrique au sein du quasar augmente régulièrement avec l’arrivée des électrons en provenance du « cordon ombilical » que constitue le jet galactique et leur recombinaison avec les protons pour former des atomes d’hydrogène. À mesure que l’état énergétique — polarisation électrique — des électrons et des protons dans les atomes du quasar augmente, les énergies — masses — de l’un ou l’autre atteindront un seuil quantique — comme un atome — et passeront à un nouvel état de résonance. Le spectre émis par les atomes augmentera alors en fréquence, c’est-à-dire que le décalage vers le rouge diminuera, dans une transition quantique.
Les quasars dans l’Univers électrique
Sur la base de ce modèle, le surprenant concept d’« expansion accélérée de l’Univers » n’est pas valable. Les supernovae de type 1a ne peuvent pas être utilisées comme des « bougies standard » car leur luminosité intrinsèque dépend de la puissance disponible de leur galaxie hôte ; plus le décalage vers le rouge est élevé, plus la puissance et la luminosité sont faibles, ce qui a donné lieu à la théorie erronée d’une expansion accélérée de l’Univers et à l’introduction d’une autre mystérieuse « énergie sombre fixe » improvisée. L’Univers visible n’est pas en expansion. Arp l’a trouvé relativement statique et équilibré, et c’est la raison pour laquelle son raisonnement stipule que la gravité est une force répulsive intrinsèquement cosmique.
Décalage vers le rouge
Le diagramme ci-dessus montre la vision conventionnelle du décalage vers le rouge comme mesure de la distance de l’observateur. Il explique qu’à mesure que l’Univers se dilate — résultat du Big Bang en bas du diagramme — la lumière est étirée. Cet étirement est appelé décalage vers le rouge. Le principe est que le rouge est la plus grande longueur d’onde visible de la lumière. Ainsi, toute couleur de lumière qui se déplace vers le rouge sur le spectre de couleur serait considérée comme décalée vers le rouge même si elle n’est pas vraiment rouge. L’opposé du décalage vers le rouge est le décalage vers le bleu. L’Univers électrique soutient que la classe de supernovae utilisée comme « bougies standard » pour mesurer l’expansion de l’Univers est fondamentalement défectueuse. Comme l’a découvert le Dr Halton Arp, le décalage vers le rouge est une indication de l’âge d’un quasar et de sa relation avec sa galaxie mère. Il s’ensuit que l’Univers n’est finalement pas en expansion et qu’il n’y a pas eu de Big Bang. Il est à noter que l’hypothèse du Big Bang a été proposée pour la première fois en 1927 par le prêtre catholique romain et cosmologiste Père Georges Lemaître. Il voyait l’événement comme « l’explosion de l’Œuf cosmique au moment de la création » — voir S. Singh, The Big Bang, Londres, Fourth Estate, 2004.
Notes :
9. Halton Arp, The Observational Impetus for Le Sage Gravity Pushing gravity: New perspective on Le Sage’s theory of gravity, (Apeiron, Montreal (2002).
10. G. Burbidge et al. The Discovery of a High Redshift X-ray Emitting QSO Very Close to the Nucleus of NGC 7319.
11. Edwin Hubble, „…on the basis of the evidence now available, a choice seems to be presented, as once before in the days of Copernicus, between a small, finite universe, and a sensibly infinite universe plus a new principle of nature. And, as before, the choice may be determined by the attribute of simplicity.” The Problem of the Expanding Universe. Science 1942; 95: pp. 212-215.
12. Halton Arp, Seeing Red: Redshifts, Cosmology and Academic Science, Apeiron, Montreal (1998).
13. See Eric J. Lerner, The Big Bang Never Happened, p. 244 ff., Simon & Schuster, 1991.
Lisez la quatrième partie de cet article
yogaesoteric
4 décembre 2020