Les réseaux pédocriminels n’existent pas – Round 31 – Réseau Barker (4)

Lisez la troisième partie de cet article 

Au début des années 80, Barker écrit que le Baron a découvert l’existence du réseau de résistance Jupiter, et l’a détruit. Il explique que ce qui avait le plus énervé le Baron était que Bob avait montré ses films à trop de monde car en faisant cela, il sabotait le plan des illuminatis. Selon Barker, cela a certainement contribué à ralentir le processus du Nouvel ordre mondial.

Pour se venger, le Comité a envoyé des professionnels pour forcer le couple de scientifiques à se suicider, autrement ils tuaient leurs enfants. Barker raconte que pour la première fois de leur vie, ils auraient prié dieu avant de mourir. Une autre équipe s’est occupée de la sœur de Bob, de son mari et de ses enfants. D’autres membres de cette résistance ont été capturés, torturés et tués et quelques-uns seraient parvenus à s’échapper, parfois avec l’aide de James. Barker écrit que James lui a expliqué que les Marianistes de la bibliothèque pensaient qu’il était une réincarnation de Susan l’empoisonneuse, passée du satanisme au christianisme.

 

Après cela, Barker dit qu’il est resté tranquille de nombreuses années, ne voulant rien faire pour énerver ce « Comité ». Il s’est converti et a rejoint une église chrétienne. Puis il a commencé à parler dans l’émission de radio d’un ami d’enfance, Thought Crime Radio, d’abord d’OVNIS et de transhumanisme, puis de satanisme. Il a aussi écrit plusieurs livres sur le contrôle mental et la manière de s’en sortir, des sortes de guides pratiques. Il a aussi écrit sur les délires rituels et les objectifs des satanistes. Le livre se termine avec une dernière information.

Barker explique qu’il a appris par une connaissance du milieu, bien des années après toutes ces histoires, que son bourreau Shotzy avait connu une fin tragique. Son groupe était devenu accro au sang « adrénalisé » (adrenalized), surtout celui des enfants qu’ils enlevaient et torturaient pour boire leur sang. Un jour, ses copains étaient assoiffés et l’ont zigouillée pour boire un coup, explique Barker. Le tout a été filmé. Voilà en gros ce que Kerth Barker écrit dans ce livre.

« J’avoue que c’est la première fois que j’ai connaissance d’un tel récit. Il donne une vision que j’ose qualifier de “soft” des pratiques de la majorité des satanistes, qui m’interroge. Parmi les affaires que je connais, certaines ont révélé des pratiques relevant de diverses formes de ce que j’appelle satanisme, comme un terme générique.

Il y a des pratiques à tendance vaudoues, sans meurtres ou sacrifices, d’autres plus marquées. Il y a toujours une initiation progressive des victimes à des pratiques qui vont crescendo. En ce qui concerne une éventuelle “lutte” interne dans ces groupes de dingues, il semblerait qu’une rivalité entre “satanistes” vieille école et les lucifériens soit en cours.

Mais d’après ce que j’en sais les deux se valent, dans les pratiques comme dans les résultats, qui sont loin d’aller dans l’intérêt commun. »

Le témoignage de Barker est intéressant, il y a un aspect “ insider ” assez rare, qui permet d’expliquer le fonctionnement d’un groupe précis, à un moment précis. Car les faits racontés par Barker remontent à 30, 40, 50 ans, et il semble évident que ces structures ont évolué, de même que leurs méthodes.

« Je crains aussi que le phénomène se soit amplifié, car les témoignages se multiplient bien qu’ils soient systématiquement ignorés, voir étouffés. »

 


Cannibales, buveurs de sang humain et adeptes sataniques de haut niveau

Dans le livre « Cannibalism, blood drinking & high-adept satanism », Barker tente une explication de ce qu’est le satanisme. Il a été forcé par des satanistes à la prostitution quand il était enfant et adolescent, pour faire des films pédopornographiques, mais aussi pour corrompre divers personnages utiles au réseau. Ensuite, les satanistes qu’il fréquentait voulaient l’initier, mais il a pris ses distances et fini par fuir. Dans ce livre, Barker décrit de l’intérieur le fonctionnement des satanistes qu’il a connus, leurs méthodes et leurs objectifs. Ce qu’il dit dans ce domaine correspond à ce qu’on a pu comprendre. Mais, il y a une ou deux thématiques que Barker aborde et qu’il m’est impossible de suivre, comme les extra-terrestres ou les démons. Le résumé qui suit insiste sur les aspects les plus factuels du livre.

Une définition du satanisme

Il considère qu’il y a différentes formes de satanisme, mais que leur motivation est toujours la même : imposer un pouvoir mondial. Il considère, bien qu’il y ait quelques petites différences purement esthétiques, que satanistes et lucifériens, c’est la même chose. Il explique ainsi différentes formes de satanisme :

– Des athées qui rejettent le christianisme en structurant ce rejet par des rituels,

– De vrais païens qui veulent retourner à des religions pré-chrétiennes,

– Ceux qui s’identifient aux mystères de l’Egypte, de la Grèce et de la Rome ancienne,

– Des lucifériens qui sont des francs-maçons de haut niveau, et se réclament davantage de la FM que du satanisme.

– Les gnostiques qui voient lucifer comme l’apporteur de lumière

– Les satanistes « socialistes », comme la Fabian Society, qui veulent imposer un socialisme mondial décrit par H.G. Wells dans « New World Order »,

– Des « scientifiques rationalistes » qui voient le satanisme comme un moyen de rejeter les superstitions et les autres religions. Ils sont souvent proches des « athées ». Pour Barker, le mouvement transhumaniste, qui rêve de remplacer l’homme par des robots, plonge ses racines dans les délires satanistes. « Julian Huxley, qui a été le premier fondateur du Mouvement transhumaniste, était un membre de la société secrète luciérienne », écrit Barker.

– Ceux qui sont à 100% versés dans l’occulte, « comme ceux qui croient en la théosophie, à l’ordre de la Golden Dawn ». En effet, on a déjà beaucoup parlé de ces groupes, en disant d’y faire très attention car ils sont en force. Ces mouvements utilisent des sociétés, des ONG écrans, et tentent de peser au maximum sur les orientations des institutions internationales, l’ONU en premier lieu.

– D’autres veulent regrouper toutes les religions du monde en une seule. « Cela semble être l’objectif du Lucis Trust, qui était à l’origine appelé Lucifer Publications, et qui est maintenant associé aux Nations Unies ». Ces groupes aussi, en effet, sont présents dans des instances de l’ONU.

– Il y a ceux qui vont dans le satanisme pour obtenir des pouvoirs « magicks » (c’est ainsi que Alistair Crowley écrivait le mot « magique ») pour manipuler les autres. Les adeptes de Crowley étaient dans cette veine.

« La plupart des satanistes ne pratiquent pas le cannibalisme, ne boivent pas de sang et ne pratiquent pas le sexe déviant, mais la minorité qui s’adonne à ces pratiques est très significative et influente sur le mouvement international. Les satanistes les plus puissants financièrement dans le monde sont de riches aristocrates qui contrôlent de vastes ressources. Ils maintiennent leur pouvoir à l’aide de criminels accomplis. Et les plus dangereux de ces criminels sont des satanistes qui pratiquent le cannibalisme et boivent du sang », écrit Barker, qui ajoute qu’au-dessus encore de ces ploutocrates (une élite d’amis qui tient le pouvoir) et leurs bras droits, il y a les « Hauts Adeptes Satanistes », des occultistes qui manipulent les gens grâce à des pouvoir qu’ils auraient, et qui prendraient ainsi possession du monde.

 

Les mystères du Sphinx – éducation sexuelle

Dans son autobiographie, Barker a raconté un épisode où le chef du groupe satanique, le Baron, l’a amené chez deux frangines illuminatis, lesbiennes et pédophiles. Elles avaient une impressionnante bibliothèque, et pensaient qu’il leur fallait découvrir les mystères du Sphinx pour accéder au pouvoir mondial.

Leurs parents, écrit Barker, étaient frère et sœur, mariés et satanistes. Apparemment, ils croyaient fermement aux délires d’un disciple sataniste de Freud : « Ce psychiatre satanique a projeté que dans le futur tout le monde aurait une promiscuité sexuelle, parce que la répression sexuelle était la base pour toutes les névroses. Par conséquent, le gouvernement exigera une promiscuité sexuelle de tous ses citoyens afin de guérir la société de la névrose. En outre, cet auteur satanique a fait l’hypothèse que dans le futur tout le monde sera tenu par la loi d’être homosexuel. Ce serait une méthode de prévention de la surpopulation.

Il a prédit que pour accepter cette orientation sexuelle contre nature, les gens devraient être continuellement socialisés dès la naissance et tout au long de leur enfance. Alors l’éducation pédophile des enfants deviendrait alors la norme », écrit Barker.

Voilà qui est intéressant, parce qu’en filigrane, l’objectif de l’« éducation sexuelle » made in ONU/Kinsey est bien celui-là. Puis les parents, devenus homos, se sont séparés, prenant chacun une des filles avec eux, et coupant le contact. Chacun des parents, cependant, leur a fait expérimenter dès l’enfance les relations pédophiles homosexuelles. Puis une fois adultes elles se sont rencontrées et se sont mises ensemble. A ce moment, leurs parents les ont initiées dans le satanisme. Ensuite, selon Barker, elles auraient été recrutées par les illuminatis. Bref, lors de cette visite chez les deux sœurs, il était temps de passer à table. Barker explique que sur la table, le plat était constitué de diverses viandes : porc, poulet, dinde, bœuf, mouton et viande humaine, le tout avec des épices, et un mélange de ketchup et de sang humain. Les deux sœurs ont alors expliqué d’où venait cette viande de « bétail humain ». « Elles expliquent qu’une fois par an, elles “récoltent” une famille de travailleurs migrants. Pendant l’été, les routes du Midwest étaient fréquentées par des voitures et des camions avec des familles de pauvres travailleurs, parfois sans papiers », écrit Barker.

 

Les deux frangines envoyaient les sbires, des femmes en apparence très bien, très chrétiennes, avec des croix autour du cou et des Bibles dans les mains, qui venaient frapper à la porte de ces familles, pauvres mais en bonne santé, et leur amenaient à manger. Évidemment, la nourriture était bourrée de drogues. Quand toute la famille s’était endormie, tout le monde était ramené en van. Après une journée, on leur donnait énormément d’eau, puis quand toutes les drogues étaient parties, on les tuait. Mais le but était de les découper alors qu’ils étaient encore vivants, devant le reste de la famille. Une famille leur suffit pour un an car elles consomment de « la viande de bétail humain » avec modération, mais, d’après ce que décrit Barker, avec une grande délectation. Une partie du sang était récupérée à des fins culinaires.

 

A ce sujet, la description de Barker n’est pas sans rappeler la soirée « Devil’s Heaven » de Lady Gaga et Marina Abramovic, dont on est censé considérer qu’il ne s’agit que d’une « performance artistique » à l’occasion d’une banale soirée VIP.

On ne dit pas que les invités ont mangé de la viande humaine et bu du sang à cette soirée, mais la symbolique n’est certes pas innocente. Les deux sœurs expliquent aussi à Barker que le Sphinx est le symbole parfait du « cannibalisme aristocratique » des lucifériens : en effet, il a un corps de lion qui mange les humains, et une tête d’humain. Barker dit que partout où on voit de grands Sphinx, c’est qu’il y a des satanistes.

L’objectif de cette visite, pour le Baron, était de repérer l’emplacement de leur bibliothèque, bien cachée dans les sous-sols. Mais ils craignaient qu’elles ne les y enferment, comme elles avaient l’habitude de le faire. Apparemment, quand le Baron a mentionné la « Dark Mother », la mère noire qui serait leur supérieure, cela leur a fait suffisamment peur pour éviter de se faire enfermer. Elles avaient de nombreux livres sur le cannibalisme, le satanisme, la pédophilie, le sexe… et pas mal de films et de photos pédopornographiques à vomir, dont l’une le montrait allongé sur un autel. Certaines photos valaient plusieurs milliers de dollars, explique Barker. Par exemple, une photo en noir et blanc montrant une fillette nue, qui est devenue la femme d’un sénateur, qui « valait une petite fortune ».

Le Baron a expliqué à Kerth que les deux frangines étaient en délicatesse avec la dark mother, leur supérieure illuminati, car elles ne rapportaient pas assez d’argent, ne rendaient pas assez service au groupe. Du coup, elle a envoyé le Baron et ses hommes leur piquer leurs livres, leurs biens et leurs esclaves.

 

Lisez la cinquième partie de cet article 

yogaesoteric

12 juillet 2018

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