Big-Pharma a déjà été incriminé de simuler de fausses pandémies pour remplir ses coffres

 

La dernière vague d’hystérie concernant une pandémie s’est produite lors de l’épidémie de H1N1 de 2009 aussi appelée « grippe porcine ».

Si quelqu’un se souvient vaguement du H1N1 — et a besoin d’éléments d’informations pour se rafraîchir la mémoire — c’est probablement parce que la pandémie telle que l’ont présentée des responsables de la santé publique corrompus et des médias complices a fait pschitt. Parmi ces responsables de la santé publique corrompus figuraient des « experts » de l’Organisation mondiale de la santé à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques qui ont utilisé leur position pour déclarer « pandémie » l’apparition de la grippe H1N1, justifiant ainsi le fait que des gouvernements ont également payé pour stocker des médicaments de grandes entreprises pharmaceutiques pour des patients qui n’en ont jamais eu besoin.

Dans l’article intitulé « Les experts de l’OMS en matière de grippe porcine sont „liés” aux sociétés pharmaceutiques », la BBC stipulait :
« Une enquête a révélé que les principaux scientifiques à l’origine des conseils de l’Organisation mondiale de la santé sur la constitution de stocks de médicaments contre la grippe pandémique avaient des liens financiers avec des entreprises qui étaient susceptibles de faire des bénéfices.
Selon le British Medical Journal, les scientifiques avaient ouvertement déclaré ces intérêts dans d’autres publications, mais l’OMS n’a fait aucune mention de ces liens. »

La BBC cite nommément GSK, en notant :
« […] …trois scientifiques ayant participé à l’élaboration des orientations de 2004 avaient auparavant été payés par Roche ou GSK pour des conférences et des travaux de conseil, tout en étant impliqués dans la recherche pour les entreprises. »

Également mentionné, Roche [entreprise pharmaceutique suisse comme Novartis – NdT] produit actuellement des kits de test Covid-19 et réalise manifestement des bénéfices massifs en les vendant dans un contexte d’hystérie soutenue dans le cadre de la « pandémie ». Elle avait déjà profité du fait que les responsables de l’OMS avaient en 2009 déclaré « pandémie » le H1N1, en vendant des kits de test et des médicaments antiviraux qui se sont empilés dans des stocks gouvernementaux complètement inutiles.

Dans un article de 2014 intitulé « Selon une étude, les stocks du médicament Tamiflu de Roche sont un gaspillage d’argent », Reuters précise :
« Les chercheurs qui se sont battus pendant des années pour obtenir des données complètes sur le Tamiflu, le médicament antigrippal de Roche, ont déclaré jeudi que les gouvernements qui le stockent gaspillent des milliards de dollars pour un médicament dont l’efficacité est douteuse. »

L’article notait également :
« Les ventes de Tamiflu ont atteint près de 3 milliards de dollars en 2009 — principalement en raison de son utilisation dans la pandémie de grippe H1N1 — mais elles ont depuis diminué. »

Allons-nous vraiment permettre à ces mêmes entreprises et aux fonctionnaires corrompus avec lesquels elles sont liguées par le biais des organismes nationaux et internationaux de reprendre les rênes au milieu du Covid-19 ?

L’hystérie du Covid-19 est provoquée par une kyrielle de criminels

Cette même Organisation mondiale de la santé mène aujourd’hui la riposte face au Covid-19 en partenariat avec les mêmes criminels de l’industrie pharmaceutique, et ce sont les mêmes médias complices ayant permis dans le passé la corruption et les abus de ces deux entités qui contribuent aujourd’hui à alimenter l’hystérie du Covid-19. Le but est de transmettre un pouvoir sans précédent à ces mêmes intérêts qui dégageront des profits inégalés, et qui se sont avérés à maintes reprises dans le passé non seulement indignes de confiance mais qui ont aussi constitué des obstacles à la santé humaine — plutôt que des garants de celle-ci.

Bientôt, les seringues seront remplies de « vaccins » produits par ce conglomérat de corruption et d’abus en toute genre, et il sera demandé au public de retrousser ses manches et de se faire injecter des substances créées par des criminels au sens propre du terme.

Sous l’illusion de la légitimité, de la science et de la médecine, les gens seront contraints de se soumettre aux grandes entreprises pharmaceutiques et à leurs co-conspirateurs au sein des organismes de réglementation, des organisations consultatives, du gouvernement et des médias, peu importe le contenu de ces seringues, peu importe qu’il protège ou pas le public contre le Covid-19, et peu importe qu’un tel vaccin soit vraiment nécessaire ou qu’il ne le soit pas.

Bien que le Covid-19 puisse être un véritable agent pathogène, les preuves suggèrent qu’il ne justifie pas les réactions excessives que nous observées dans le monde entier. L’« hystérie du Covid-19 » a — de très loin — un impact beaucoup plus dévastateur sur l’humanité que le virus lui-même. Au milieu de cette hystérie, la plus grande menace réelle pour la santé humaine — une industrie pharmaceutique corrompue et ses partenaires au sein du gouvernement — sont sur le point d’accroître à la fois leurs profits aux dépens du public et leur pouvoir sur ce dernier.

 

yogaesoteric
23 juillet 2020


 

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