Énergie libre, ce qu’il faut savoir

Définissons d’abord ce que nous appelons « Énergie libre ». L’énergie libre est une énergie convertible en forme utilisable depuis une source inépuisable. C’est une énergie parfaitement décentralisée, permettant à chaque foyer d’avoir sa propre source, sans que l’énergie ne soit acheminée par câbles, depuis une source centralisée la produisant. Le but étant l’autonomie citoyenne et le retour des libertés réelles…

 

On précise également que l’énergie libre n’a absolument rien à voir avec le mouvement perpétuel. Ce dernier est souvent associé à mauvais escient à l’énergie libre, dans le seul but de discréditer toute possibilité d’engendrer cette forme d’énergie. On l’affirme clairement : le mouvement perpétuel est tout simplement impossible techniquement, nous ne traiterons donc pas de ce sujet inutile.

Regardons maintenant concrètement ce qui a été fait pour la création de cette énergie libre.

Revenons aux activités de l’ingénieur Nikola Tesla. En 1899, Tesla emménagea dans son laboratoire à Colorado Springs, dans l’état du Colorado aux Etats-Unis, et entama ses expériences sur les ondes terrestres et atmosphériques afin de trouver de nouvelles formes d’énergie gratuites comme illimitées entre autres. Il eut alors l’idée d’utiliser un phénomène connu sous le nom de « résonance de Schumann ».

Il existe autour de la Terre une cavité qui résonne à une fréquence d’environ huit cycles par seconde. Cette cavité est comprise dans l’espace entre le sol que nous foulons et l’ionosphère. Cette bande, qui fait environ 60 kilomètres est une caisse de résonance tridimensionnelle dans laquelle on peut transmettre de l’énergie électromagnétique de 8 Hz, sans presque aucune atténuation. La résonance de Schumann tire ses mégawatts d’énergie des éclairs qui se produisent plusieurs fois par seconde partout dans le monde.

Sachant qu’une cavité résonante peut être excitée et que l’énergie peut être transmise dans cette cavité, il devrait être possible d’engendrer une résonance puis de transférer l’énergie via la cavité à n’importe quel point de la Terre. Ce qui résulterait à toute fin pratique en une transmission sans fil d’énergie électrique.

C’est donc dans son laboratoire de Colorado Springs que Tesla mit au point la technologie qui lui permit de produire des courants à très haute tension. Le laboratoire abritait une gigantesque bobine Tesla et un mât télescopique permettant d’élever une boule de cuivre à une hauteur de 43 m. Lorsqu’il met l’interrupteur en marche, les éclairs qui apparaissent dans son laboratoire sont retransmis à l’antenne et à la boule de cuivre qui la surmonte. D’immenses éclairs bleus s’échappent alors vers le ciel et atteignent plus de 30m. Le tonnerre provoqué par ces éclairs s’entend à 25 km à la ronde. Pour Tesla, c’est un couronnement : de la foudre fabriquée par l’homme !

Tesla en conclue que le courant d’énergie de la Terre peut être utilisable pour transmission de l’électricité n’importe où sur la planète.

Il retourna à New York en janvier 1900, satisfait de savoir qu’il pouvait maintenant mettre en pratique son rêve de communication sans fil. Il engagea un architecte pour la fabrication d’une tour de bois de 47 mètres de haut, coiffée d’une électrode de cuivre en forme de champignon. Elle devait servir d’énorme émetteur. Tesla appela ce projet « Wardenclyffe », et envisagea que la station enverrait aussi bien de l’énergie que des informations sur les canaux de toutes les fréquences radio. La construction de la tour était presque terminée en 1902, mais Wardenclyffe ne fut jamais achevé. A partir de 1905 Tesla n’eut plus les moyens de financer son projet et la tour de Wardenclyffe fut démolie en 1917.

En ce début du 21ème siècle, deux physiciens Russes : Leonid et Sergey Plekhanov, ont créé leur propre centre de recherche sur l’énergie libre : Global Energy Transmission (GET). Ils se sont donnés pour objectif de reprendre les travaux de Tesla et de recréer entre autre, un prototype modèle réduit de la Tour de Wardenclyffe afin de montrer au-delà de toute théorie la possibilité d’engendrer de l’énergie libre par ce procédé…

Au-delà des activités menées par Tesla, regardons maintenant les travaux d’autres chercheurs et inventeurs sur le développement de l’énergie libre :


Citons le cas de Viktor Schauberger

Viktor Schauberger (30 juin 1885 – 25 septembre 1958) était un garde-forestier autrichien, un naturaliste, un philosophe et un inventeur.

Il inventa ce qu’il désigna comme la « technologie d’implosion ». Les machines de Schauberger fonctionnaient selon le principe d’un mouvement spiralé vers l’intérieur, ou d’implosion. Bref, il avait découvert comment produire de l’énergie électrique d’une manière radicalement différente, en travaillant en harmonie avec les mouvements créatifs de la nature. Le moteur à implosion de Schauberger était un moteur rotatif et à propulsion par générateur autonome sans alimentation par combustion, l’exact contraire du moteur à explosion. Il rejetait le moteur à explosion car il soutenait qu’il contredisait les lois naturelles, étant donné que c’est un phénomène destructeur. Le moteur fut développé durant la Seconde Guerre mondiale par le Troisième Reich. Il comportait un circuit fermé avec un mélange d’eau et d’air, mu par un moteur électrique fourni par l’aviation allemande, celui-ci atteignait 20.000 tours/minute. Le modèle A fut mis en marche sans l’autorisation de Schauberger, les amarres le retenant se rompirent, faisant s’écraser et se détruire l’engin contre le toit du hangar. Se basant sur la résistance des vis, Schauberger estima la force ascensionnelle à 228 tonnes. Schauberger développa également ses propres théories basées sur les vortex fluidiques.

Schauberger voua sa vie à démontrer combien la désacralisation de notre environnement procède de notre ignorance totale de la manière dont la nature opère sur le plan énergétique. Sa conviction était que l’humanité doit commencer avec humilité à étudier ce que la nature nous enseigne au lieu d’essayer de la corriger. Nous faisons nôtre également ce principe !

L’ingénieur allemand William Baumgartner avait repris les travaux de Schauberger. Vers la fin des années 70, Baumgartner commença à développer ce qu’il appela des Tubes à Tornade – sa propre version de l’équipement de Schauberger. En utilisant intelligemment les connaissances en néguentropie, l’humanité peut se passer de détruire la matière et de dissiper l’énergie, et entrer dans un futur où l’énergie s’écoule de manière harmonieuse, sans nuire à l’environnement comme sans problèmes de pénurie.

Parlons maintenant d’un pionnier antérieur à Nikola Tesla, John Ernst Worrell Keely (1827-1898) de Philadelphie


 


À en croire les documents historiques, Keely aurait réussi d’autres exploits incroyables :

– Il aurait construit une machine capable de creuser un tunnel dans la roche en pulvérisant la pierre. Son invention avait l’air de faire fondre la roche aussi vite que la machine avançait.

– Il libéra l’énergie dans l’eau d’une manière similaire à celle des chercheurs d’aujourd’hui, à savoir en créant avec des ondes sonores de toutes petites bulles dans l’eau, qui, lorsqu’elles éclatent, libèrent de l’énergie. Des observateurs ont vu un moteur fonctionner avec l’énergie libérée par cet appareil que Keely appelait son Libérateur.

Parfois, il est difficile de se rappeler que ces travaux datent du dix-neuvième siècle. Pourquoi ne connaît-on pas plus les travaux de Keely aujourd’hui, et pourquoi la communauté scientifique ne s’y intéresse-t-elle pas ? Une des raisons est que Keely n’utilisait pas une terminologie scientifique pour décrire son travail – il ne parlait pas le langage de la science. Et aussi, il était tellement en avance sur la science de son temps que, comme pour Tesla, ses travaux étaient tout bonnement ignorés par beaucoup de scientifiques. La Pond Science Institute de Dale Pond poursuit à ce jour les travaux de Keely entre autre…

Walter Russell (1871-1963) est un autre chercheur en énergie dont les travaux sont réétudiés. Selon les archives de la fondation Walter Russell, Nikola Tesla aurait été tellement impressionné par les théories de Walter Russell, qu’il lui conseilla d’enfermer ses connaissances au Smithsonian pendant mille ans, en attendant que l’humanité soit devenue capable de les utiliser de manière responsable.

Walter Russel fit des travaux sur comment produire de l’hydrogène bon marché.

Des chercheurs modernes ont été en mesure de confirmer les travaux de Russell. Dans les années 90, trois hommes du Colorado – le chercheur en chimie, Ron Kovac, l’ingénieur en électricité, Toby Grotz, et le médecin naturopathe, Tim Binder – procédèrent à des recherches approfondies en laboratoire, pour voir si les théories comme les expériences de Russell tenaient la route. La réponse fut oui. Le trio a répété l’expérience que Russell avait faite en 1927 – et qui fut en ce temps déjà vérifiée par les laboratoires Westinghouse – qui démontrait une méthode bon marché et efficace de production d’hydrogène. Ceci permettait le développement d’une économie basée sur l’hydrogène comme carburant, qui serait pratiquement non polluante, fondée sur l’abondance et non sur une rareté.

Russell a aussi construit un appareil qu’il a nommé Générateur Optique à Dynamo-Russell, qui captait selon lui l’énergie libre. Toby Grotz a entrepris des recherches pour retrouver les plans originaux de cet appareil, et le 10 septembre 1961, cet appareil était opérationnel.

Toutefois sa découverte n’a attiré l’attention de personne, si ce n’est celle du NORAD (North American Aerospace Defense Command), et il n’existe aucune source officielle qui dise ce que le NORAD en a fait.

Thomas Henry Moray (1892-1974)

Beaucoup de personnes perdent l’intérêt pour les choses qui les captivaient quand elles étaient plus jeunes. Mais Moray, fils d’un homme d’affaires, devint ingénieur en électricité et poursuivit son rêve – l’idée que l’humanité pourrait exploiter l’énergie du cosmos en stimulant comme en amplifiant les oscillations existantes dans l’espace. Moray, non seulement croyait en cette idée, mais il l’a prouvée publiquement. Il découvrit les écrits de Nikola Tesla en 1900, mais s’est aussi inspiré des travaux du Français, le Dr Gustave Le Bon, auteur de «l’Evolution de la Matière » et de « l’Evolution des Forces ». Son Appareil à Énergie Radiante marchait pendant des jours sans s’arrêter, convertissant l’énergie de l’espace en électricité utilisable, preuves et témoignages d’autorités respectables à l’appui. Cet appareil, posé sur le coin d’une table, ne contenait aucune pièce mobile, et produisait une étrange sorte d’électricité qui alluma des ampoules, chauffa un fer à repasser comme fit tourner un moteur. Mais l’appareil de Moray fut détruit, et sa famille subit toutes sortes de harcèlements, probablement par ceux qui ne voulaient pas qu’un tel appareil fût disponible pour le grand public. A présent, ses fils essaient de reprendre le travail là où il l’a laissé.

On pourrait parler aussi de Ken Shoulders et de ses amas de charge. De Floyd Sweet qui inventa un générateur d’énergie révolutionnaire à aimants permanents. Sa technologie était un Tube Triode Amplificateur du Vide (Vacuum Triode Amplifier = VTA). L’aspect le plus surprenant de l’appareil de Sweet, était qu’il produisait beaucoup plus d’énergie qu’il n’en consommait. Citons également Bruce de Palma et sa N-Machine. De Palma s’inspira des expériences de Faraday, sauf que lui utilisait des matériaux modernes comme des aimants superpuissants, pour obtenir de l’électricité. De Palma nomme son appareil la N-Machine, N signifiant « à l’énième degré », parce qu’il considère que la machine a un potentiel de rendement presque illimité. Citons le bolivien Francisco Pacheco et son générateur d’hydrogène. Le 27 juillet 1974, à Point Pleasant dans le New Jersey, Pacheco fit marcher pendant neuf heures un bateau de huit mètres, avec l’eau de l’océan comme combustible. Son invention séparait l’hydrogène de l’eau de l’océan au fur et à mesure du besoin, pour en utiliser l’énergie. Les implications étaient énormes : voici un réservoir à combustible de la taille d’un océan, rempli d’énergie gratuite. Alors qu’habituellement la fumée des gaz d’échappement se propageait au-dessus de l’océan, ici, les « déchets » du générateur n’étaient que de l’eau claire. Mais Pacheco, comme beaucoup d’autres inventeurs, s’est heurté à un mur de silence et d’indifférence à l’égard de son invention…

Il y aurait encore tant de chercheurs, inventeurs et découvreurs à citer ainsi que leurs inventions pour l’énergie libre, mais ça serait bien trop long…

Bref ! Ce que l’on peut en conclure c’est que lorsque l’on voit tout ce qui a été fait pour le développement de l’énergie libre, on ne peut nier l’évidence de la possibilité d’une telle énergie, si difficile puisse être son accessibilité à ce jour ! Car malheureusement, les quelques chercheurs, inventeurs que nous venons de citer dans cet exposé, ont pour la plupart subit de violentes répressions dû à leur découvertes. Laboratoires saccagés ou incendiés, comme pour Tesla, menaces de mort, mais aussi des coups de feu comme pour Moray ou des suicides ou accidents étranges. La plupart furent souvent discrédités et critiqués par « les experts », comme les pionniers l’ont été dans le passé, de Galilée à Max Planck ! Et pour cause : Energie libre = liberté individuelle.

Comme on l’a déjà dit, l’énergie libre désigne avant tout une énergie décentralisée, permettant à chaque foyer d’avoir sa propre source d’énergie. Et qu’il y a-t-il de plus répugnant pour des financiers que la liberté individuelle, eux qui veulent tout contrôler et tout faire payer pour s’enrichir, ainsi que les régimes politiques travaillant pour eux ?

On comprend dès-lors que cette énergie libre puisse être un fardeau pour ces gens-là… Mais Viktor Schauberger ne les rendait pas seulement responsables. Son aversion était plutôt contre « les grands domaines scientifiques pour leur arrogance et leur esprit de caste. Il fustigeait également les chercheurs en raison de leurs œillères et de leur incapacité à faire des recoupements. Contrairement à ce que nous faisons souvent aujourd’hui, il ne tenait pas la hiérarchie politique pour responsable des malheurs du monde. Il pensait que les dirigeants politiques sont foncièrement opportunistes au point d’être les jouets du système. C’est à ses propres adversaires, qualifiés par lui de scientifiques “ techno-universitaires”, qu’il reprochait l’état pitoyable du monde. »

Quand on sait que le nucléaire a bénéficié de 85 à 90% des ressources publiques. Et les énergies renouvelables ? Moins de 2% ! Nous préconisons d’inverser la tendance et qu’un pourcentage élevé de ces ressources aillent à la recherche et au développement de l’énergie libre, sur la base des travaux qui ont été amorcés depuis plus d’un siècle déjà, par tous les chercheurs et inventeurs qui ont œuvré pour sa réalisation.

Les énergies fossiles ont fait leur temps, le nucléaire aussi, place à la révolution énergétique qui couronnera de succès l’avènement d’un futur serein et le bien-être des générations futures, reposant sur les ruines d’un monde basé sur l’orgueil et l’esprit mercantile. Le jour de la libération viendra lorsque le citoyen reprendra son véritable pouvoir de décision.
 
 



yogaesoteric
 
6 mars 2018

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