Les psychopathes qui gouvernent les gens (6)

Lisez la cinquième partie de cet article

Rituels sacrificiels contemporains

Ces rituels sacrificiels ont pour fondement contemporain « la Loi de Thelema », qui serait exprimée dans le Book of The Law (Liber AL vel Legis ou Livre de la Loi), « dictée » à Aleister Crowley (le mage noir) en 1904 en Égypte. Ils ont été mis en œuvre par la secte Ordo Templi Orientis (O.T.O.), « Ordre du Temple de l’Est » ou « Ordre des Templiers Orientaux », une organisation fraternelle et religieuse œuvre du chimiste Karl Kellner (1851/1905) et de Theodor Reuss (1855/1923). Sa structure est similaire à celle de la Franc-Maçonnerie, avec une série d’initiations à des grades successifs. L’O.T.O. comprend également l’Ecclesia Gnostica Catholica ou Église Gnostique Catholique, qui représente la branche religieuse de l’ordre, reconnue comme telle aux États-Unis depuis 1979. L’O.T.O. compterait 3000 membres dans 58 pays dont la moitié aux États-Unis. Elle a à sa tête un « Chef Visible de l’Ordre » (Outer Head of the Order), élu par les membres du Souverain Sanctuaire, soit les plus hauts grades.

 

De plus en plus émergent ce qui avait été dissimulé jusqu’alors, à savoir la pédocriminalité et les rituels qualifiés de sataniques qui lui sont associés. Ceux qui s’adonnent à cette activité criminelle utilisent les structures des sociétés occultes pour se dissimuler. Il y a des situations dans lesquelles des hommes très influents tuent des enfants au cours de rituels, et même si le grand public en réfute l’idée, leur confirmation est en cours à l’instar des cas de harcèlement sexuel qui se révèlent désormais. En fait, le terme pédophile n’est pas approprié. Ceux qui tuent des enfants dans des rituels ne sont pas des gens qui « aiment » les enfants et qui veulent prendre du plaisir. Ce sont des gens qui pensent qu’il est nécessaire pour eux de sacrifier un enfant pour atteindre un objectif « supérieur ». Cela n’a rien à voir avec une satisfaction sexuelle. Il s’agit plutôt de la qualité du sang qui est disponible. Et le sang des enfants a plus d’énergie et une qualité plus pure. C’est de la magie noire, du satanisme.

Cependant, la « mémoire du sang » s’affaiblissant et se brouillant au cours des siècles, ces lignages vampiriques ont peu à peu brisé leur cadre pour proposer leurs connaissances visant à « déifier » de manière luciférienne l’homme à d’autres initiables par d’autres méthodes, telles que réalisées à partir des os et des cendres, l’emploi de la semence humaine, le « mariage » avec les esprits élémentaires, des sacrifices d’animaux… Dans tous ces cas de figure, ces individus sont « pilotés » par des forces interdimensionnelles !

Le rituel d’inauguration du Nouvel Ordre Mondial

L’inauguration le 1er juin 2016 du nouveau tunnel suisse du Saint-Gothard d’une longueur dépassant 57 km (coût de plus de 11 milliards d’euros pour 17 ans de travaux), symbole d’unification européenne, signe l’émergence du « monopole Illuminati » à venir. Pour la première fois sont dévoilés au monde entier, en présence de nombre de dignitaires du système (Angela Merkel, François Hollande, Matteo Renzi…), tous les symboles et rituels de son identité. Simple choix de création chorégraphique orchestré par le réalisateur allemand Volker Hesse argueront les serviteurs zélés ou les endormis du bulbe cervical, pour qui l’homme déguisé en bouc présidant l’étrange rituel ne pose aucun problème. Pour les autres, ils savent que l’élite occulte adore exhiber son agenda et la symbolique de sa philosophie par des manifestations spectaculaires, réminiscences de scènes ritualisées pratiquées dans les sociétés secrètes…

La réalité cachée de la prédation humaine

En France, pour les autorités comme les grands médias, les réseaux pédocriminels comme les réseaux satanistes n’existent pas. Comme le nuage de Tchernobyl, ils s’arrêtent à la frontière. Ils sont forcément du pur fantasme de conspirationnistes psychologiquement déséquilibrés…

Pourtant, nombre d’enlèvements de mineurs inexpliqués sont constatés. C’est ainsi qu’en France environ 50.000 en moyenne sont recensés chaque année, dont une partie alimente sans aucun doute possible les réseaux pédocriminels. Nul ne s’étonnera alors de réseaux de rabatteurs de « chair fraîche », comme semblent l’indiquer les affaires « Patrice Alègre » et « Émile Louis », à l’instar des affaires « Marc Dutroux » en Belgique et « Jimmy Savile » au Royaume-Uni. Derrière ces affaires de prétendus « pervers isolés » se cachent des réseaux impliquant notables comme élites politiques, de droite ou de gauche de ces pays, même si ces révélations sont édulcorées sinon étouffées tant par la justice que les médias aux ordres. Il convient de préciser que ce phénomène concerne toutes les couches de la société, même si la proportion d’élites pratiquant le satanisme est plus forte que dans le reste de la population.

Il en est ainsi partout ailleurs dans le monde, tout particulièrement aux États-Unis, qui voit par exemple l’affaire « Franklin » impliquer la famille Bush mais aussi de nombreux représentant Républicains et Démocrates. Au moment de cette affaire, soit le milieu des années 90, certains observateurs aux États-Unis parlaient de véritable « épidémie d’abus sur les enfants ». Ainsi, selon l’American Association for Protecting Children, il était estimé qu’en 1987 2,2 millions d’enfants étaient abusés ou négligés, soit 225% d’augmentation en 10 ans et plus 48% depuis l’année précédente ! En parallèle, la proportion d’enfants touchés par diverses maladies mentales semblait avoir augmenté sensiblement elle aussi. Mais étrangement, on ne trouve jamais de preuve, d’autant plus qu’on part du principe que les témoignages concordants des enfants, même quand ils sont neuf à décrire la même chose ou même 460, ne constituent pas des preuves…

« Franklin
», la boîte à Pandore du dévoiement élitaire

L’affaire « Franklin » fait référence au Franklin Community Federal Credit Union, une institution financière fondée en 1968 afin d’aider les pauvres de la communauté noire à obtenir des crédits et établie à Omaha, ville de l’état du Nebraska. Elle mettait en cause un de ses anciens cadres, Lawrence E. King accusé d’importants détournements de fonds en novembre 1988. Il était un contributeur généreux et étoile montante du Parti républicain, qui entretenait des relations haut-placées dans le parti.

Un magistrat fédéral décidera fort opportunément qu’il était psychiquement trop fragile pour supporter un jugement, au moment où des rumeurs persistantes faisaient état de trafic de drogue, d’abus sexuels sur mineurs, et que l’argent de la Franklin aurait servi à financer de la prostitution de mineurs dont certains provenaient d’orphelinats, et ce pour prodiguer des actes sexuels pour lesquels ils ont été rémunérés y compris par des politiques…

L’affaire connut un nouveau rebondissement en juin 1989 quand la première page du Washington Times titra « Homosexual Prostitution Inquiry ensnares VIPs with Reagan, Bush », l’article prétendant que des personnalités officielles de l’administration de Ronald Reagan et de George Bush père étaient reliées à un réseau élaboré de prostitution masculine à Washington D.C, et rapportaient que deux de ses prostitués seraient entrés dans la Maison-Blanche tard dans la nuit.

Les termes employés faisaient état « d’enlèvement, abus, et implications de mineurs dans des perversions sexuelles ». Les personnes-clés mises en cause étaient Craig J. Spence, un lobbyiste républicain basé à Washington D.C., qui se suicida dans le courant de l’année, et Lawrence King, accusé d’abus de jeunes garçons de Boys Town (5.000 enfants y vivaient dans les années 80) et du Webb child care, des foyers d’accueil pour jeunes en difficulté d’Omaha.

En janvier 1990, l’organe législatif du Nebraska constitua un comité spécial d’enquête sur ces allégations, puis dans la foulée le procureur général de l’État appela à la création d’un grand jury pour examiner le cas, avec à sa tête un ancien juge de district, alors retraité. Le 23 juillet 1990, après avoir entendu plusieurs heures de témoignage, le grand jury – dont les débats étaient secrets et de ce fait non contradictoires – balaya les allégations concernant l’abus sexuel sur enfants, qualifiant les accusations de « canular particulièrement subtil et soigneusement préparé » et répandu par une ou des personnes avec une connaissance considérable des personnes et des institutions d’Omaha, mais sans les avoir identifiées… Le jury déclara aussi qu’ils « n’ont trouvé aucune preuve de viol d’enfant, de leur transport par l’autoroute de trafic de drogue ou d’implication dans un réseau pornographique ». Le président du comité spécial d’enquête qualifia ce rapport d’« étrange document », d’autant qu’un enquêteur privé mandaté en août 1989 par le comité d’enquête avait établi une liste de dizaines d’anciens pensionnaires de Boys Town disant avoir été victimes d’exploitation sexuelle. Quant à Lauwrence King, il fut en juin 1991 reconnu coupable de conspiration, de détournement de fonds (l’argent servait à acheter des politiques pour assurer sa carrière et à acheter le silence de certaines victimes) et de falsification de comptes, et condamné à 15 ans de prison (libéré le 10 avril 2001, après cinq années de détention…).

En 1993, la chaîne de télévision britannique Yorkshire Television envoya une équipe dans le Nebraska pour lancer sa propre enquête. Intitulé Conspiracy of Silence (La Conspiration du silence), elle devait être diffusée en partenariat avec un diffuseur états-unien dans tout le pays le 3 mai 1994. L’annonce en parut dans le TV Guide ainsi que dans les journaux. Mais à la dernière minute et sans explications, il ne fut pas diffusé ce jour-là ni jamais (ses droits ont été rachetés afin que le documentaire ne soit jamais diffusé). Il peut par contre être visionné sur internet.

 

Chose encore plus étrange, un plaignant ancienne victime (Paul A. Bonacci) gagna un jugement en février 1999 dans un procès civil contre Lawrence King, l’accusant de kidnapping, de domination mentale et de viol dans le cadre d’un rituel sataniste, ainsi que de blessures physiques et psychologiques. Le juge ne fonda pas son jugement sur ses accusations, mais le définit par rapport à l’absence à son procès de l’accusé, ce dernier purgeant déjà, au moment de la poursuite, sa peine de prison de 15 ans commencée depuis juin 1996 (selon le grand jury, le psychiatre qui a examiné Bonacci a dit qu’il ne peut pas dire la vérité en raison de son trouble de personnalités multiples. Cependant le psy n’est pas venu témoigner devant ledit grand jury…).

Compte-tenu que de nombreuses questions sont restées ouvertes et continuent d’alimenter des spéculations, des investigations menées en marge de l’enquête officielle tronquée établissent bel et bien que King avait créé un réseau de prostitution avec des enfants venus de foyers et orphelinats. Le but premier était de corrompre des politiques bien placés, des avocats, des magistrats, des hommes d’affaires, des journalistes, des flics… autant de personnes qui pouvaient lui servir politiquement ou investir dans le Credit Union dont il détournait l’argent. Certains aimaient ces partouzes pédophiles (avec scènes de viols et de tortures comme des brûlures avec cigarettes), et n’hésitaient pas à demander de la drogue et des enfants. Pour les autres, qui se laissaient appâter, ils lui permettaient d’exercer à leur encontre un chantage, rien de tel qu’une bonne photo compromettante les montrant en train de sodomiser un enfant…

Comme l’a indiqué l’ancien sénateur du Nébraska DeCamp dans son mémorandum de 1989, le FBI, en sabotant l’enquête, a voulu surtout couvrir des personnes très haut placées, le nom de Georges Bush n’étant pas le moindre tel qu’avancé par des témoins comme Nelly Patterson… Qui plus est, une partie de l’argent détourné par King aurait servi à financer des opérations secrètes de la CIA, comme en Iran. Inutile de préciser que nombre de témoins de l’affaire, des victimes comme des parents, ont fait l’objet d’intimidations, y compris de la part des membres du « grand » jury, et que nombre de questions pourtant essentielles ne furent jamais posées quant au déroulement des faits. Les pressions ont si bien fonctionné que pas moins de 76 victimes potentielles sont revenues sur leurs propos, ou bien ont carrément refusé de participer à l’enquête, une campagne de décrédibilisation des témoins ayant été également mené dans les médias locaux, notamment le Omaha World Herald dont le propriétaire faisait partie des élites participantes… Ses journalistes aux ordres n’ont jamais cherché aucune confirmation de ces témoignages, se contentant de dire que tout était faux. De leur côté, plusieurs enquêteurs qui travaillaient sur cette affaire ont été menacés ou ont vu leurs véhicules sabotés.

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yogaesoteric


22 avril 2019

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