Naufrage du Titanic : arnaques à l’assurance, fausses victimes et bien plus encore (4)

 

Par Miles Mathis (2 octobre 2018)

Lisez la troisième partie de cet article 

Revenons aussi au graphique de la NASA. Notez que les eaux sont en fait plus froides près des côtes de New-York et de Boston qu’à l’endroit plus éloigné où se trouvait le Titanic. Si vous n’avez pas vu d’icebergs flottant là au large en avril, il est probable que vous n’en voyez pas non plus à des centaines de kilomètres de là. Ils ont en fait la photo supposée de l’iceberg que le Titanic a heurté :

Il la fallait, n’est-ce pas, car tous les navires venus à la rescousse ont pu facilement le photographier. Pourtant, il est tout à fait évident que c’est un faux. Rien ne semble réel. Même l’eau semble fausse. Il n’y a pas de résolution, la pixellisation est grossière et il n’y a aucune profondeur de champ. L’éclairage n’a aucun sens non plus. À l’extrême droite, la lumière semble provenir d’en bas à droite, avec un endroit lumineux sur cette petite paroi. Mais aucune des autres faces ne correspond, nous disant que celui qui a fait le trucage n’a jamais étudié la lumière tombant sur un objet. Wikipédia nous dit qu’il y a une marque rouge indiquant l’endroit du choc.

Je vois une ombre sur la chose, mais comme l’ombre se poursuit dans l’océan, ce ne peut être la marque dont on parle. Néanmoins, l’iceberg ne semble pas assez gros pour faire couler le Titanic, en ne laissant qu’une « tache rouge ». Ce navire avait un déplacement de plus de 50.000 tonnes et une vitesse de croisière d’environ 40km/h. La force d’une telle collision pourrait aisément couper en deux un iceberg de cette taille. La proue du Titanic était très pointue, rappelez-vous, et c’était la partie la plus renforcée du navire, pour des raisons évidentes. Les proues le sont toujours car ce sont elles qui prennent habituellement les premiers chocs.

Par ailleurs, il faut comparer cet iceberg avec les récits qu’on a fait du choc. Nous avons de nombreux récits de survivants, vous savez. On nous dit que certains passagers ont senti le choc et d’autres non. Ils dormaient. Nous sommes donc incités à croire que c’est un choc oblique contre un iceberg submergé frôlé par le navire qui a ouvert une brèche. Si le bateau avait touché un iceberg beaucoup plus gros, en touchant la paroi, personne n’aurait continué à dormir, personne n’aurait survécu et on ne nous aurait pas raconté d’histoires.

Si vous stoppez net un objet de 50.000 tonnes naviguant à 40 km/h, la dévastation serait énorme, tant pour le bateau que pour l’iceberg. Des morceaux du navire se seraient enfoncés dans l’iceberg sur plusieurs dizaines de centimètres et d’autres parties auraient explosé à l’avant de l’iceberg. Cette photo est juste la preuve que cette histoire est fausse et que nous assistons à une énorme imposture.

On nous dit ensuite que le navire a simplement frôlé l’extrémité de l’iceberg à tribord, sans percer la coque, mais en endommageant seulement les soudures de cinq compartiments extérieurs. Le navire pouvait supporter la rupture de quatre compartiments au maximum, nous dit-on avec un zeste d’ironie. Ce qui contredit grandement ce qu’on disait de la conception presque miraculeuse du Titanic – et pourquoi il était considéré comme insubmersible.

Ces compartiments extérieurs étaient hermétiques, empêchant l’eau d’entrer dans les compartiments intérieurs, donc presque tous les compartiments extérieurs sur tribord-avant auraient pu être endommagés sans pour autant faire sombrer le bateau. Les compartiments extérieurs étaient comme des pare-chocs et n’étaient pas connectés à la partie interne du navire.

Cette réputation d’insubmersibilité nous est maintenant présentée comme un mythe mais même ceux qui le disent admettent que Franklin, le vice-président de White Star, parlait d’un navire insubmersible. Les brochures publicitaires le qualifiaient d’insubmersible. C’était donc tout juste un mythe.

Et c’était globalement vrai. L’Olympic, le jumeau du Titanic, est entré en collision avec un cuirassé de 8.000 tonnes, le HMS Hawke, écrasant le Hawke sans jamais se mettre en péril. Ces immenses navires étaient construits pour résister à d’incroyables collisions et le Titanic aurait dû résister facilement malgré ce que nous vend la littérature.

Cette ânerie des quatre compartiments maximum n’a en fait aucun fondement : elle ne colle pas avec ce qu’on disait de ces navires avant 1912. Et par ailleurs, si le Titanic avait heurté le bord droit de cet iceberg, cela n’aurait pas compromis plus de quatre compartiments. Et n’aurait pas non plus laissé juste un petit point rouge sur l’iceberg. Celui qui a composé ce récit est un idiot ou il pense que vous l’êtes.

Et en plus, d’où provient le « rouge » ? Le Titanic était rouge sous la ligne de flottaison, mais noir au-dessus et on a pourtant parlé d’une tache rouge au-dessus du niveau de l’eau sur ce stupide faux iceberg. Je vois maintenant que c’est le point sur la paroi tout à fait à droite, dans la partie claire, à peu près à mi-hauteur. Mais pour que l’iceberg soit assez gros pour endommager le Titanic, ce point aurait dû se trouver à 6 ou 9 mètres de hauteur – au-dessus du niveau de l’eau. Alors pourquoi serait-il rouge ?

En bonus, j’ajoute ici les images qu’on nous a données de l’Olympic et du Hawke après la collision.

Étrangement, ce sont aussi des faux. L’image du Hawke est manifestement une peinture : regardez les drôles de petits bonshommes à bord et notez comme l’eau fait penser à une peinture impressionniste ! L’image de l’Olympic n’est pas une peinture mais fait penser à un collage manipulé avec de faux dommages dessinés. Si cette collision était aussi une imposture, où va-t-on ?

Et une autre partie de l’histoire s’écroule avec notre graphique du Gulfstream ci-dessus. Les informations officielles admettent que le Carpathia est arrivé moins de deux heures après le naufrage du Titanic. Alors pourquoi ne pouvait-il sauver les gens en gilets de sauvetage ainsi que les gens dans les canots ? Pourquoi les Canadiens ont-ils dû les trouver tous morts quelques jours plus tard ? On nous dit qu’ils sont morts gelés en moins de deux heures, mais notre graphique le dément, n’est-ce pas?

L’eau était à 10 ou 15°C, ce qui n’est pas très chaud mais pas suffisamment froid pour tuer en moins de deux heures. Le mensonge est donc ici énorme : l’histoire officielle nous dit que l’eau était à -2°C. Il n’y a qu’un lointain rapport avec la réalité. Le Titanic a navigué pendant presque toute la traversée dans le chaud Gulfstream, qui était à une température d’environ 15°C. Même les parties les plus froides de l’Atlantique à cette latitude ne sont pas en dessous de zéro à la surface.

Le film « Titanic » a été fait pour « refourguer » tous ces vieux mensonges, bien sûr. On pouvait y voir Leo DiCaprio mourir de froid en un rien de temps dans l’eau glacée, n’est-ce pas ? Impossible, car il aurait flotté dans le « chaud » Gulfstream de la NASA à la latitude 41,7°N. Mais ils veulent que vous pensiez le voir flotter à 60°N au Groenland. Je suis juste surpris que Cameron n’ait pas créé d’images de synthèse avec des ours polaires qui nagent dans le coin.

Cette idée a en fait servi à vendre l’événement. Voyez le livre pour enfants de Daisy Spedden, Polar, the Titanic Bear [Polaire, l’ours du Titanic] publié en 1994. Spedden était une riche héritière américaine qui aurait survécu au naufrage du Titanic et écrit un livre en 1913 pour distraire son fils de 7 ans. Ce dernier serait mort dans un accident de voiture en 1915, snif, le livre a donc été mis de côté.

Un parent l’aurait retrouvé et il a été publié en 1994 par Little Brown, puis republié ensuite par Scholastic Books en 1998. Ce qui en soi indique que nous sommes en présence d’un autre projet du Renseignement, car Scholastic Books publie Harry Potter et Hunger Games. Le premier Potter est sorti en 1997, un an avant qu’ils ne commencent à publier les âneries du livre Polar, the Titanic Bear.

Venons-en au USS Californian, célèbre pour sa négligence à répondre aux fusées éclairantes du Titanic. Plusieurs enquêtes furent faites mais la seule réponse possible est que le Californian a reçu l’ordre de ne pas bouger et de ne pas porter assistance. Ordre de qui ?

De J.P. Morgan, propriétaire de Leyland Line ainsi que de White Star Line. Malgré les enquêtes tant du côté britannique qu’américain qui ont mis en lumière que le Californian aurait pu sauver tout le monde ou la plupart de ceux qui ont péri en gilet de sauvetage, les officiers n’ont jamais été accusés de négligence ou de tout autre forme de crime. Ils n’ont jamais été poursuivis. Ce qui peut s’expliquer aussi par la cohorte des milliardaires qui ont fait pression, souhaitant enterrer cette partie de l’histoire.

On nous dit que le Californian était si proche qu’il pouvait voir le Titanic et que le Titanic pouvait le voir. Mais nous sommes supposés croire qu’aucun navire n’était capable de se signaler à l’autre. Personne n’a songé à réveiller l’opérateur sans fil du Californian ! Oh, incroyable ce qu’on veut vous faire croire !

L’histoire du Californian a été légèrement modifiée depuis pour faire penser qu’il y avait de la glace dans la zone, ce qui a obligé le navire à stopper. Mais nous avons vu que c’était impossible.

Intéressant aussi est le nom du capitaine, Stanley Phillip Lord. Son fils Stanley Tutton Lord était banquier à Liverpool. Ce qui nous rappelle l’agent Sterling Lord, dans mon article sur l’imposture Jeffrey MacDonald. J’ai montré que Sterling Lord était de la pairie et nous pouvons supposer la même chose pour Stanley Lord. Il n’est pas répertorié dans la pairie mais cela ne veut pas dire qu’ils n’étaient pas parents.

Lord est très expurgé mais j’ai trouvé un possible indice. Son épouse était une Tutton, et il y a des Tutton dans la pairie. Un Francis Robert Tutton, né en 1874, s’est marié avec Lucy Evans Chavasse, dont la mère était Frances Evans. C’est curieux parce que l’opérateur sans fil du capitaine Stanley Lord était un Cyril Evans, ce qui indique que les deux hommes pouvaient avoir un lien de parenté. En fait, nous trouvons bien un Cyril Lloyd Evans dans la pairie, d’un âge qui correspondrait bien.

Il est expurgé, la seule chose que nous connaissions de lui, c’est que le deuxième nom de sa fille était Murray – ce qui pouvait être le nom de jeune fille de sa mère – et qu’elle a épousé un baronnet Bowen. C’est bien sûr un indice car ce nom est déjà sorti plus haut. Voyez le vice-amiral Harold Gardiner Bowen de l’ONR, qu’on peut rapprocher de Robin Gardiner qui a écrit le livre sur l’échange du Titanic.

Souvenez-vous aussi de Walter Lord, qui a publié « A Night to Remember » en 1955, sur l’aventure du Titanic. Il fut plus tard le consultant de James Cameron pour le film de 1997. Wikipédia admet qu’il faisait partie de l’OSS, précurseur de la CIA.

Ce qui m’indique que Lord et Evans du Californian pouvaient être parents et tous deux du MI5/6. Ils ont été placés spécifiquement sur le navire pour superviser l’épave. Avec le Carpathia, ils étaient à pied d’œuvre pour s’assurer que l’événement se déroulait comme prévu. Je ne pense pas que Lord ait été accusé à tort mais je pense qu’il ne faisait que suivre les ordres.

Lord n’a recueilli personne parce qu’il n’y avait personne à recueillir. Le Carpathia était le bateau désigné pour et il a recueilli l’équipage et les acteurs, ne laissant personne dans l’eau. Le Californian n’était pas là pour recueillir des gens, mais comme vaisseau de coordination et peut-être comme plan B. Il a pu prévenir les autres navires en leur disant que c’était un exercice militaire ou un truc du même genre.

Puis Wikipédia nous donne un autre magnifique mensonge. Le capitaine du Carpathia décrivait la zone autour de l’épave du Titanic comme un vaste champ de glace avec de nombreux icebergs et de la glace flottante. Si c’était le cas, que faisaient donc là tous ces navires ? Pourquoi le Carpathia était-il là et comment a-t-il pu naviguer jusqu’au Titanic ? Devons-nous croire que c’était un brise-glace ?

On nous informe ensuite que cette zone s’appelle aujourd’hui Allée des Icebergs. Nous n’avons qu’à vérifier si c’est le cas. L’Allée des Icebergs existe, mais c’est bien plus loin au nord. Ce n’est pas à 41,7°N, c’est dans le courant du Labrador, entre Terre-Neuve et le Groenland, comme je vous l’ai montré plus haut. C’est à environ 650 km au nord du site du Titanic, entre le 50ème et le 60ème parallèle. Des dizaines de milliers de marins, navigateurs, géographes et historiens doivent le savoir, alors pourquoi est-ce à moi qu’il revient de vous en parler ? D’ailleurs, pourquoi l’auteur Robin Gardiner n’en parle-t-il même pas dans son livre « sans concessions et révolutionnaire » ? Je pense que vous savez maintenant pourquoi.


Lisez la cinquieme partie de cet article

 

yogaesoteric
9 octobre 2019

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