Traduction du Rapport «The Disclosure Project», le Projet Révélation (4)

Traduit du [Sommaire Exécutif, Note Éditoriale Importante] de Steven M. Greer, M.D.

Lisez la troisième partie de cet article

Sergent Major Dan Morris – US Air Force, NRO (National Reconnaissance Office) en activité

Je devenais membre d’un groupe qui enquêtait et rassemblait des informations ; au début c’était encore sous les programmes de couverture Blue Book, Snowbird et autres. Je devais aller interroger les gens qui disaient avoir vu quelque chose et essayer de les convaincre qu’ils n’avaient rien vu ou que c’était des hallucinations. Et si cela ne marchait pas, une autre équipe venait pour effectuer des menaces. Des menaces à leur encontre, celle de leur famille… Ils étaient aussi chargés de les discréditer, de les faire passer pour fous… Maintenant, si cela ne marchait toujours, il y avait une autre équipe qui mettait fin au problème d’une manière ou d’une autre…

A.H. – Employé chez Boeing Aerospace

Un journaliste de CNN à Washington, lors du second voyage de Gorbachev aux USA, a été autorisé à les interviewer, lui et sa femme. Quand ils furent dans la rue, la surveillance ne s’occupa plus d’eux. Le journaliste demanda à Gorbachev « Pensez-vous que nous devrions nous débarrasser de toutes nos armes nucléaires ? » Ce fût sa femme qui répondit : « Non. Je ne pense pas qu’il faille nous débarrasser des armes nucléaires à cause des vaisseaux extraterrestres ».

CNN programma cette interview dans son flash de la mi-journée. J’ai entendu cela et me suis précipité pour préparer une cassette vidéo pour enregistrer le prochain passage du sujet au flash suivant. Mais ils ne le repassèrent pas. Et vous savez d’où cela venait ? De la CIA, parce que je sais qu’ils surveillent CNN et toutes les autres grandes chaînes internationales. Ils ont fait supprimer cette info, mais je l’ai entendu. Je l’ai entendu…

Ce qui me certifie que mes informations venant de la NSA sur Ronald Reagan sont correctes. Le secret n’est qu’une surextermination d’information. Et le Congrès a besoin de connaître ces informations. Mon contact disait qu’ils essaient de mettre un couvercle pour minimiser les observations ainsi que pour réprimer les médias et les témoins qui font part de ces observations aux médias. L’Air Force veut faire disparaître cette chose aux yeux du public tout en continuant ses recherches. Il confirmait que l’Air Force veut diriger les médias vers des idées folles de farces de collégiens, ballons, activités météorologiques… Ce qu’il me disait à propos des ramifications sécuritaires était que si leur personnel militaire parlait de cela, il était passible de cour martiale ou susceptible d’être traité comme tel pour obtenir sa rétractation. D’autres intimidations se font aussi comme la retenue de solde ou transfert dans une autre base ou personne ne veut aller comme l’Alaska…

Au départ, ces projets étaient contrôlés par le Majestic 12, rapidement appelé MJ12. J’essaie de connaître le nouveau nom de ce groupe. Mon contact, qui travaille en zone 51, refuse de le dévoiler. C’est sans doute un groupe issu du mélange du National Security Council et du National Security Planning Group de Washington. Il y en a un, là-bas, de groupe appelé le National Security Planning Group qui surveille tout. Et le Majectic 12 en est sans doute issu… Ils ont tous les contrôles. Ils alertent le Président de ce qu’il se passe et lui n’a qu’à dire : « Hey, toi mon gars, va là-bas… » Ils contrôlent tout… Ils ne sont pas surveillés par le Congrès. Ils ne rendent de compte à personne excepté au Président des USA, bien qu’ils essaient de s’en écarter, d’après ce que j’ai compris. Le Président n’en a plus pour longtemps à contrôler ce groupe. C’est comme une entité séparée.

Officier Alan Godfrey – Police Britannique

Je fus absolument stupéfié de ce qui arriva après. Ma vie fût renversée en un instant. D’un bon gars, heureux et sans problème, je devins, après six mois d’enfer, l’une des pires personnes qui puisse exister. Juste par harcèlement, stress, persécution…

Sergent Karl Wolfe – US Air Force

Je ne voulais pas regarder cela aussi longtemps parce que je sentais que ma vie était en jeu. Vous comprenez ce que je dis. J’aurais adoré observer cela plus longtemps, en avoir des copies. J’aurais aimé en parler plus, en discuter, mais je savais que je ne le pourrais pas. Je savais que le jeune gars qui me faisait voir ça dépassait vraiment, vraiment les limites. Je sentais qu’il avait besoin de parler à quelqu’un. Il ne l’avait jamais fait, ne pouvait le faire. Il n’en parlait pas, maintenant, pour un autre motif que, je pense, celui de se libérer un peu du poids considérable qui pesait sur lui, de se déstresser…

Je savais qu’après avoir quitté l’armée je ne pourrais aller nulle part pendant cinq ans sans en référer au Département d’Etat. A chaque fois que je voulais voyager, même sur le territoire des Etats-Unis, je devais le signaler et en demander la permission. Ils devaient savoir où je me trouvais à tous moments. Par exemple, quand nous allions au Vietnam, il y avait toujours quelqu’un avec nous, avec un fusil, toujours prêt à nous descendre si nous tombions entre les mains de l’ennemi. Ils ne voulaient pas que l’ennemi nous capturât ; ils préféraient nous tuer. Nous savions dans quelles conditions nous opérions. Notre vie était en jeu à tout instant si nous tombions entre de mauvaises mains. Nous étions conscients de cela. Quand j’ai quitté l’armée, j’ai été informé qu’ils enquêteraient régulièrement sur moi pour être sûr que je ne serais pas impliqué dans des activités contre les intérêts du gouvernement…

Donna Hare – Employée à la NASA

Il y a eu une époque où certaines personnes venaient me voir pour me dire que je ne pouvais pas en parler. Ils ne m’ont pas menacé de mort, mais j’ai parfaitement compris le message. Seulement j’en avais déjà tellement parlé que ce n’était pas très important de toute façon. Et, comme je l’ai dit à la réunion du Congrès (1997), j’avais l’impression que ce sujet était comme le sexe. Vous savez, tout le monde sait ce que c’est mais personne n’en parle en public. J’attends de pouvoir en dire plus à une audition du Congrès où je pourrai être protégée.

Je crois le Dr. Greer. Je sens qu’il ferait tout ce qu’il dit, et qu’il saurait garder le secret que je lui confierais. Je veux que cela paraisse quand ce sera nécessaire, quand ce sera le bon moment, quand cela aura les meilleurs effets. Je ne veux pas que ceux qui veulent contrôler cela se débarrassent des gens impliqués, les blessent, les mettent en porte-à-faux, ou leur fassent tellement peur qu’ils se rétractent, comme une certaine personne de ma connaissance qui a tout bonnement disparu de la surface de la Terre. Je ne veux pas de cela.

Mr. John Maynard – Membre officiel du DIA

Des sociétés impliquées dans cette affaire, Atlantic Research Corporation est l’une des plus importantes. On n’en entend pas souvent parler. Elle n’est pas très recommandable ; la plupart de ses activités est effectuée avec les services secrets. TRW, Johnson Controls, Honeywell : toutes, plus ou moins, sont en relations étroites avec les services secrets. Elles sous-traitent aussi certaines activités qui sont ensuite sous-traitées par d’autres sociétés ; comme Atlantic Research. Ce sont des entités qui ont été créées par le Pentagone, à l’écart de tous : elles reçoivent des projets, les octroient, en monnayent certains autres ; tous sont si fortement compartimentés que vous ne pourriez trouver que quatre personnes susceptibles d’être au courant. Le contrôle est très serré.

Dr. Robert Wood – Ingénieur chez McDonnell Douglas Aerospace

Comme vous devez le savoir, quand vous intégriez l’un de ces projets classés, vous portiez un badge spécial et vous pouviez parler en toute simplicité à quiconque se trouvait dans la pièce : l’on ressent la même chose dans un groupe lors d’une psychothérapie, il y a un très fort sentiment de camaraderie. De plus vous aviez accès à des bibliothèques spéciales.

L’une des choses que nous pouvions faire était de filer à la bibliothèque montée par l’Air Force et farfouiller dans les documents top-secret. Depuis que je m’intéresse aux OVNI, quand j’ai n’importe quel boulot à effectuer, je regarde aussi dans leur bibliothèque pour voir ce qu’ils ont sur le sujet. Et pendant un an j’ai glané quelques détails intéressants dans divers rapports. Mais d’un coup, la majeure partie des documents disparut. Le secteur entier consacré aux OVNI s’est vidé. L’archiviste de notre groupe avec qui je travaillais, en poste ici depuis vingt ans connaissait exactement la procédure: mais ceci était remarquable. Il disait qu’il n’avait jamais vu ça avant, que jamais aucun thème n’avait disparu comme ça d’un coup. Il disait que j’avais dû tomber sur quelque chose…

Parallèlement, il se passa autre chose qui résultait de mon association avec Jim McDonald. J’aimais le bonhomme ; c’était vraiment un physicien énergique qui prenait toujours le taureau par les cornes. Quand il s’occupait de quelque chose, il y plantait ses dents jusqu’à avoir la matière d’en convaincre, de manière accablante, les professionnels en la matière. Il devait parler à l’American Institute of Aeronautics and Astronautics et à l’American Physical Society, aussi devins-je membre des deux… Quand il était en ville, je le prenais, l’escortais, veillais à ce qu’il fut bien accueilli.

Un jour, comme je passais dans sa ville, Tucson, je m’arrêtais (j’avais deux heures de libre avant de prendre un avion) et il me rejoignit pour prendre une bière avec moi.
Je lui demandais « Quoi de neuf Jim ? ».
Il répondit « Je crois que je la tiens ».
« Tu tiens quoi ? » « Je crois que je tiens la réponse »
« Quelle réponse ? »
« Je ne peux encore rien dire. Il faut que je sois sûr ».

Six semaines après, il essayait de se tuer, pour finalement mourir deux mois après.
Connaissant l’habileté du contre-espionnage, je pense qu’ils ont eu la capacité de le pousser au suicide. Je pense que c’est ce qu’ils ont fait.

Si vous voulez réellement contrôler ce sujet, vous devez le contrôler à tous les niveaux en commençant bien évidemment par celui des médias. Vous devez surveiller tous les types de médias, les films, les magazines, et, bien entendu, la presse, aussi bien écrite que télévisée ou radiophonique. Maintenant, nous avons en plus Internet et toutes sortes d’autres supports. Mais pendant que la technologie se développait sur de nouveaux axes, les gens s’inquiétaient du contrôle qui s’était aussi développé sur ces mêmes axes. Ainsi, à chaque fois qu’un nouvel axe se crée, son contrepoids se crée aussi.

Glen Dennis – Témoin du crash d’un OVNI au Nouveau-Mexique

Un des MP [Police Militaire] me prit à part et me dit: « Hé! Monsieur… Restez ici, ne partez pas. Rien ne s’est passé ici. Si vous partez vous allez avoir de sérieux problèmes. » Avec le caractère que j’avais à l’époque, je lui ai répondu : « Je suis un civil… Allez au diable! ». Il m’a répondu que c’est moi qui irais en enfer. Qu’un jour, quelqu’un retrouverait mes os dans le sable si je parlais.

Sergent Leonard Pretko – US Air Force

Dans l’armée ils vous ridiculisent, et je l’ai été quelque fois, quand vous faites allusion aux OVNI. On m’a dit que je ne serais jamais sergent-chef si je continuais à véhiculer ces bêtises. Mon supérieur disait : « Si vous persistez, vous ne passerez jamais sergent-chef. Vous commanderez les techniciens, mais jamais vous ne serez sergent-chef. Ils vous forceront à quitter l’armée. »

Dr Roberto Pinotti – Spécialiste des OVNI italien

Il y a probablement, dans chaque partie du monde, des liens invisibles avec un collège restreint, confidentiel et bien défini, qui préserve le secret. Ils font des recherches en commun, mais ont pour but secret le bénéfice d’avancées technologiques applicables dans divers secteurs. Le problème OVNI n’est pas seulement scientifique, c’est aussi un problème de renseignements militaires.

C’est l’autre côté important de la réalité OVNI. Quand nous commençons à comprendre ceci, nous pouvons comprendre un tas de choses ayant lien avec le pouvoir. Le pouvoir partout, dans chaque pays, avec chaque gouvernement, dans toutes les situations.

Dr Paul Czysz – Ingénieur de carrière chez McDonnell Douglas

Cet univers est un peu comme « Casper, le gentil fantôme ». Vous pouvez voir un dessin animé avec lui mais vous ne pouvez pas connaître ses dimensions réelles, ni savoir d’où viennent ses fonds, ni encore, à cause du cloisonnement de connaître le nombre de personnes impliquées, ni même l’engagement qu’ils appliquent. Je connais des gens qui ont travaillé sur une de ces choses sur lesquelles j’ai travaillé, mais si vous leur posez des questions à ce sujet, même par le biais d’Internet, elles disent, non, je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Ils ont dans les soixante-dix ans, maintenant, mais ils n’admettront absolument jamais n’avoir jamais connu ce dont vous parlez. Vous n’avez pas idée de cela : cela doit être bien plus important que nous le pensons.

Edgar Mitchell – Astronaut

C’était de la désinformation afin de détourner l’attention et créer une confusion d’où la vérité ne pouvait pas sortir. La désinformation est simplement une autre méthode pour emmurer la vérité. Et c’est ce qui est utilisé abondamment depuis peut-être plus de 50 ans: Le ballon météo au-dessus de Roswell est opposé au crash d’un vaisseau ou quoi que ce soit. C’est de la désinformation. Nous voyons cela depuis 50 ans. Et c’est la meilleure manière de cacher quelque chose.

Quelle que soit son activité, c’est un groupe clandestin, en partie privé, en partie gouvernemental, sans type défini, autant que je puisse dire, et loin du contrôle de la tête de l’état. C’est ça le grand problème.

John Callahan – Responsable au sein de l’Office of Accident Investigation, un département de la Federal Aviation Administration

Quand cela fut fait, ils ont fait jurer tous les autres gars présents que ceci n’avait pas eu lieu. Que nous n’avions pas assisté à cette réunion. Que rien n’avait été enregistré… C’était par un de ceux de la CIA. Ils n’avaient jamais été présents et ceci ne s’était pas produit. Alors je leur dis : « Je ne comprends pas pourquoi vous demandez cela. Je veux dire, il y a quelque chose là, et si ce n’est pas un bombardier furtif alors c’est un OVNI. Et si c’est un OVNI, pourquoi ne voudriez-vous pas qu’on le sache ? »

Oh, ils étaient tous énervés. On ne pourrait même pas répéter ce qu’ils ont dit. Le gars de la CIA dit que c’était la première fois qu’ils avaient 30 minutes de données radar sur un OVNI. Et ils avaient tous hâte d’éplucher ces données pour découvrir ce que c’était et où ça nous emmenait. Il ajouta que s’ils allaient raconter au public américain qu’ils avaient poursuivi un OVNI cela causerait un vent de panique à travers tout le pays. C’est pour cela que l’on ne pouvait en parler. Et qu’ils allaient traiter ces données…

Quand ils lurent le rapport effectué, la FAA décida de se protéger, « vous ne pouvez pas dire que vous avez vu un spot non identifié sur le radar », bien que ce soit sur le rapport. Aussi le lui ont-ils fait changer et utiliser le terme de « position symbolique », qui sonne comme si ce n’était pas vraiment un écho radar. Mais si ce n’était pas un écho radar, des tas d’autres « positions symboliques » n’en sont pas. Quand je lus ceci, je pensais qu’il y avait anguille sous roche, que quelqu’un avait quelque chose à cacher.

Quand la CIA nous dit qu’il ne s’était jamais rien passé et que nous n’avions jamais eu cet entretien, c’était pour le cacher totalement, alors que d’habitude quelques informations sans importances sont rendues publiques.

J’ai été impliqué dans quantité d’entreprises de dissimulation avec la FAA. Quand nous avons fait la présentation de l’événement à l’équipe Reagan, j’étais derrière le groupe présent. Quand ils firent leur allocution publique ils jurèrent tous qu’il ne s’était rien passé. Mais à moi, ils ne m’ont jamais rien juré… et ça m’a toujours tracassé toutes ces choses non expliquées ainsi que ce dénigrement systématique, comme de vulgaires fictions, de tous les événements relatés aux informations, à la radio et à la télévision. Mon silence m’a pesé…

Michael Smith – Contrôleur Radar US Air Force

Le NORAD (Commandement Nord-Américain de la Défense Aérienne) est au courant. Ils ont appelé le NORAD. Un officier me mit de côté et dit que le NORAD était au courant, ce sont les seuls à avoir été informés. Sinon, nous n’en avons parlé à personne d’autre. A personne. Ceux qui savent le savent. Nous avons juste assisté à ce qui s’est passé, c’est tout. C’est notre boulot. J’ai insisté pour qu’il y ait un rapport. Il me répondit que le seul rapport qui existera sera composé de deux pages à propos de mon observation tout le reste étant mon profil psychologique, celui de ma famille, mes ascendants, tous. Quand l’Air Force commence comme ça, elle peut vous discréditer totalement en disant que vous étiez sous l’influence de drogues, que votre mère est communiste, tout ce que vous voulez. Vous n’aurez plus d’avancement, on vous enverra 3 ans et demi au Pôle Nord, vivant sous la tente, à lâcher des ballons météo. Vous voyez le genre. Le message était fort et clair : je la ferme, je ne dis rien à personne…

Je vais vous citer une autre expérience. J’étais au radar, et le NORAD m’appelle pour m’informer qu’un OVNI arrivait vers la côte californienne et qu’il serait dans mon secteur sous peu. Je leur demandais ce qu’ils voulaient que je fasse. Ils me répondirent : « Rien du tout. Vous observez mais vous ne consignez rien. » Nous avons un journal dans lequel nous devons consigner tout événement sortant de l’ordinaire. Mais ils insistèrent bien pour que rien n’y soit consigné. Je pouvais seulement assister au phénomène, rien d’autre. Le NORAD était tout à fait informé, bien entendu que des OVNI circulaient et leur réaction était comme à leur habitude. Le gouvernement les couvre. Ils ne veulent pas que cela se répande. Pourtant c’est une technologie tellement remarquable… Ces êtres viennent d’on ne sait d’où. J’aimerais que tout le monde soit au courant…

Après le premier événement en Oregon, je rentrai chez moi et en parlai à mon père. Il était « bleu, blanc, rouge » de la tête aux pieds, un vétéran de la deuxième guerre mondiale patriotique au dernier degré… Je lui parlais de ces OVNI que l’on voyait régulièrement et il me répondit : « Non, le gouvernement dit que ce ne sont pas des OVNI ». Je lui répliquai que je les avais vus de mes propres yeux sur l’écran radar, et lui : « Allez! Le gouvernement ne me mentirait pas… » Vous voyez… Il y avait en face de lui son fils… Jamais je ne lui mentirais. Il ne savait plus quel parti prendre… Jusqu’à des années plus tard, après le Watergate: « Hola! Viens t’asseoir et raconte-moi ton histoire. Ils m’ont menti pour une bricole comme le Watergate, alors pour une grosse affaire comme celle-là… » C’est un camouflage du gouvernement qui ferait mieux de ne pas exister. Il n’y a plus de guerre froide…

Je suis de l’avis du docteur Greer, que la technologie qu’ils ont pourrait nous permettre de stopper l’utilisation des carburants fossiles, arrêter les dommages à la couche d’ozone, etc… Ils ont la technologie nécessaire. Et le gouvernement est au courant. Ils ont ces extraterrestres, ces vaisseaux spatiaux, la technologie, tout… Qui sont-ils pour camoufler cela alors les autres gouvernements soulèvent le voile, admettent, montrent leurs fichiers… Pourquoi pas notre gouvernement ?

Franklin Carter – Technicien Radar US Navy

Ils ne voulurent absolument pas que quiconque apprenne quoi que ce fut de ce que nous avions vu. C’était le début du camouflage… Camouflage devenu incontrôlable. Mais je sais que le seul peuple qui a gardé le secret jusqu’à aujourd’hui est le peuple américain. Tous les autres peuples savent et acceptent. Et tous les gouvernements aussi (excepté l’Angleterre) acceptent cela.

Neil Daniels – Pilote chez United Airlines

Dans le passé, les pilotes qui avaient vu « quelque chose » et en avaient parlé étaient mis sur la touche. Certains furent interdits de vol et traités comme des « rien du tout »… C’est pour ça que je n’en ai plus parlé pendant de si longues années.

Lieutenant Frederick Fox – Pilote de l’US Navy

On trouve dans la publication JANAP 146 E une section interdisant la révélation de toute information concernant des phénomènes OVNI sous peine d’une amende de 10.000$ et de dix ans de prison. Il est donc évident que, quelle que soit votre expérience, vous ne tentiez pas de transgresser le secret sans leur permission.

La question ne s’est jamais posée avec le contrôle aérien. Mais dans aucun cas je n’aurais ouvert la bouche. Il y avait un capitaine, Pete Killian, qui avait écrit quelque chose là-dessus dans un livre traitant du sujet OVNI. Il avait été pilote sur les lignes américaines dans les années 50 et avait témoigné devant une commission sénatoriale avoir été témoin à plusieurs reprises de phénomènes OVNI. Un autre capitaine avait, lui, pris une photo d’un OVNI au-dessus de l’aile de son avion. Tous deux, bien sûr, ont été littéralement ridiculisés. Je n’ai jamais eu envie de suivre ce chemin. Aussi, n’ai-je jamais rien déclaré au FAA (Federal Aviation Administration – Bureau Fédéral de l’Aviation) ni aux militaires. Beaucoup de pilotes ne voulaient pas être impliqués là-dedans à cause des pressions et du ridicule qu’ils auraient à subir. Aussi le secret a-t-il été bien gardé…

J’ai un ami très proche qui était pilote de B24 durant la deuxième guerre mondiale et membre de l’OSS (Office of Stategic Services – Bureau de Service Stratégique). Il fût l’une des premières personnes au Japon après les bombes atomiques d’Hiroshima et Nagasaki. Il a fini sur le Projet Bluebook, 13ème section, qui, je crois est la portion top-secret de cette enquête, comme capitaine de l’US Air force. Il est presque octogénaire maintenant, mais il est toujours en activité au grade de Capitaine. Je ne sais pas s’il touche une solde mais je sais qu’avec tout ce temps de service il devrait être au moins Général 3 étoiles, être dans le rang et payé en conséquence. La seule raison pour laquelle ils l’ont gardé en service actif est de maintenir son devoir de réserve et donc de l’empêcher de parler. Il y a certaines choses dont il ne me parlera jamais à cause de ce devoir de réserve, et ce, malgré certaines de mes autorisations d’accès à des informations top-secrètes dans la Navy, ainsi que des centres d’intérêt communs.

Pour quelle raison le gouvernement, ou certaines de ses agences, juge-t-il nécessaire de maintenir ce silence, ces secrets d’un autre âge. Je pense qu’il est temps pour nous d’agir, d’arrêter cette mascarade. De faire ce pas de géant qui ferait évoluer le genre humain et lui ferait goûter tous les fruits de la vie.

Captaine Robert Salas – Contrôleur du Commandement Statégique Aérien de l’US Air Force

J’ai rédigé un rapport sur cet incident : c’était dans le journal que j’ai dû rendre. Quand nous nous sommes rendus à la base nous avons été appelés au rapport, immédiatement. Dans la pièce, avec le Commandant, il y avait un de mes amis de l’AFOSI (Air Force Office of Special Investigation – Bureau des enquêtes spéciales de l’Aviation). Il était là, dans le bureau, avec le Commandant. Il m’a demandé le journal, ainsi qu’un bref rapport oral, bien qu’il semblât évident qu’il en sut plus long que nous sur la question. Nous lui fîmes tout de même une rapide relation de l’événement. A la fin il nous demanda à tous les deux de signer un accord de non-révélation disant que c’était une information classée, que nous ne devions la révéler à personne : ni nos collègues, ni nos épouses ou notre famille, ni même en parler entre nous…

Bob Kominski chapeautait la commission chargée d’étudier l’échec (accompagné de tous ces phénomènes) des essais du missile Atlas en 1964. Kominski m’a raconté dans une lettre qu’à un certain moment, son patron lui a rapporté que l’Air Force avait dit: « Arrêtez les enquêtes; n’allez pas plus loin et ne rédigez pas de rapport final ». C’est très étrange, spécialement lorsque l’on pense que l’état-major du CINC-SAC avait déclaré qu’il était de la plus grande importance de découvrir ce qui s’était passé ici. Et pourtant les responsables de l’équipe d’investigation ont dû tout arrêter sans même rédiger de rapport final.

Professeur Robert Jacobs – US Air Force

Après un article paru sur l’incident, les gens sont devenus fous. Je commençais à être harcelé au travail. Je recevais d’étranges coups de téléphones durant la journée. La nuit, chez moi, il n’arrêtait pas de sonner, toute la nuit parfois. Trois heures du matin, quatre heures, minuit, dix heures du soir. Ils m’appelaient et commençaient à m’insulter. « On va pas te laisser faire, sale enculé ! On ne va pas te laisser faire ! ». C’est tout ce qu’ils disaient. Ils gueulaient ça jusqu’à ce que je raccroche. Une nuit quelqu’un a fait sauter ma boîte aux lettres en y fourrant un paquet de feux d’artifices. La boîte s’est volatilisée en flammes. Puis vers une heure le téléphone a sonné. Je décroche et quelqu’un me dit: « Tu as vu le feu d’artifice dans ta boîte ? Quel beau spectacle, sale enculé ! » Et ça continue encore de temps en temps, depuis 1982…

Je crois que tous ces illuminés que l’on trouve autour de la question extra-terrestre font partie d’un effort concerté pour écarter toute étude sérieuse. A chaque fois que quelqu’un essaye d’étudier le sujet sérieusement, il est complètement ridiculisé. Je suis un professeur à part entière dans une université importante. Mais je suis certain que mes collègues se moquent de moi, disent les pires choses quand ils savent que j’étudie les phénomènes extraterrestres, et ce n’est qu’un aspect de cette réalité qui nous entoure.

Savoir ce qui est arrivé au film est une histoire intéressante en elle-même comme le major Mansmann le raconta, à moi et à d’autres. Quelques temps après que je sois parti, des gars en civil, je pensais à la CIA mais il m’affirma que non, prirent le film, débobinèrent la partie qui montrait l’OVNI, la coupèrent aux ciseaux pour la mettre sur une autre bobine qu’ils rangèrent dans leur attaché-case. Ils ont rendu le reste au Major Mansmann et lui dirent: « Nous n’avons pas besoin de vous rappeler, Major, la gravité d’une brèche dans la sécurité; nous considérons cet incident clos ». Puis ils sortirent avec le film: le Major Mansmann ne l’a jamais revu.

Harry Allen Jordan – US Navy

Un lieutenant-colonel que je ne connaissais pas très bien vint et me dit: « Qu’est-ce qui se passe Jordan? Qu’est-ce que vous avez mis dans votre livre de bord? » Il ajouta: « Vous n’avez pas besoin de mettre ça là-dedans ». Maintenant il est très difficile, très difficile pour moi d’écrire ça, particulièrement sur le livre de bord d’un navire. J’avais eu des contacts visuels et j’avais commencé à écrire le mot « OVNI ».

James Kopf – US Navy, service cryptographie

Quelques jours après le Commandant et son second firent une brève allocution sur le réseau de télévision interne du bord. C’était la seule manière de s’adresser à l’ensemble des 5.000 hommes d’équipage. Le Commandant regarda la caméra et dit, je n’oublierai jamais cela, « J’aimerais rappeler à l’équipage que certains événements qui se produisent à bord d’un vaisseau de guerre sont considérés comme confidentiels et ne devraient pas être abordés avec quiconque sans raison valable ». Il ne dit que cela.

yogaesoteric
13 novembre 2017

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