La saga de Louis Pasteur, l’imposteur (partie 2)

 

Lisez la première partie de cet article

Pasteur entretient ses relations politiques à des fins de pouvoirs personnels

Pasteur écrivait un jour à un ministre (il avait déjà de belles relations) : « Il est erroné de dire que cette maladie n’est pas constitutionnelle et seulement parasitaire. Enfin, je crois que ces gens-là : Béchamp et son collaborateur sont fous. Mais quelle folie malheureuse que celle qui compromet ainsi la Science et l’Université par des légèretés aussi coupables ! »

En juin 1865, Pasteur fut donc nommé par le gouvernement pour étudier les maladies des vers à soie ! Alors que Béchamp à cette époque avait déjà terminé ses travaux à propos de la maladie des vers à soie : Il en démontrait son origine parasitaire et avait nommé ce microbe « pébrine » et il avait déjà publié ses travaux sans ambigüité sur des revues scientifiques. Mais Pasteur en colère, fort d’être le représentant légal de l’État lança une croisade contre Béchamp, critiquant ses travaux. Il affirma carrément (on en a les preuves écrites de sa main) qu’il s’agissait bel et bien d’une maladie « constitutionnelle », que les « petits corps » (c’est ainsi que Pasteur et sa clique appelaient les petites bêtes invisibles de Béchamp, celles qui allaient s’avérer exister réellement et devenir des microbes) que Béchamp considérait comme des « parasites exogènes », c’est-à-dire qui venaient de l’extérieur, étaient tout simplement des cellules malades du ver lui-même !

Pasteur retourne sa veste et s’accapare la découverte de Béchamp !!

En 1868, Pasteur devait reconnaitre que Béchamp avait raison. Il ne se démonta pas et décida de faire une déclaration fracassante à l’Académie des sciences et au ministre de l’Agriculture : « J’ai été le premier à démontrer l’origine parasitaire de la pébrine, entièrement ignorée avant mes recherches !! » Il fallait oser !

Mais on le verra, Pasteur ne reculait devant rien pour s’approprier les découvertes de ceux qui lui faisaient de l’ombre, ce ne fut pas le dernier de ses coups d’escroc.

Pasteur en remet une couche et fait d’une pierre deux coups !

En 1870, dans la foulée, et pour appuyer ses dires, il publie un livre sur les maladies des vers à soie et, on est malin ou on ne l’est pas, il dédie le livre à l’Impératrice car, depuis longtemps, il préparait et s’introduisait (tel un bon manipulateur qui ne lâche jamais sa prise, mais qui quotidiennement creuse et creuse encore pour assoir ses relations) auprès la cour impériale. Il devint l’ami de ministres influents, amis de représentants officiels, diplomates de pays étrangers, avec derrière la tête une idée bien claire, profiter de ces relations exceptionnelles.

À cette époque, Pasteur se déclarait très « napoléonien », mais après la chute de l’Empire et l’avènement de la République, il ne fut pas embarrassé du tout, il enleva sa veste… et la retourna tout simplement, il se mit à courtiser les nouveaux venus. Il changea complètement de bord, comme le signalait le journal Impact Médecin du 19 février 1883. Et les nouveaux au pouvoir en furent ravi, de napoléonien il devint donc républicain, dans le monde du business, on ne s’arrête pas à si peu.

L’histoire de la rente de 25.000 Fr

Il obtint de son nouvel ami physiologiste républicain Paul Bert, membre de la commission du budget, qu’il fit un rapport à l’Assemblée nationale afin de se faire attribuer une « récompense nationale » sous forme d’une rente annuelle de 12.000 francs – portée ensuite, puisque ça avait marché, à 25.000 francs – pour avoir sauvé la sériciculture. Après ce coup-là, Pasteur ne se sentant plus (pisser) de joie, ouvrit son bec en laissant tomber rien du tout, et ne le referma plus jusqu’à sa mort.

Revenant un peu sur cette magouille pour se procurer ces 25.000 FR au frais de la princesse « République » et parlons un peu de Paul Bert.



Paul Bert

Un contestataire, d’origine janséniste, rentre à polytechnique mais qui ne sera jamais diplômé, fasciste avant l’heure, mais grand révolutionnaire, très influent auprès du gouvernement lui aussi révolutionnaire, il a fait une brillante carrière politique, il est à l’origine de manuels scolaires qui décrivait à cette époque la supériorité de la race blanche. Il n’avait qu’une envie celle de rentrer à l’Académie des sciences malheureusement, on ne voulait pas d’un libertin dans les rangs de cette institution, en plus un homme qui affichait ouvertement son athéisme.

Pasteur flaire la bonne affaire

Paul Bert raconte lui-même que Pasteur au courant de son désir de rentrer à l’académie des sciences serait venu le trouver et lui aurait tout simplement proposé le deal, Pasteur profitant de son influence, le faisait rentrer à l’académie, en contrepartie, Bert lui assurait l’attribution d’une rente à vie. Ce qui fut fait rapidement ! Au détriment de Davaine qui aurait dû recevoir la récompense, il était le protecteur de Pasteur depuis le début de sa carrière, mais Pasteur n’en avait plus besoin et s’attribua même une grande partie de ses travaux. Davaine trahit ne s’en remis jamais.

La morale bafouée

Le résultat du « bien mal acquis ne profite jamais » n’avait aucune prise sur Pasteur, qui fut de ce fait, récompensé pour sa félonie sur Béchamp, s’étant accaparé ses travaux sur la « théorie parasitaire », et cerise sur le gâteau, n’aimant pas voir Béchamp dans la sphère universitaire parce que son mensonge risquait d’être découvert, il fomenta une intrigue pour lui faire perdre son poste universitaire.

L’histoire des ferments solubles

Puis en 1878 il y eu aussi cette affaire des « ferments solubles », ce qui donna lieu à une bataille rangée entre Pasteur et le chimiste Berthellot pendant presque 2 années, et là encore Pasteur va utiliser l’arme avec laquelle il s’est si brillamment battu contre Béchamp, l’imposture est devenue son cheval de bataille. D’abord il refusa de reconnaître l’évidence et maintint sa croyance en la théorie de la génération spontanée. Puis il déclara qu’en fait il était à l’origine de ses travaux et se les accapara !

Pasteur donne la rage

Dès premiers pas à l’école, alors qu’on a déjà fait amplement connaissance avec ce « père de la nation », soit parce qu’on a déjà subi plusieurs vaccins qui ont laissé des traces de douleurs, soit parce qu’on a été atteint d’effets secondaires connus tout simplement, mais cachés, tout simplement aussi, on entend parler encore, il faut que le message ne cesse ! comme en Corée du Nord ! si vous y regardez bien, c’est exactement la même méthode, et il faut que les enseignants soient crédibles, ils ne sont donc pas dans la combine, mais dans le système où ils ont servi comme cobayes au même titre que les enfants qu’ils sont persuadés aider. Et quand des parents viennent jeter la suspicion sur les vaccins, ohh ! Mon Dieu ! Quel blasphème, en pleine école de la laïcité ! Saint Louis ! (pas St Louis St Louis, mais, St Louis Pasteur !) protège les enfants avec tes vaccins !

Bref, grâce aux petits cerveaux à reluire, on apprend que Pasteur « a sauvé le petit Joseph Meister, mordu à la main par un chien enrage ». À vrai dire, et dans les faits de l’époque, il y a de fortes chances que ce chien n’était pas enragé du tout et on va vous expliquer pourquoi. Tout simplement d’abord parce que la plupart du temps, le chien est très en pétard ! Et il devait l’être contre ce petit Joseph qui lui a tiré la queue ou la langue si c’est un chien trop fier pour le supporter !

Imaginez, il y a actuellement, non pas un cas de morsure de chien par jour, ni même 24, un par heure, ni même 86.000 cas par jour, un toutes les secondes, ni 250.000 cas par jour non, le double ! Près de 500.000 cas de morsures de chien chaque jour, et la rage existe toujours, comme à cette époque ! Et même actuellement, il est recommandé de se poser la question en premier, et ne rigolez pas ! La plupart du temps on va vacciner la victime contre la rage ! On peut même lire actuellement sur le net :

A notre époque on a tout prévu

« En cas de morsure par un chien ou lorsque le chien a disparu, l’enfant doit être systématiquement orienté vers l’un des 60 centres de traitement antirabique pour y être vacciné dans un délai de 48 à 72 heures. Le protocole à 4 ou 6 injections est entrepris au moindre doute. »

Cela veut dire que tous les jours l’institut Pasteur vit encore des « bienfaits » de son bienfaiteur, en France on utilise dans les urgences (10% sont des morsures de chien de salon !) Tenez-vous bien: par an 1 milliard 300 millions de vaccins payés par la sécu !

Pour un chat et un chien le vaccin obligatoire de la rage coute 50 €, avec rappel tous les ans si vous voulez être en règle ! Tous les jours de l’année ! Commencez-vous à comprendre quelle manne financière la vaccination représente et dans ce cas, on parle de milliards d’Euros et de Dollars à travers le monde, on est 7 milliards, si la plupart des gens ont accès au vaccin, là où règne la famine, on vient vacciner en hélicoptère ! 2 fois par an ! Cela représente donc près de 600 millions de doses de vaccins utilisées tous les jours et ceci, uniquement pour une maladie « très… rare ».

Maintenant accrochez-vous! Nombre de cas de rage dans le monde depuis 1977 c’est à dire depuis 35 ans : 17 cas et pas un en France ! Mais de qui se moque-t-on ?

On revient à l’arnaqueur original

Donc pour en revenir à Pasteur, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure dans les alentours, ni avant, ni après ; maintenant on s’imagine que le chien aurait été enragé réellement. Le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé… ce qui est extrêmement rare, il faut le rappeler… ne transmettra rarement là aussi la maladie, que dans : 5 à 15 % des cas !

Le vaccin antirabique : l’exemple parfait de la fraude

« L’affaire de la rage » est l’exemple type, l’exemple même, parfait, des mensonges de Pasteur qui ont été « répétés » « répandus » de la même manière que se répandent les « rumeurs », sans aucun fondement réel, sans aucun fondement scientifique, cela parait incroyable mais nous en sommes là ! Des « rumeurs » des mensonges, introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des « vérités » pour le commun des mortels.

La fautive ? La peur, la peur de quoi ? De la mort

Mais il y a une explication à l’établissement de tels mensonges, ce sont les peurs humaines… et elles sont toutes issues d’une seule et unique peur qui résume la vie… la peur de la mort ! Le « vaccin » désormais peut dormir sur ses deux oreilles, il à sa botte secrète, son « immunité » si on osait dire, et tous les vaccins ont cette même unique force intrinsèque l’arme secrète qui prétend vaincre directement la mort. Il ne vaut mieux pas badiner avec la mort, et entre deux maux, il faut choisir le moindre, oui mais voilà, on vous a aussi trompé sur le moindre !

Désormais, dès que l’on va ouvrir la bouche pour vous parler de vaccin, les mots seront toujours associés non pas à « efficacité » mais au risque que vous prenez si vous ne vous vaccinez pas. Un seul mot d’ordre : vous menacer directement, vous, et vos enfants, de mort imminente si vous ne vous faites pas vacciner. Cela a marché du temps de Pasteur, et cela marche encore.

Mais Pasteur, n’est pas le vrai fautif en fait si l’on y va voir d’un peu plus près. Contrairement à ce que l’on nous rabâche et dont on rabat les oreilles, le vaccin « antirabique » ne fut pas créé par Pasteur, désolé pour le mythe… mais par Henri Toussaint, un professeur d’une rare intelligence, à l’École vétérinaire de Toulouse, dont le nom n’a pas marqué l’histoire…

Toussaint avait réussi à bien atténuer la virulence du virus en chauffant la préparation et en y ajoutant du phénol, un antiseptique. Il est intéressant de remarquer ici ce que dit le Web de Toussaint : « Il proposa des procédés de vaccination contre le charbon, notamment par atténuation de la virulence à l’aide d’un antiseptique (phénol), ce qui donne lieu à des accusations de plagiat contre Pasteur ! qui, sans le dire, utilisa lui aussi un antiseptique (le bichromate de potassium) lors de la célèbre expérience de Pouilly-le-Fort. »

Quand on lit : « ce qui donne lieu à des accusations de plagiat contre Pasteur »

Voyez à quel point les mensonges sur Pasteur et les vaccins ont la vie dure, quand vous lisez les biographies utilisées pour écrire cela, tous les livres cités en références disent tous que Pasteur et l’usurpateur, alors ? Vous voyez comment on arrive encore et toujours à tromper les « gens-moutons ». Remarquez, les laboratoires veillent au grain, ce sont eux qui donnent les informations officielles de publication. C’est comme pour les médicaments ou les vaccins eux-mêmes, ce sont les laboratoires producteurs qui font les tests de validité et qui les donnent à l’Affsaps ! Vous imaginez ! Mais c’est comme ça.


(à suivre)

 

yogaesoteric
5 décembre 2018

 

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