Les Rothschild et l’apparente opposition entre capitalisme, nazisme et communisme (2)

Lisez la premiere partie de cet article

La révélation finale de la franc-maçonnerie par Henry Makow Ph.D., rédigé le 16 novembre 2003


Les francs-maçons « doivent mourir avec la révolution qui a été engendrée avec leur coopération » selon C.G. Rakovsky, un des fondateurs de l’Internationale Communiste.

« Le vrai secret de la maçonnerie est le suicide de la franc-maçonnerie en tant qu’organisation et le suicide physique de chaque franc-maçon important. »

Cette révélation vient du compte rendu de l’interrogatoire par la police staliniste de 1938 intitulé « The Red Symphony. » (Transcription dans le livre de Des Griffin, « Fourth Reich of the Rich », page 254).

« Il est clair que je connais ceci, pas en tant que franc-maçon mais en tant qu’individu qui leur appartient [aux Illuminati] » dit Rakovsky, un camarade de Léon Trotsky arrêté pour complot contre Staline.

Le but de Rakovsky était de convaincre Staline, un nationaliste, de coopérer avec l’Internationale Capitalo-Communiste.

« Protocoles de Sion » et « Symphonie Rouge »

La franc-maçonnerie est la société secrète le plus grande du monde avec plus de cinq millions de membres, dont trois millions aux Etats-Unis. Elle est un instrument de la conspiration totalitaire. Dans « Les protocoles des sages de Sion », l’auteur (Lionel Rothschild) écrit : « La maçonnerie non juive sert aveuglément d’écran, à nous et à nos objectifs, mais le plan d’action de notre force, même sa localisation très stable, reste pour la majorité des gens un mystère inconnu… Qui ou quoi est en position de contrecarrer une force invisible ? » (Protocole 4)

Il écrit encore: « Nous créerons et multiplierons les loges franc-maçonniques… nous y ferons entrer tous ceux qui peuvent devenir ou qui sont importants dans leur activité publique, car dans ces loges nous trouverons notre principale source de renseignement et les moyens de notre influence…. Les complots politiques les plus secrets seront connus de nous et tomberons sous nos mains dirigeantes… Nous connaissons le but final… alors que les goyim n’aurons connaissance de rien… » (Protocol 15)

Dans son interrogatoire, Rakovsky dit que des millions rejoignent la franc-maçonnerie pour en tirer avantage. « Les régnants de toutes les nations alliées étaient francs-maçons, à très peu d’exceptions près. »


Toutefois, l’objectif réel est de « créer tous les prérequis nécessaires pour le triomphe de la révolution communiste ; c’est le but évident de la franc-maçonnerie ; il est clair que tout ceci fait sous des prétextes variés ; mais ils se cachent toujours derrière leur triple slogan bien connu [Liberté, Egalité, Fraternité]. Vous comprenez ? »

Les maçons devraient se souvenir de la leçon de la Révolution Française. Bien que « ils aient joué un rôle révolutionnaire colossal, il en coûta la vie de la majorité d’entre eux… » Puisque la révolution requiert l’extermination de la bourgeoisie en tant que classe [de sorte que toute la richesse soit détenue par les Illuminati sous couvert de l’état], il en résulte que les francs-maçons devaient être liquidés. La vraie signification du communisme est une tyrannie des Illuminati.

Quand ce secret sera révélé, Rakovsky imagine « la stupeur affichée sur le visage d’un franc-maçon quand il réalisera qu’il doit mourir des mains des révolutionnaires. Comme il criera pour demander qu’on récompense ses services à la révolution ! C’est un spectacle face auquel on peut mourir … mais de rire ! » (Page 254).

Rakovsky parle de la franc-maçonnerie comme une supercherie: « une maison de fous mais en liberté » (Page 254)

Comme les maçons, d’autres candidats à la principale classe de l’utopie humaniste (néoconservateurs, libéraux, sionistes, activistes gais et féministes) pourraient en être pour une désagréable surprise. Ils pourraient être laissés de côté après avoir été bien exploités.

Qui sont-ils ?

Quand l’interrogateur presse Rakovsky de livrer des notables Illuminati pour approcher une de leurs initiatives, Rakovsky n’est sûr que de deux qui sont décédés : Walter Rathenau, le ministre des affaires étrangères de Weimar, et Lionel Rothschild. Il dit que Trotsky est sa source d’information.

Les autres, insiste-t-il, ne sont que spéculation : « En tant qu’institution, la banque Kuhn Loeb & Company de Wall Street: [et] les familles Schiff, Warburg, Loeb et Kuhn; je dis familles pour souligner plusieurs noms puisqu’ils sont tous reliés … par mariages; puis Baruch, Frankfurter, Altschul, Cohen, Benjamin, Strauss, Steinhardt, Blom, Rosenman, Lippmann, Lehman, Dreifus, Lamont, Rothschild, Lord, Mandel, Morganthau, Ezekiel, Lasky…. quiconque avec un des noms que je viens d’énumérer, même de ceux qui n’appartiennent pas à ‘Eux’ pourraient toujours conduire à ‘Eux’ avec toute affaire à caractère important. » (Page 272)

En accordant aux banquiers le privilège de créer la monnaie, nous avons créé un insatiable vampire. Si vous pouviez fabriquer l’argent, imaginez la tentation que vous auriez de vouloir tout posséder !

Révolution cachée


Rakovsky parle du crash de 1929 et de la grande dépression comme une « révolution américaine. » Elle a été délibérément précipitée par les Illuminati pour leur profit, pour casser « l’américain classique » et pour prendre le pouvoir politique.

« L’homme à travers lequel ils firent usage d’une telle puissance était Franklin Roosevelt. Avez-vous compris ? … En cette année 1929, la première année de la révolution américaine, en février, Trotsky quitte la Russie ; le crack se passe en octobre… Le financement de Hitler est validé en juillet 1929. Vous pensez que ceci s’est passé par hasard ? Les quatre années de gouvernement de Hoover furent utilisées pour la préparation de la prise de pouvoir aux Etats-Unis et en URSS : ici au moyen d’une révolution financière, et là-bas [Russie] à l’aide d’une guerre [Hitler, seconde guerre mondiale] et la défaite qui devait suivre. Un roman plein d’imagination débordante pouvait-il être vous apparaître plus évident ? » (Page 273).

Rakovsky propose que Staline coopère avec les Illuminati (ce qu’il fit ensuite). La première condition est qu’il arrête d’exécuter les trotskystes. Puis « plusieurs zones d’influence » seront établies éloignant « le communisme formel du communisme réel. » Il y aura « des concessions mutuelles pour une entraide réciproque pour la durée du déroulement du plan… Des personnes influentes apparaîtront à tous les niveaux de la société, même à très haut niveau, qui soutiendront le communisme formel de Staline… » (Page 276)

Rakovsky souligne que les Illuminati prévoient d’allier communisme et capitalisme. Dans chaque cas, les Illuminati contrôleront toute la richesse et la puissance.

« A Moscou, il y a le communisme, à New York, le capitalisme. C’est tout comme la thèse et l’antithèse. Analysez les deux. Moscou est un communisme subjectif mais [objectivement] un état capitaliste. New York est un capitalisme subjectif mais un communisme objectif. Une synthèse personnelle, la vérité : la finance internationale et le capitalisme communisme ne font qu’un. ‘Eux’. » (Page 276)

Conclusion

La Symphonie Rouge (The Red Symphony) confirme que nos leaders politiques et culturels sont la plupart des dupes ou des traîtres. La subversion des Etats-Unis fait partie d’un plan pour une tyrannie planétaire. Mais évidemment une cabale occulte de banquiers et d’autres personnes riches est déterminée à asservir l’humanité. Beaucoup sont des juifs qui semblent suivre les injonctions talmudiques primitives et usurpent toute leur richesse, comme mis en évidence dans les « Protocoles des Sages de Sion. » Une manifestation de la tyrannie luciférienne émergeante des Rothschild basée à Jérusalem est le design maçonnique du nouvel immeuble de la Cour Suprême israélienne.


La plupart des juifs ne sont pas impliqués dans ce plan, ils s’y opposeraient, et en sont eux-mêmes les victimes. L’antisémitisme est utilisé pour nous détourner de la vraie question, la création d’un état policier global dédié à asseoir la richesse des Illuminati.

La « guerre contre le terrorisme » sert à établir ce contrôle autoritaire. Que sont-ils en train de manigancer qui soit nécessaire ? Une autre grande dépression ? Une autre attaque « terroriste » ? Les attentats du 11 septembre montrent qu’ils massacreront des américains innocents sans remords.

Dans le système satanique, tout le monde est dupé. Les sionistes sacrifient leur vie pour Israël, les communistes pour une justice sociale, les féministes pour l’égalité et les américains pour le pétrole irakien. Nous sommes tous dupés pour nous éloigner de Dieu, pour penser que la religion et la moralité sont démodées. Les lois morales universelles existent et doivent être observées pour notre propre bien. Dieu simplement est Réalité. Nous sommes gâchés, absents, dévirilisés [déféminisés] et futiles. Comme les francs-maçons, nous sommes des moutons conduits vers l’abattoir.

Hitler ne voulait pas la seconde guerre mondiale

Hitler ne voulait pas la seconde guerre mondiale, il n’avait pas l’audace de combattre l’Angleterre, selon Louis Kilzer, le journaliste lauréat du prix Pulitzer, auteur de « Churchill’s Deception » (Simon & Schuster, 1994). Hitler croyait que le futur de la civilisation occidentale dépendait de la coopération de l’Allemagne avec ses cousins aryens : l’Angleterre et les Etats-Unis. Ses cibles territoriales étaient limitées à la Russie communiste. Il était déterminé à éviter de faire la guerre sur deux fronts.

Le « miracle de Dunkerque » était en fait une extraordinaire ouverture pacifique pour l’Angleterre. Normalement, nous n’associons pas Hitler avec une telle magnanimité. En mai 1940, les britanniques étaient au bord de la défaite. L’armée anglaise était encerclée à Dunkerque. Plutôt que de les faire prisonniers, Hitler stoppa ses généraux pendant trois jours, permettant à 330.000 hommes de s’échapper.


« Le sang de chaque anglais a trop de valeur pour couler » dit Hitler. « Nos deux peuples s’apparentent racialement et traditionnellement. C’est et cela a toujours été mon but, même si nos généraux ne peuvent pas le comprendre. » (Kilzer, page 213)

Ce n’est pas une volonté d’exonérer Hitler. Son idéologie de suprématie de la race aryenne et l’esclavagisme/l’extermination des « races inférieures » (principalement juives et slaves) répugnent à tous les gens normales. Néanmoins, il faut comprendre que la vision sur Hitler est influencée par la propagande. Les alliés étaient tout aussi coupables d’atrocités et de crimes de guerre. En outre, Hitler fut créé, manipulé et détruit par la même clique d’Illuminati qui règne aujourd’hui sur le monde.

« La supercherie de Churchill »

D’après le livre bien documenté de Kilzer, Hitler essayait de convaincre les anglais de faire la paix. En échange, il était prêt à se retirer de l’Europe de l’Ouest et d’une bonne partie de la Pologne. Kilzer décrit comment les services de renseignement britanniques (une branche des Illuminati) utilisèrent à son avantage l’idéologie raciste d’Hitler pour détourner ses forces contre la Russie et le piéger dans une guerre sur deux fronts. Ils purent le convaincre qu’un parti de la paix pro-nazi (anti communiste) était préparé à déposer le « va-t-en-guerre » qu’était Churchill.

Ce parti était formé du duc de Windsor (l’ancien roi Edouard VIII) et d’autres élitistes à la volonté d’apaisement connus comme étant le « Cliveden Set ». Les nazis avaient des liens sociaux de longue date avec ce groupe et avaient confiance en lui. Hitler semblait surestimer le fait que le duc de Windsor alla séjourner au château des Rothschild à Enzesfeld en Autriche après qu’il eut abdiqué. Rudolph Hess, le leader en second de l’Allemagne nazie, était en contact avec le groupe Cliveden et s’envola vers l’Angleterre le 10 mai 1941 pour négocier la paix. Selon Kilzer, Hess avait la bénédiction d’Hitler. Coïncidence, ce fut la pire nuit de la Blitzkrieg. Ensuite, il y eut une longue accalmie dans les raids aériens nazis et britanniques. Il apparaît que les nazis pensèrent avoir un accord avec les britanniques et portèrent leur attention sur l’invasion de la Russie le mois suivant (22 juin 1942).

Hitler ne comprit pas que les élites anglo-américaines étaient (et sont encore) intimement liées avec la finance internationale (c’est-à-dire avec les Rothschild). L’impérialisme anglo-américain est en fait un front pour les familles qui possèdent la banque d’Angleterre et réserve fédérale US. Ces familles juives et non-juives sont connectées par l’argent, les mariages et le culte de Lucifer (c’est-à-dire la franc-maçonnerie). Roosevelt et Churchill étaient tous deux leurs laquais (comme tous nos « dirigeants » le sont).


En 1771, Mayer Rothschild finança les Illuminati, une société secrète maçonnique qui à son tour engendra les révolutions majeures de l’ère moderne, y compris la révolution bolchevique en 1917. Le but ultime est d’établir une dictature mondiale des banquiers, qui est à un stade avancé aujourd’hui.

Dans les années 30, leur objectif était d’inciter à une guerre sur deux fronts qui aurait terrassé les grands états nations (Angleterre, Allemagne et Russie). Comme toutes les guerres, l’objectif était de tuer des millions de gens, de traumatiser l’humanité, d’augmenter la dette publique et le profit privé, et de faire apparaître un « gouvernement mondial » (la future Organisation des Nations Unies) comme essentiel pour la « paix. »

La politique d’apaisement britannique des années 30 visait probablement à encourager les tendances expansionnistes d’Hitler et à provoquer la guerre. Douglas Reed, correspondant à Berlin du Times (de Londres), fut le premier à déceler quelque chose de louche quand son journal supprima ses avertissements de la menace d’Hitler (Voir son ouvrage Controversy of Zion).

Lisez la troisième partie de cet article

yogaesoteric
17 janvier 2018

Spune ce crezi

Adresa de email nu va fi publicata

Acest site folosește Akismet pentru a reduce spamul. Află cum sunt procesate datele comentariilor tale.

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More