Les smart cities : les villes qui veulent faire des gens des esclaves !

Accepteriez-vous d’être filmé en permanence ?

Partout autour du monde commencent à émerger des villes connectées ou smart cities qui tentent en récoltant des données de faciliter la vie est citoyens en anticipant leurs comportements. Mais quel pourrait être les dangers d’une telle ville ?!

De nombreux débats sont engagés à propos de ces villes, de leur utilité et de la place des citoyens dedans. D’un côté certains sont effrayés que la finalité de ces villes ne soit de faire des gens des petits robots à la solde du système et d’un autre côté certains pensent que c’est une réelle opportunité pour que la vie soit plus facile pour chacun dans un cadre écologique.

1. Mais alors pourquoi deviendrait-on des esclaves ?

 

L’idée d’une ville connectée est de collecter des informations sur les usages de la ville par les citoyens dans le but d’adapter les services aux réels besoins. Mais le risque de créer un système qui s’adapte aux gens est qu’au final ce soit les gens qui s’adaptent au système et qu’au motif de se simplifier la vie on devienne simplement des machines suivant une routine au libre arbitre oublié.


2. Dit comme ça c’est abstrait alors voici quelques exemples de la vie dans une ville connectée !

Les trottoirs, les murs, les routes… tout vous permettrait d’avoir internet partout et contiendrait des capteurs, dans le but de savoir exactement où vous êtes, ce que vous faites, avec qui vous êtes, qui vous êtes… Bref ce serait la fin de votre vie privée.

 

L’un des objets que l’on trouverait dans une ville connectée serait le frigo connecté. Présent dans le logement de chacun il saurait ce qu’il vous manque, définirait votre régime alimentaire pour que vous soyez en bonne santé, commanderait les aliments, et vous seriez livré par un drone. Au final vous ne feriez plus rien vous seriez juste complètement guidé par le système. Et même si le côté pratique est évident, ça a aussi un côté flippant.

Dans une ville connectée, les voitures connectées et les transports en commun connectés seraient également les maîtres. Ils anticiperaient vos déplacements, seraient là à vous attendre pour aller au travail, pour aller voir un ami, sans jamais que vous ne conduisiez. Vous seriez juste un petit truc trimbalé par des objets à droite à gauche.

 

Toute la ville serait filmée, vos mouvements analysés, et les données seraient exploitées dans le but d’anticiper le moindre de vos faits et gestes encore et toujours pour vous simplifier la vie ! Et qui a envie d’être filmé partout ? Dans la rue, au travail, au supermarché, des petites caméras très modernes vous sonderaient !

Et puis on serait remplacés par des robots humanoïdes qui petit à petit feraient tout à la place des gens. Mais la finalité de l’humanité est-elle de devenir des gros lards assistés et ne faisant plus rien ? Sans doute pas.

3. Mais il faut quand même reconnaître que ça peut aussi être super

Attention, il ne faut pas se méprendre les villes connectées peuvent également apporter plein de bonnes choses, et construire un monde écologique avec des capteurs analysant la pollution, adaptant les transports en fonction des besoins, mais laissant à chacun une liberté. Le tout est juste en parallèle de cette technologisation des villes de réfléchir à des manières de conserver la liberté, la créativité et le libre-arbitre de chacun.

Les villes connectées t’intéressent et t’intriguent autant qu’elles t’effraient ? Partage cet article à tes amis pour en débattre avec eux, car c’est super intéressant et que ça se passe en ce moment !

Où sont les villes intelligentes en France

27 communes, métropoles et communautés d’agglomération françaises développent des services intelligents. Voici ce qu’elles font et qui pilote leurs projets.

15 des 27 smart cities françaises comptent moins de 250.000 habitants, soit plus de la moitié d’entre elles. Si les communes les plus importantes de France, comme Paris, Marseille ou Lyon, sont naturellement au rendez-vous, des villes de tailles plus modestes se saisissent elles-aussi du sujet. Cliquez sur la carte interactive (et zoomez si besoin) pour découvrir leur nom et le détail des projets qu’elles développent.

81% d’entre elles, soit 22, se sont lancées dans l’open data, c’est-à-dire l’ouverture des données (sur les transports en commun disponibles en temps réel par exemple) aux entrepreneurs voire aux citoyens. Des informations qui peuvent servir à créer des services adaptés aux besoins des administrés mais aussi à mieux appréhender l’impact d’une décision politique. Autre concept en vogue dans les villes intelligentes françaises : les plateformes participatives. 10 des 27 communes concernées travaillent sur des outils en ligne destinés à donner la parole aux habitants, que cela soit pour apporter des idées, des observations, ou signaler un problème aux services de la mairie.

Artisanapolis : la ville flottante du futur  

   



yogaesoteric


14 novembre 2019


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