Le SIDA : première maladie virtuelle de l’histoire (4)

 

Lisez la troisième partie de cet article

Les retrovirus : le manteau d’Arlequin de Gallo et Montagnier

On transgresse alors la loi de la virologie : tous les A.D.N. d’un virus ont rigoureusement la même taille. Pour respecter la loi, on sélectionne artificiellement des fragments de même longueur et, comme ils ne constituent pas un modèle unique d’A.D.N. viral, on leur fait subir une manipulation dite d’ « hybridation » qui permet de ne sélectionner que ce qu’on veut sélectionner.

Or, comme il n’existe aucun A.D.N. qui provienne d’un virus imaginaire, comme le V.I.H., et qu’on ne peut donc pas leur appliquer le processus d’hybridation, les professeurs Gallo et Montagnier ont utilisé des séquences de l’A.D.N. qu’ils ont prétendu être spécifiques du VLTH-1 – un rétrovirus que le Pr Gallo prétendait avoir découvert auparavant – et qui leur semblait convenir à l’hybridation.

Ainsi ont-ils pu les dupliquer, les cloner et ils l’ont baptisé V.I.H. ! Un virus créé de toutes pièces à partir d’un patchwork ! On savait que le Pr Gallo n’avait pas été très scrupuleux mais il semble désormais que l’invention du Pr Montagnier n’est qu’une manipulation !

Un artefact de laboratoire qui n’existe pas dans la nature. Comme dit le Dr Lanka : la prétendue culture de V.I.H. n’est qu’une mixture de fragments d’A.D.N. de diverses longueurs, le manteau de l’Arlequin des A.D.N. Ou plutôt des Arlequins de l’A.D.N. : Montagnier et Gallo.

Pourquoi personne n’a-t-il démonté la manipulation ?

Pourquoi, s’étonne Lanka, personne n’a-t-il cherché la faille dans leur invention ? Pourquoi personne ne s’est-il étonné qu’il ait été impossible de reproduire le virus dans quelques conditions que ce soit ?

Pourquoi la plupart des gens n’ont-ils pas vu que le très éminent Pr Montagnier et le Pr Robert Gallo n’avaient travaillé qu’avec des séquences clonées très courtes – et jamais avec des fragments entiers – en présumant que les caractéristiques originales avaient été convenablement reproduites, raison pour laquelle chacune des séquences proposées diffère des autres ?

Pourquoi, au lieu de s’étonner de ces différences de séquences qui auraient d’être identiques, les chercheurs ont-ils conclu qu’il s’agissait là de la preuve de la légendaire capacité du virus à muter – autre mythe car le virus n’en a pas la moindre ?

Pourquoi sinon à cause de l’autorité des pontifes ? Et quelle ahurissante audace, chez Gallo – souligne le Dr Lanka –, qui prétend, en 1975, avoir découvert le LH23, le premier rétrovirus humain avec les mêmes techniques qu’on vient de décrire, alors qu’on s’apercevra plus tard que son prétendu rétrovirus n’est rien qu’un assemblage de trois A.D.N. différents provenant de trois sources de contamination différentes !

Un étudiant de première année sait qu’en incorporant de l’A.D.N. à une culture de cellules, une partie de cet A.D.N. s’incorpore aux cellules sans qu’aucun virus ne soit en cause. Alors, bien sûr, ce que détecte le test du V.I.H., ce n’est rien d’autre que des anticorps des protéines produites par le test même !

La séropositivité ne signifie rien et surtout pas la mort !

Le Dr Stefan Lanka ajoute que le plus important et le plus délicat est alors de convaincre les séropositifs que le résultat du test V.I.H. n’est pas une condamnation à mort. Mais, cher docteur, puisque tout le monde sait que le test ne signifie rien, que, comme dit la notice du Western Blot, « s’il est positif, vous pouvez être négatif et, s’il est négatif, vous pouvez être positif », le plus simple n’est-il pas de le prendre pour ce qu’il est : un gadget sans autre signification que l’enrichissement de la pharmacie ?

Et, si l’on ne parvient pas à ce dépassement, le mieux n’est-il pas de s’abstenir formellement et définitivement d’en subir aucun ? D’autant qu’à la suite de ceux qui avaient avalé des cultures de choléra, prélevées sur des cadavres, pour prouver l’inanité de la théorie de Pasteur, le Dr Robert E. Willner, auteur d’un ouvrage sur le SIDA intitulé L’Escroquerie du SIDA, n’a pas hésité, en 1999, pour prouver l’inanité de la théorie du SIDA, à s’inoculer, à l’aide d’une seringue, du sang de Pedro Tocino, un hémophile séropositif, en direct à la télévision espagnole.

1000 livres à qui isolera le virus !

Alors, bien évidemment, puisqu’il n’existe pas le moindre symptôme de cette prétendue « maladie » qui est alors bien, en effet, virtuelle – aussi virtuelle qu’un meurtre sans cadavre –, Léon Renard observe qu’une simple fièvre, une diarrhée, un herpès, un rhumatisme articulaire, etc. devient immédiatement symptôme du SIDA, chez tout séropositif, y compris la foule de ceux qui sont déclarés positifs au moyen de tests aussi fiables que ceux de l’hôpital de Caroline du nord.

Étant bien entendu, qu’il n’est pas nécessaire d’aller en Caroline du nord pour faire l’objet d’un test erroné, il suffit de fréquenter n’importe quel laboratoire d’analyses français ou européen.

Car, si l’on a, en effet, dépisté des virus que l’on trouve chez tous ceux qui souffrent de déficiences immunitaires, on n’a jamais établi qu’aucun virus était la cause du SIDA et on n’a jamais ni identifié ni isolé quelque virus que ce soit dont on puisse dire qu’il est la cause du SIDA. Raison pour laquelle une association a proposé une récompense de 1000 livres à quiconque lui apporterait la moindre publication de littérature médicale touchant à l’isolation du prétendu virus du SIDA. La somme, bien entendu, n’a pas quitté la caisse de l’association pour la bonne raison qu’aucune publication de ce genre n’existe.

Et il n’est pas davantage démontré que les virus découverts chez des gens souffrant de déficiences du système immunitaire – tel que l’entend la science officielle – ne soit en quoi que ce soit la cause de ces déficiences.

La technique d’intoxication psychologique du docteur Knock

La célèbre scène du film Le Docteur Knock, tiré de la pièce de théâtre de Jules Romains, où l’avisé praticien offre sa consultation gratuite, destinée à convaincre la population qu’elle est malade pour la drainer à son cabinet.

On pouvait croire, jusqu’à l’invention du SIDA, que Jules Romains avait fait une caricature de la médecine, que le docteur Knock, qui met au lit la population de son village en persuadant simplement les bien-portants qu’ils sont « malades », n’était qu’une image d’Épinal ! Mais non, c’est très exactement ce que font les médecins, les laboratoires et les pharmaciens avec la pseudomaladie du SIDA, depuis maintenant vingt ans ! Et ça marche !

Tout comme a marché l’intoxication imaginaire de centaines d’individus avec le Coca-Cola, au début de l’été 1999. Mieux encore, de la même manière que les physiciens quantiques, partisans de la thèse selon laquelle le Vide infini serait l’origine exclusive de notre monde, ont fini par modifier le sens du mot Vide en disant que ce Vide, tout en étant vide, ne serait pas vide, les virologistes ont modifié le sens jusque-là admis du mot virus.

Ils n’entendent plus désormais par-là « les germes de maladies contagieuses, comme la grippe ou la polio », ils entendent toute particule, naturelle ou artificielle, qui peut pénétrer une cellule et se faire répliquer en utilisant l’A.D.N. de la cellule.

Les nourrissons farcis de poison à l’A.Z.T.

Là où le scandale devient plus que révoltant, c’est lorsqu’il s’agit des nourrissons et d’enfants porteurs du virus non isolé, c’est-à-dire, en vérité, non pas du virus dont rien ne prouve qu’il provoque le SIDA, mais des anticorps qui attestent sa présence. Léon Renard rappelle que 80% de ces enfants portent ces anticorps qui leur viennent soit de leur mère, soit d’injections. Mais, bien évidemment, tous les enfants séropositifs ne sont pas « malades ». Pas plus que les singes verts en liberté.

Et voici que la médecine conventionnelle et officielle les traite systématiquement à l’A.Z.T. (l’Azydothymidine supposée freiner la reproduction du virus) alors que l’A.Z.T. détruit les cellules T et les lymphocytes. Ainsi les séropositifs traités à l’A.Z.T. vont-ils mourir d’une immunodéficience provoquée par la destruction de leurs lymphocytes et créée de toutes pièces par les médecins !

On croyait que Knock était une caricature de la médecine. Mais non ! Le docteur Knock n’a jamais inoculé d’immunodéficience à ses patients. Il n’a utilisé que l’action psychologique. La médecine du SIDA va bien plus loin : elle inocule l’immunodéficience à ses patients ! Et, bien entendu, tout semble montrer qu’elle a raison puisque, dès l’instant où elle détruit les défenses de l’organisme, les patients sont frappés du SIDA !

Qui donc manque à ce point de logique qui ne voit pas que la médecine a raison ? D’évidence, les séropositifs meurent bien du SIDA, qui est bien la plus grave des « maladies » !

 

yogaesoteric
3 avril 2018

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