Dommages collatéraux ? Les CDC admettent que les confinements anti-COVID ont provoqué une recrudescence des troubles de santé mentale chez les enfants

Les services du CDC ont publié une « étude scientifique » assez douloureuse qui expose les dommages collatéraux que les confinements tyranniques ont causés parmi les plus jeunes membres de notre société…

Les perturbations de la vie quotidienne pendant les périodes de confinement de la pandémie, l’anxiété de contracter le COVID-19 et l’isolement social sont autant de facteurs qui ont des répercussions sur la santé mentale des enfants, selon un rapport publié mercredi, 13 novembre 2020, par les Centers for Disease Control and Prevention.

Le rapport, basé sur des informations provenant d’un sous-ensemble d’hôpitaux dans 47 États, « fournit des données de surveillance opportunes concernant la santé mentale des enfants dans le contexte de la pandémie de COVID-19 ».

Comme les techniques d’atténuation de la pandémie ont été mises en œuvre à des degrés divers de tyrannie selon l’orientation politique du gouverneur, le nombre hebdomadaire moyen de visites aux services d’urgence pour enfants pour des raisons liées à la santé mentale est monté en flèche.

Par rapport à 2019, la proportion de visites liées à la santé mentale des enfants âgés de 5 à 11 ans et de 12 à 17 ans a augmenté d’environ 24 %, et 31 %, respectivement.

En fait, comme le montre le graphique ci-dessus, dans le pire des cas, la proportion de visites aux urgences liées à la santé mentale chez les enfants a augmenté de 66 %, passant de 1.094 pour 100.000 entre les 14 et 21 avril 2019 à 1.820 pour 100.000 entre les 12 et 18 avril 2020.

« De nombreux troubles mentaux commencent dès l’enfance, et les problèmes de santé mentale dans ces groupes d’âge pourraient être exacerbés par le stress lié à la pandémie et les brusques perturbations de la vie quotidienne associées aux efforts d’atténuation, notamment l’anxiété face à la maladie, l’isolement social et l’interruption des liens avec l’école », indique le rapport.

En attendant, « la majorité des (services d’urgence) n’ont pas la capacité adéquate pour traiter les problèmes de santé mentale pédiatrique, ce qui pourrait augmenter la demande sur les systèmes déjà stressés par la pandémie de COVID-19 ».

La situation pourrait être bien pire, car, comme le notent les chercheurs, de nombreuses visites pour des soins de santé mentale ont lieu en dehors des salles d’urgence, « ces données sous-estiment probablement le nombre réel de visites pour des soins de santé liés aux troubles mentaux ».

Pour rappel, l’OMS a récemment indiqué que les confinements nationaux n’étaient pas un moyen optimal de contrôler le virus… mais il semble que le Dr Osterholm et ses semblables soient incapables d’envisager les effets de second ordre sur l’ordre social.

Il est probable que les « scientifiques » qui préconisent le confinement considèrent la détérioration de la santé mentale des enfants comme un simple dommage collatéral sur la voie de la maîtrise du virus.



yogaesoteric

5 janvier 2021 

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