Un universitaire suédois affirme que le virus mettra fin à l’UE, au mondialisme et aux migrations
Dans une vidéo de SwebbTV, l’ingénieur suédois, docteur en technologie, chef d’entreprise et écrivain Lars Bern parle du coronavirus et de son impact sur le monde.
Il explique que le principal problème n’est pas que le SARS-CoV-2 soit plus mortel que les autres virus, mais qu’il est nouveau et très contagieux.
Lorsque le virus a commencé à se propager, personne n’était immunisé contre lui et, par conséquent, beaucoup ont été infectés. Cependant, pour Bern, le taux de mortalité du COVID-19 n’est pas plus élevé que celui de la grippe normale. Ainsi, le principal objectif des mesures de confinement et de distanciation sociale est d’éviter que les hôpitaux ne soient envahis de patients.
Bern estime que plus l’incidence du syndrome métabolique est élevée dans un pays, plus le taux de mortalité sera élevé. Cependant, Bern ne pense pas qu’un vaccin sera d’une grande utilité, en partie parce qu’il faudra des années pour en produire un, et en partie parce que le virus aura très probablement muté avant d’être mis sur le marché. Selon M. Bern, il est plus efficace de traiter les patients atteints de COVID-19 avec des médicaments contre la malaria et le virus Ebola, ainsi qu’avec de fortes doses de vitamines et de minéraux.
Le « rêve » de Bill Gates de vacciner chaque personne sur la planète et d’émettre des certificats de vaccination numériques ne se réalisera pas, affirme Bern.
Les soi-disant experts médicaux ne sont pas vraiment des experts, dit-il. Le SRAS-CoV-2 est une nouvelle souche de virus et la vérité est que personne ne connaît la meilleure façon de s’en occuper. Nous ne pouvons qu’examiner les méthodes de traitement qui ont été efficaces et partir de là. Selon M. Bern, les médecins qui s’opposent à l’utilisation de la médecine alternative pour traiter et prévenir le virus connaissent généralement très peu les méthodes en question et/ou les vitamines et minéraux utilisés.
Bern affirme que l’on peut en dire autant des experts économiques qui sont interrogés quotidiennement. Aucun d’entre eux ne sait ce qui va se passer, ils ne peuvent que spéculer.
Il poursuit en parlant du mondialisme qui, selon lui, prendra fin sous sa forme actuelle à cause du virus. Bern affirme que le nationalisme remplacera le mondialisme et que les frontières resteront fermées, que les migrations de masse cesseront et que les pays commenceront à donner la priorité aux besoins de leurs propres citoyens.
C’est ce que nous constatons déjà en Europe. L’UE a mal géré la crise, à tous points de vue. Selon M. Bern, l’UE va très probablement s’effondrer parce qu’elle n’a pas aidé les États membres pendant la crise. Ce serait une évolution positive, dit-il, ajoutant que les États européens devraient continuer à commercer librement mais abandonner le reste de ce que l’UE représente.
Bern affirme que la migration de masse deviendra impossible après la crise, car aucun pays ne pourra se la permettre. Il sera hors de question de le suggérer pendant de nombreuses années, dit-il, ajoutant que chaque centime sera dépensé pour la reconstruction de nos économies nationales, le renforcement de nos systèmes de santé et la préparation aux futures situations d’urgence.
Quant à l’économie mondiale, ce sont les pays dépendants du pétrole qui en souffriront le plus. Et les turbulences sur le marché pétrolier entraîneront une instabilité au Moyen-Orient, ce qui pourrait conduire à des conflits qui pourraient très bien déboucher sur une guerre.
Il faudra de nombreuses années pour que le monde se remette de la crise du coronavirus, et la situation va s’aggraver avant de s’améliorer, conclut-il.
yogaesoteric
13 septembre 2020