La feuille de route de la COVID-19 : Vers un chaos économique mondial et une destruction de la société (1)

par Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca

Il est maintenant confirmé que le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel (RT-PCR) utilisé pour estimer les cas positifs au COVID-19 est discutable. Il ne permet pas de détecter ou d’identifier le virus. Ce qu’il détecte, ce sont des particules ou des fragments du virus.

Si ces statistiques officielles erronées utilisées pour « mesurer » la propagation du virus sont dénuées de sens, elles ont néanmoins été utilisées pour soutenir la campagne de peur et de désinformation en cours

PCR – Positif n’implique pas que le COVID-19 soit positif. Les statistiques dérivées du test PCR ne mesurent pas correctement les « cas confirmés ». Le test PCR ne fournit pas les statistiques requises (par les décideurs politiques et les autorités sanitaires nationales) pour évaluer le nombre de personnes infectées. De plus, selon le CDC, « une infection [COVID-19] positive » pourrait être le résultat d’une « co-infection avec d’autres virus… L’agent détecté peut ne pas être la cause de la maladie ».

Si ces statistiques officielles utilisées pour « mesurer » la propagation de l’infection virale sont imparfaites, elles ont néanmoins été utilisées pour soutenir la campagne de peur et de désinformation en cours.

Le test PCR étant défaillants en tant que moyen d’identification de la propagation du virus, les décisions importantes prises par l’OMS et les gouvernements nationaux depuis fin janvier 2020 (étayées par des statistiques erronées) sont potentiellement invalides.

En outre, des rapports officiels, dont celui de l’OMS, confirment que le COVID-19 n’est pas un virus mortel, mais qu’il présente des caractéristiques similaires à celles de la grippe saisonnière.

L’objectif de cet article est d’examiner comment ces décisions de grande envergure, invariablement basées sur des concepts non valables et des statistiques erronées, ont contribué à un état de chaos économique, social et politique dans le monde entier, menant au blocage et à la fermeture de 190 économies nationales des États membres des Nations unies le 11 mars 2020. Seuls trois pays, dont le Bélarus, le Nicaragua et la Suède, ont refusé de fermer leur économie nationale.

Ce qui nous frappe dans cette analyse est le fait que des décisions majeures ont été prises dès le début, le 30 janvier 2020, alors que le nombre de cas positifs enregistrés était excessivement faible.

Le verrouillage ainsi que la fermeture des économies nationales dans le monde entier le 11 mars 2020 ont été présentés comme un moyen de faire face au « virus tueur » et de « sauver des vies ». Amplement documentés, les impacts ont conduit à un chômage de masse et à la pauvreté dans le monde entier.

La feuille de route vers le chaos économique et la destruction de la société

18 octobre 2019. Exercice de simulation de pandémie 201

Le coronavirus a été initialement nommé 2019-nCoV par l’OMS, le même nom que celui adopté lors de l’exercice de simulation du 18 octobre 2019 201 sous les auspices de la John Hopkins Bloomberg School of Health, Centre for Heath Security (un événement sponsorisé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial)(Evénement 201).

Le 7 janvier 2020 : Les autorités chinoises ont « identifié un nouveau type de virus » qui (selon les rapports officiels) a été isolé le 7 janvier 2020.

Du 20 au 24 janvier : Réunions du Forum économique mondial à Davos. Le rôle des puissants intérêts financiers.

Des intérêts financiers dominants, des fondations milliardaires et des institutions financières internationales ont joué un rôle clé dans le lancement de l’urgence de santé publique de l’OMS (PHEIC). La décision n’a pas été prise par l’OMS.

Dans la semaine qui a précédé cette décision historique de l’OMS, la PHEIC a fait l’objet de « consultations » lors du Forum économique mondial (FEM), à Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros, était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l’OMS le 30 janvier ?

Y avait-il un conflit d’intérêt tel que défini par l’OMS ? Le plus grand donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec le FEM et la CEPI [Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies], avait déjà annoncé à Davos le développement d’un vaccin COVID-19 avant le lancement historique du PHEIC le 30 janvier.

Le 28 janvier 2020 : Le Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a confirmé que le nouveau virus Corona avait été isolé. À ce jour, le processus d’identification du virus n’a pas été rendu public.

Le 30 janvier 2020 : L’urgence de santé publique de portée internationale de l’OMS (PHEIC).

La première étape de cette crise a été lancée par l’OMS le 30 janvier. Bien qu’elle n’ait pas été officiellement désignée comme « pandémie », elle a néanmoins contribué à mener la campagne de peur.

Dès le début, les estimations des « cas positifs confirmés » ont fait partie d’un « jeu de chiffres ».

Dans certains cas, les statistiques n’ont tout simplement pas été mentionnées et dans d’autres cas, les chiffres ont été gonflés en vue de créer la panique.

Le nombre de « cas confirmés » basés sur des estimations erronées (PCR) utilisées pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement faible.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Le 30 janvier 2020, il y en avait en dehors de la Chine : 83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Le 29 janvier 2020, la veille du lancement du PHEI (enregistré par l’OMS), il y avait 5 cas aux États-Unis, 3 au Canada, 4 en France, 4 en Allemagne.

Il n’y avait pas de « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence de santé publique mondiale

Capture d’écran de la table de l’OMS, 29 janvier 2020. Un jour avant la décision de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique mondiale

Ces chiffres ridiculement bas (non mentionnés par les médias) ont été utilisés pour mener une campagne de peur mondiale.

Le 31 janvier 2020 : Décision du président Trump de suspendre les voyages aériens avec la Chine.

Alors que l’OMS « [n’a] recommandé aucune restriction de voyage ou de commerce », les cinq cas dits « confirmés » aux États-Unis ont suffi à « justifier » la décision du président Trump, le 31 janvier, de suspendre les voyages aériens vers la Chine tout en précipitant une campagne de haine contre les personnes d’origine chinoises dans tout le monde occidental.

Cette décision historique du 31 janvier a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des marchandises ainsi qu’à des restrictions mondiales sur les voyages aériens.

Et ces « cas confirmés » erronés étaient pour la plupart des cas utilisant le test RT-PCR standard.

20-21 février 2020. Données mondiales de COVID-19 en dehors de la Chine : Le navire de croisière Diamond Princess.

Alors que la Chine a signalé un total de 75.567 cas de COVID-19, (le 20 février) les cas confirmés en dehors de la Chine étaient terriblement bas et les statistiques basées en grande partie sur le test PCR utilisé pour confirmer la « propagation mondiale du virus » étaient pour le moins discutables. En outre, sur les 75.567 cas recensés en Chine, un pourcentage important s’est rétabli. Et les médias n’ont pas reconnu ces chiffres.

Le jour de la conférence de presse historique du Dr. Tedros (20 février 2020), le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était de 1073, dont 621 étaient des passagers et des membres d’équipage du navire de croisière Diamond Princess (échoué dans les eaux territoriales japonaises).

D’un point de vue statistique, la décision de l’OMS indiquant une possible « propagation du virus dans le monde entier » n’a pas de sens.

Le 20 février, 57,9 % des « cas confirmés » de COVID-19 dans le monde provenaient du Diamond Princess, ce qui n’est guère représentatif d’une « tendance statistique » mondiale. L’histoire officielle est la suivante :
    • Un passager basé à Hong Kong qui avait débarqué du Diamond Princess à Hong Kong le 25 janvier a développé une pneumonie et a été testé positif pour le nouveau coronavirus le 30 janvier.
    • Il aurait voyagé le 10 janvier, à Shenzhen en Chine continentale (qui borde les nouveaux territoires de Hong Kong).
    • La Diamond Princess est arrivée à Yokohama le 3 février. Une quarantaine a été imposée au croiseur. 
    • De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau.
    • Tous les passagers et l’équipage du Diamond Princess ont passé le test PCR.
    • Le nombre de cas confirmés est passé à 691 le 23 février.

Du point de vue de l’évaluation des tendances statistiques mondiales, les données ne tiennent pas debout. Sans les données du Diamond Princess, les cas dits confirmés dans le monde hors de Chine le 2 février auraient été de l’ordre de 452, sur une population de 6,4 milliards.

Examinez le graphique de l’OMS ci-dessous. Le bleu indique les cas confirmés à bord du Diamond Princess (transport international) (qui est arrivé à Yokohama le 3 février 2020), dont beaucoup étaient malades, confinés dans leur chambre pendant plus de deux semaines (quarantaine imposée par le Japon). Tous les passagers et l’équipage ont passé le test RT-PCR (qui ne détecte ni n’identifie le Covid-19).

Il va sans dire que ces soi-disant données ont été le fer de lance de la campagne de peur et de l’effondrement des marchés financiers au cours du mois de février. (voir la section ci-dessous)

La crise financière de février 2020. La crise du Coronavirus de 2020

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020.

Le 20 février 2020 : Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure de l’Europe centrale) lors d’un briefing à Genève, le directeur général de l’OMS Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu’il était « inquiet que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se ” resserre ” … »
« Je crois que la possibilité est toujours là, mais qu’elle est restreinte. »

Ces déclarations « de choc et d’effroi » ont contribué à renforcer la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Données de l’OMS enregistrées en février 2020, au début de la crise financière dite de Covid

Officiellement, 1073 cas dans le monde entier.

En excluant le Diamond Princess, 452 cas dits « confirmés » dans le monde en dehors de la Chine, pour une population de 6,4 milliards d’habitants, enregistrés par l’OMS le 20 février, 15 aux États-Unis, 8 au Canada, 9 au Royaume-Uni. (février 2020).

Un nombre plus important de cas hors de Chine a été enregistré en Corée du Sud (153 cas selon l’OMS) et en Italie (enregistré par les autorités nationales).

Lisez la deuxième partie de cet article

yogaesoteric

25 novembre 2020

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